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Obsédés par le virtuel - chapitre 11

25 mars 2024 - 5 Minutes



         𝐀𝐁𝐈𝐃𝐉𝐀𝐍_𝐂Ô𝐓𝐄_𝐃_𝐈𝐕𝐎𝐈𝐑𝐄
                       #𝐙𝐇𝐀𝐑𝐀
Selon mes recherches, le petit ami est un jeune homme très bien placé, respectueux. Il n’a aucun casier judiciaire. J’avais le cœur en paix. 
Deux jours après, mon ami de Dubaï a fait son apparition.Comme convenu, Diana s’y est rendue. 
Il était surpris mais elle l’avait rassuré en lui faisant des révélations que seuls lui et moi savions.
Il était convaincu. 
Je voyais et j’entendais tout grâce à la camera et au micro qu’elle portait. Diana a accepté le travail. Elle confirma qu’elle allait le livrer le même jour. Il devait rentrer avec lendemain. 
J’étais chez elle.
Elle était de retour toute souriante car le plan avait marche. Il lui avait fait une avance. Je lui donnai la moitié de ce qu’il lui avait remis. 
J’avais en tête de le faire arrêter. 
Pendant que j’attendais l’heure fixée, Diana se mit à m’embras*ser sans arrêt. Bien évidemment, j’eus envie. Je lui rendis ses baisers avec foudre. On se retrouva à faire l’amour. 
Tout à coup, je vis le visage de Sandra. Je souriais en la caressant et l’embras*sant comme jamais je ne l’avais fait ne femme. 
Elle disait qu’elle aime ce que je lui faisais à ressentir. 
Je prononçai son prénom haut au point où je reçus une gif*le. Je constatai qu’il s’agissait de Diana. Elle était en co*lère. Elle hur*lait dans toute la pièce.
--- comment peux-tu me faire l’am*our et appeler une autre ?
--- je ne comprends pas.
--- tu ne comprends pas quoi ? C’est qui cette pé*tasse ?
Je lui tins par le cou en lui disant de plus jamais traiter Sandra ainsi.
Elle resta calme.
 Je devenais fou. 
Comment une femme pouvait me faire autant d’effets ? Jamais encore je n'avais eu cela.
J’étais trop mal à l’aise.
Diana était toujours en co*lère. Il fallait que je la flatte car je voulais qu’elle réussisse à tout prix cette mission.
Finalement, elle a cédé. 
L'heure convenue est arrivée.
Elle s'est apprêtée. Je lui ai installé le micro et la caméra.
J'ai fait des recherches sur un poste de police. Ensuite j'ai essayé à tout de le rôle de pi*raté le système. J'ai réussi sur un.
Sans s'en attendre, les inspecteurs écoutaient toute la conversation entre Diana et le client. 
Elle lui répétait tout ce que je lui soufflais. 
C’était parfait !Il y'avait assez de preuves.
La police se mit en route. Je demandai à Diana de sortir de la chambre d’hôtel.
Elle sortit avec le sac d'ar*gent lorsqu’il était dans les toilettes.
Le plan avait marché.
Elle vint me retrouver.
On parlait déjà de cet homme dans les medias.
Bien fait pour lui !
On fit une petite fête. Pour la remercier, je l'amenai en boîte de nuit.
Elle s'amusait et elle était bien accompagnée ce qui attirait la ja*lousie des autres femmes. 
Cinq jours après, je suis tombé ma*lade. Je refusai de me rendre dans un hôpital car je connaissais ce qui était à l’origine de mon état.
Je voulais Sandra ! 
Mon cœur allait me lâ*cher.
J'ai tout fait pour la retrouver mais rien. C'est comme si elle n'avait jamais exister.
Sûrement avec ce qu'elle a subit, elle voulait être discrète. Si ce n’était pas le cas, je devais la retrouver depuis.
Elvira s'occupait de moi en se mo*quant. Elle savait ce qui me gênait.
Elle insistait plusieurs fois pour que je lui dise où se trouve la fille. 
Je lui répondis :
--- elle est au Cameroun. 
--- euille ! Tu n’es jamais allé là-bas. Comment l’as-tu connu ?
--- elle était au pays en vacances.
--- ah d'accord
--- frangine si je savais je ne m'approchais pas d'elle. Aïe ! ce sentiment fait ma*l ici disais-je en touchant ma poitrine
