Francis Ngannou au pays des étoiles.
Dans un affrontement très attendu, les deux poids lourds Francis Ngannou ancien champion UFC, et Anthony Joshua, se sont affrontés dans la nuit de vendredi avec détermination sur le ring. Malheureusement, malgré la force et la résilience de Ngannou, c'est le Britannique Joshua qui a finalement pris l'avantage au deuxième round, remportant une impressionnante victoire par KO. Contrairement à Tyson Fury, Anthony ne lui a pas « donné le lait » et a clairement montré la différence de niveau qu'il peut avoir entre un novice et un expérimenté.
Une défaite sucrée pour Francis
Même si ce combat intense a montré toute la puissance et la supériorité d'Anthony Joshua, « Le predator » n'en sort pas totalement perdant. Le chiffre de rentabilité qu'il vient de faire est tout simplement hallucinant. Vingt millions de dollars pour un combat qui n'a même pas duré vingt minutes. Difficile de le croire, quand on sait qu'il y a de cela quelques temps, il percevait six cent mille dollars (ça dépasse quand même 500 fois la fortune d'Ecclesiaste Deudjui hein.) en étant champion de UFC.
C'est simplement incroyable de voir comment quelqu'un peut se faire autant d'argent juste en se faisant taper pour vivre. Malgré sa défaite, Ngannou restera donc toujours une marque. Il enchaînera non seulement de fructueux les contrats publicitaires, mais aussi des combats aux cachets toujours plus élevés.
Ngannou, un exemple ?
Voici une question vraiment problématique. Nous savons tous que l'ex champion de UFC a eu un parcours digne d'un scénario hollywoodien. Partie de sa ville natale batié pour arriver en Europe en passant par la route et finir à mondovision comme l'homme le plus fort du monde. C'est donc un vrai bozayeur ! Il a réussi à réaliser son rêve malgré le gros risque qu'il a pris.
Personnellement, je pense que retracer brillamment son parcours n'est pas forcément une source d'inspiration pour la jeunesse africaine et camerounaise en particulier, mais que cela peut être une autre raison de plus de croire au destin d'aventurier, parce que si moi-même, je n'avais aucune certitude que j'allais hériter mon oncle Ecclésiaste Deudjui après sa mort, j'aurais certainement déjà essayé de franchir la Méditerranée.
Christian Deutou : « Francis, l'homme qui a fini sous oxygène pour vivre ! » Article publié sur www.wutsi.com/@/Leswandaseries, 652502916, 697972151.