Obsédés par le virtuel- Chapitre 17
𝐀𝐁𝐈𝐃𝐉𝐀𝐍_𝐂Ô𝐓𝐄_𝐃_𝐈𝐕𝐎𝐈𝐑𝐄 #𝐙𝐇𝐀𝐑𝐀 Sandra me manquait. Je n'arrivais pas à me concentrer. Brenda et moi travaillions sur un projet. Nous devions pira*ter le système d'une entreprise. Un concurrent d'opium. Brenda me demandait de rester concentrer car on ne devait pas se faire prendre et se faire remarquer. J'avais horreur qu'elle me donne des ordres tout le temps. Avec Opium, c'était devenu un vrai calvaire. Elle ne me laissait pas une seconde même lorsque je travaillais. J'exécutais ses ordres sans disputer. Il me fallait trouver une solution rapide pour me libérer d'elle. Le seul moyen de j'ai trouvé était de la faire croire que j'étais avec elle jusqu'au bout, faire tout ce qu'elle me demande avec un sourire. Je devais faire en sorte qu'elle tombe amoureuse de moi. J'écrivais tout le temps à Sandra mais elle ne me répondait jamais. Pour finir, elle m'a bloqué partout. Je me suis débloquer sur WhatsApp et je lui ai écrit. Elle était très énervée. Elle m'avait demandé de l'oublier, de l'éviter. C'était impossible pour moi parce que je l'aime. Je suis allé demander conseil à ma sœur. --- hey sœurette. --- oui frangin. Pourquoi as-tu cette mine triste? --- je pense que je suis en train de perdre Sandra. S'il te plaît donne moi une solution. --- comment ça ? Explique moi --- c'est une longue histoire. Je ne veux pas qu'elle m'oublie. --- Va la voir dans son pays. --- J'y ai déjà pensé mais en ce moment, j'ai énormément de boulot. Impossible pour moi de bouger --- c'est la seule solution que tu puisses te donner. Si tu as tore et que tu ne fais rien, elle te filera entre les doigts. Ma sœur avait raison. mais comment faire pour m'y rendre sans que Opium ne s'en rende compte ? De plus, Brenda pouvait m'appeler à n'importe quel moment pour le travail. C'était compliqué. Opium savait que j'écrivais toujours à Sandra. Elle m'avait donné comme condition. Je devais m'éloigner de Sandra pour qu’elle ait la vie sauve. Je n'avais pas d'autres choix que d'accepter cette condition. Je passais par ma sœur Elvira pour prendre de ses nouvelles. Elle ne voulait rien savoir de moi. Cela me rendait triste et faible. J'avais arrêté mes arna*ques sur les réseaux à cause de celles d'opium. On pouvait passer des semaines à pira*ter des entreprises. Elle n'en avait pas assez. Elle en voulait encore. Il est vrai qu'il est facile de critiquer lorsque c'est une personne qui pose un acte malsain. J'avais oublié que je faisais la même chose qu'elle. J’étais l’héritier mais j'en voulais encore plus. Parmi ces trois femmes, j'ai remarqué que celle avec laquelle je pouvais facilement m'entendre était Dana. Il fallait que je me lie d'amitié avec elle. Je l'ai appelé pour qu'on prenne un RDV elle a refusé. J'ai souri. Elle me connaissait très mal. Je n'avais pas l'intention de laisser tomber. Elle était ma seule issue pour sortie de ce pétrin. J’insistai jours et nuits jusqu’à ce qu'elle a accepté un soir. J'ai l'ai emmené dans un restaurant pour commencer. Elle est très belle. Rien avoir avec la femme fatale qui me transportait tout le temps. Elle était vêtue différemment. Elle me laissait parler seule. Elle a terminé son plat avant de m'avancer. --- ne sais-tu pas qu’on ne parle pas la bouche pleine ? --- c'est pour cette raison que tu n'as pas dit un mot ? --- non. Je ne parle pas trop. Je n’avais rien à dire. Pourquoi tenais-tu tant à ce qu’on fasse une sortie ? --- je me sens bien avec toi contrairement à Opium et Brenda. --- ah… je vois. Pourtant tu sautes bien Opium. Ah ! Comme ça mademoiselle le savait ? Très intéressant. --- comment le sais-tu ? Lui demandais-je. --- je sais lorsque ma patronne admire une personne. Mais avec toi, c'est différent. Elle est amoureuse de toi. Tu dois être spécial. Amoureuse de moi. Bonne nouvelle. --- ce qui signifie qu'il y'en a d’autres ? --- bien-sûr. Attend, tu penses que tu es le seul ? Une belle femme charismatique, riche, ambitieuse comme Opium avoir un seul homme dans a vie ? Haha… --- Pourquoi pas ? L'amour est capable de changer un être humain. Elle changera pour moi parce que je l'aime aussi. Je ne savais pas pourquoi mais cette phrase l'a refroidi. Mon but était que tout le monde pense que je suis fou d’opium. Elle a bu son verre de vin en regardant ailleurs. Je repris la parole --- un problème ? --- non rien répondit-elle timidement. --- es-tu déjà tombée amoureuse ? --- j'ai déjà répondu à cette question. Je n'ai pas été formée pour ça. --- parle moi de toi. --- je n'ai rien à dire. Il me fallait ça, avoir une petite dispute avec elle et je l'avais déjà cerné. Au fond, c'est une femme très sensible. Elle a été formée au combat mais elle n'est pas mauvaise. Elle a besoin d’être comprise, aimée, d’être prise pour une véritable femme, elle a besoin d’attention et je devais les lui donner. Mon intention était qu’elle tombe amoureuse de moi. Je l'ai ensuite amené dans une boite de nuit. Elle ne comprenait pas ce qu’on faisait là. Elle voulut s'en aller mais je la pris par la main en la ramenant vers moi. Nos regardes se croisèrent. On pouvait ressentir la respiration de l'un et l’autre. Son regard était profond. Elle avait à raconter. Je pouvais voir la douleur dans ses yeux. Elle essayait de se dégager de moi mais je la tenais toujours fermement. Malgré qu'elle ait un fort caractère, elle reste une femme vulnérable face à un bel homme. Je devais jouer de mes charmes. Je regardai ses petites lèvres roses qui scintillaient de mille couleurs. J’ai tenu son visage et je l'ai embrassé. J'ai cru que j'allais recevoir une gi*fle ce qui n'a pas été le cas. Elle m'a renvoyé mon bai*ser avec foudre. Comme si c’était la première fois qu'elle embras*sait un homme. Elle enleva ma veste. Je l'ai calmé en lui disant : « allons nous en d'ici. Allons dans un endroit calme où nous seront rien qu’à deux » Elle remua la tête pour me dire qu'elle était d'accord. Je l'ai emmené dans un hôtel. À peine entrer, on s'est encore embras*sé. Je l'ai porté jusqu’au lit. Lorsque je voulais lui ôter sa robe, elle m'a dit qu'elle est encore prude. Je l'ai regardé surpris. Comment une femme comme elle pouvait encore l’être ? A suivre…
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