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Obsédés par le virtuel- Chapitre 13

28 mars 2024 - 5 Minutes

𝐀𝐁𝐈𝐃𝐉𝐀𝐍_𝐂Ô𝐓𝐄_𝐃_𝐈𝐕𝐎𝐈𝐑𝐄

#𝐙𝐇𝐀𝐑𝐀

#Interdit 🔞🔞

Enfin je pouvais la tenir dans mes bras;

Lui donner des bai*sers;

Ressentir sa respiration ;

La sentir près de moi.

À cet instant là, je me demandai pourquoi Dieu m'avait-il cacher une telle créature ?

Comment avait-il pu me priver de ce bonheur ?

Pourquoi ne me l'avoir pas mise sur ma route plutôt ?

J'avais besoin de cet amour, cette tendresse, ces bai*sers.

C'était tôt mais je ne pouvais pas la résister longtemps.

Je lui montrais que j'avais en*vie d'elle, je m'imaginais déjà en elle.

On s'embras*sait dans le salon jusqu'a ce qu'elle me chuchote à l'oreil "fais moi l'am*our"

Je fixai ses petits yeux scintillants qui illuminaient toute la pièce.

À travers, je pouvais apercevoir du de*sir, de l'amour, de la passion.

Je l'ai portée puis installée sur un sofa qui était très doux d'ailleurs.

J'avais baissé les manches de sa robe. J'apercevais son soutien blanc dentelé se laissait découvrir. Je voulais voir ce qu'il recouvrait en dessous.

On s'embras*sait encore et encore en otant nos vêtements.

Je soulevai ses hanches en la portant pour qu'elle s'assayâsse sur mes jambes.

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Mon troisième pied grandissait et la réclamait mais, je devais encore attendre un peu.

Elle mit ses bras autour de mon cou. Elle m'embras*sait sur ce même cou ensuite elle descendit sur mes té*tons. Sa lan*gue était si glacée.

Elle me cares*sait en même temps puis elle descendit encore plus bas. Elle sortit ma verge qu'elle mit dans sa bouche. Elle me faisait rêver, cette femme. Jamais aucune ne m'avait donné autant de plai*sir.

Nous avons l'habitude de dire que l'homme ne devrait pas gé*mir lors des rapports car c'est la femme qui devrait ; Eh... Bien. Je l'avais fait. J'avais voulu résister mais c'était impossible pour moi. Sa lan*gue et ses lèvres me procuraient bien trop de bonheur.

Elle remonta tout doucement et me fit un bisou. Nos regards se croisèrent. Je ressentis quelque chose de glacé en même tant chaud, c'était agréable.

Elle avait introduit mon troisième pied en elle.

Assise sur moi, elle fit de légers mouvements pour un début.

Elle était très douce.

Pendant ce temps, je lui lé*chais les té*tons en la cares*sant. Ça se voyait qu'elle aimait bien ça.

Elle accé*lérait les mouvements. C'était tellement bon que je la portai. Je prenais dorénavant le dessus.

J'ai par*courais son corps de bai*sers comme un chasseur qui est à la recherche d'une proie.

Son magnifique corps à ma Merci. Ses té*tons bien tendus, ne demandaient qu'à être su*cés.

Je voulais qu'elle me réclame alors, je la torturais en lui faisant un cun**nilingus.

Elle s'agitait, s'agrippait sur le sofa, elle hurlait mon prénom.

J'arrêtai et introdui*sis mon index et mon major droit. Je jouais avec dans son jardin. Elle se pinçait les té*tons en se mordant la lè*vre inférieure.

Elle m'a dit:

« Arrête de me faire souffrir bb. Pé*nètre moi »

J'ai souris en lui répondant:

--- pas encore mon amour.

Je lé*chais son nombril en continuant les mou*vements avec mes doigts.

Je m'at*taquai ensuite à son cou. Son odeur corporelle m'ob*sedait. Je voulais la manger toute crue.

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J'at*trapai son sein gauche dans ma bouche. De temps à autre, je le chatouillais avec ma lan*gue en le su*çant, accompagné de mes doigts dans son va*gin.

J'aperçus une larme coulée de son œil. Elle avait déjà assez souf*fert. Je devais la libérer.

J'attrapai ses fes*ses molles comme de la mousse. Je l'avais pé*nétré avec douceur.

Elle m'a dit de nouveau d'une voix fine :

« Vas-y bb »

Je me mis à faire des mou*vements de va et vient au point où Elle hur*lait de plai*sir; tellement qu'elle a enlevé sa perruque.

Ah les femmes ! Elles vont nous faire nous éva*nouir un jour.

Je n'aurai jamais pu imaginer qu'elles portait une perruque.

Bref... Ce n'était pas grave. Elle était encore plus jolie avec ses tresses africaines.

J'accélérai mes mouvements. En plus, elle l'avait demandé. Je soulevai sa jambe gauche avec ma main gauche et je tenais son se*in droit avec ma main droite. Je m'introdui*sais avec plaisir.

Je me rapprochai d'elle. Elle était toute rose. Ses lè*vres étaient charnues. Je les ai embras*sés.

Je ne sais comment l'expliquer mais ce que je ressentais avec elle était très différent. Faire l'am*our avec une personne qu'on aime réellement est spécial, c'est un moment inoubliable.

Nous primes différentes posi*tions. Elle a préféré la lev*rette et moi aussi d'ailleurs.

On gémi*ssait tellement fort en s'exprimant oralement.

--- oui bb comme ça ne t'arrête pas! Criait-elle

--- mon am*our tu es trop bon*ne. Je t'aime !

--- je t'aime aussi mon cœur. Vas-y continue !

Je la retournai.

Nos corps étaient de nouveau collés l'un de l'autre.

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Mon téléphone se mit à sonner. Il était hors de question que je gâche ce moment. J'avais donc ignoré.

Nos corps en sueur évoquaient le son des vagues. À un moment, je crus qu'on profitait de ce moment à la plage.

Elle me demanda de la bai*ser. Je le fis mais pas comme je le faisais avec les autres…

Avec elle, c’était douceur, tendresse; je protégeais son corps car je ne devais pas l’abîmer.

J'allais très vite. Je ne l'avais pas vu venir. Tous les deux lançâmes un cris de soulagement et de bonheur. On avait atteint l'orgas*me.

Elle me cares*sait les cheveux en me disant qu’elle m'aime.

Je pris une décision.

Je devais aller voir ses parents. Ce n'est pas à cause de cette scène se*xuelle mais parce que je savais que je l'aime. Il n'y a que elle que je veux dans ma vie; J’étais sûre de mon choix.

Cependant, je craignais une chose. Mon secret. Devrais-je le lui révéler ? Allait-elle vouloir continuer cette relation avec moi ? J’avais très peur de la perdre.

J'allais le lui annoncer au bon moment.

Nous primes une douche ensemble ensuite elle s'est endormit. Je souriais, la regardant dormir.

Je me souvins que mon téléphone avait beaucoup retentit.

Je m'étais levé pour le prendre au salon.

J'avais constaté qu'il s’agissait encore de cette femme.

Son message disait :

« Je constate que tu es avec une femme. J'espère que c'est juste pour une nuit. Par rapport à mon RDV, j'attends toujours et je veux la réponse aujourd’hui sinon j'agirai »

Je n'avais pas le choix.

J'ai accepté.

En soirée, une voiture devait me chercher pour me conduire chez cette dame.

A suivre…

Amour
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Virtuel