--- désolée grand frère. Soit fort.
--- au se*cours. Pardon je la veux. Aide-moi ma petite sœur. 
--- je sais que je vais commencer où ?
--- demain je vais me rendre au Cameroun.
--- papa va te tu*er.
--- je m'en tape. C'est ma femme que je pars chercher.
---- hum… okay si cela peut te guérir mais vas-y dans cinq jours. Les parents vont voyager.
--- okay compris.
J'avais même maigri. J’étais déjà comme un cri*quet.
Je ne savais pas que l'am*our allait me rendre ainsi.
Je n’arrivais pas à dormir alors je me suis connecté.
Plusieurs femmes m'ont envoyé des invitations. Je les ai acceptées.
Mon privé était saturé. Certaines voulaient une nuit avec moi en échange de l’argent.
Il y'en avait une qui a particulièrement attiré mon attention. 
On a causé longtemps.Je ne sais pas pourquoi elle me tranquillisait le cœur. Rien que le fait de savoir que je devais causer avec elle me rendait joyeux.
Deux jours que je conversais avec elle.
Elle était réticente, elle avait peur.Je l'ai rassuré.
Elle ne s’était pas connectée le troisième jour. Sandra m'est revenue en mémoire.
La maladie avait recommencé.
Je me connectai sur Facebook 
J’étais tombé sur une publication où plusieurs femmes avaient posté leurs photos.La publication disait : « la photo de la femme qui aura plus de réactions gagnera une somme de vingt mille francs »
Je parcourais certains profils.
Je les envoyais les invitations.La majorité croyait au prince charmant donc c’était facile pour moi.
C’était la seule chose qui pouvait me distraire malgré que Sandra trauma*tise toujours mon cerveau.
             𝐃𝐎𝐔𝐀𝐋𝐀_𝐂𝐀𝐌𝐄𝐑𝐎𝐔𝐍 
                        #𝐒𝐀𝐍𝐃𝐑𝐀
Je n'allais pas bien.
Zhara me manquait.
J’avais fait deux jours hospitalisée dans un hôpital. 
J’avais fini par donner la raison de mon état de santé à Berlyne. Elle savait juste qu'un homme que j'avais rencontré me manque. Je ne pouvais pas lui compter la façon donc je l'ai connu. 
Je demandai de l'aide à mon frère.J'ai donné son prénom mais toujours rien.C'est comme s'il n'avait jamais exister.
J’avais rencontré un homme sur les réseaux. Je me méfiais mais après deux jours, je me sentais bien lorsque je parlais avec lui. 
Le troisième jour, je ne me suis pas connectée car je voulais savoir s'il pouvait désormais faire un jour sans me parler.
Vers quinze heures, je me connectai.
Un grand sourire se traça sur mon visage lorsque je vis ses messages.
Arthur me trouva en train de parler avec lui.Je voulus cacher mais il était là depuis.
Il m'a dit :
--- ça c'est un faux com*pte
Je le questionnai surprise :
--- comment ça ?
Il affirma :
--- je te dis que c'est un faux com*pte.
Il me demanda de me lever il prit ma place.
Il se faisait passer pour moi. Il causait bien avec le mec puis il sortit son téléphone.Il voulait le tra*cer mais il n'y arrivait pas.
Il lança en riant :
--- c'est un génie ce type haha… les réseaux sociaux sont ris*qués hein… mince !
Le mec répondait d'une façon suspecte.Un moment, il n’écrivait plus. 
Tout à coup, il avait dit à mon frère de déga*ger et de me remettre mon appareil.
Arthur refusa.Mon frère essayait plusieurs fois de le tra*cer mais c’était impossible.
J'ai repris mon ordinateur.
J'ai demandé à Arthur :
--- si je lui fais parler assez longtemps. Tu pourras le tra*cer ? 
--- oui.
Je lui envoyai des photos de moi. C’était risqué mais il fallait qu’on le tra*ce et qu'on arrête ce mala*de.
Lorsqu'il me vit, il a écrit mon prénom « Sandra ». J’étais étonnée. Je ne lui avais pas donné mon vrai prénom.
Il m'a dit : 
« C’est moi Zhara ma belle. Enfin je t'ai retrouvé »
Au même moment, mon frère me dit qu'il se trouve en côte d'ivoire.
A suivre…

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