Literature > Romance

UN PASSÉ QUI RATTRAPE

Jul 2, 2025 - 12 Minutes

CHAPITRE 40

Desmond mange seulement papa, continue de manger car...

  1. Lui faire plaisir aussi
  2. Je te ....P...pe

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~ Desmond Kasongo ~
Ce matin, mes paupières s’ouvrent lentement, et un sourire naît sur mes lèvres à mesure que les souvenirs de la nuit dernière me reviennent. La plus belle nuit de toute ma vie… avec Ariane. Ma p'tite Ariane. Ses gémissements dans mes oreilles, sa peau brûlante contre la mienne, ses mains dans mes cheveux, ses griffes dans mon dos... j’en frissonne encore. Je tourne la tête. Elle dort toujours, profondément, apaisée. Son visage est détendu, ses lèvres à peine entrouvertes. Je reste là un moment à l’observer, incapable de détacher mes yeux d’elle. Elle est tellement belle, tellement magnifique, même sans artifices. Je tends la main et caresse lentement sa joue du bout des doigts. Mon cœur se serre un peu en repensant à la façon dont elle a gémi mon prénom toute la nuit, comme une prière. J’aurais pu recommencer encore, là, maintenant. L’avoir, la reprendre, me perdre en elle une nouvelle fois. Mais non… elle a besoin de repos. Elle n’a fermé les yeux qu’à quatre heures du matin, totalement vidée.
— Dors bien, p’tite puce, murmuré-je doucement, en me penchant pour déposer un baiser sur son front.
Je quitte le lit sans bruit et file vers la salle de bain. J’ouvre le robinet de la douche et laisse l’eau ruisseler sur moi. Une grimace m’échappe. Bordel… L’eau froide vient lécher les marques qu’elle m’a laissées cette nuit. Des griffures dans le dos, des morsures sur les épaules. Elle m’a lacéré comme une tigresse. Et putain… j’ai adoré ça. Une fois lavé, je sors de la salle de bain, encore nu, l’eau perlant sur ma peau. Je reviens dans la chambre, où elle dort toujours. Je m’essuie rapidement et m’habille, puis quitte la pièce.
Dans le salon, j’attrape mon téléphone et compose le numéro de ma mère, qui décroche à la première sonnerie.
«— Allô, mon fils ?— Bonjour, mère. Comment vas-tu ce matin ?— Très bien, mon chéri, répond-elle d'une voix douce. Et toi ? J’espère que tout va bien là-bas ?
Je souris malgré moi.
— Oui, mère. Je vais bien aussi. Je voulais juste prendre de tes nouvelles avant de commencer ma journée.— C’est gentil. Prends soin de toi, hein.— Toi aussi, maman. On se reparle ce soir.— D'accord. »
Je raccroche et enchaîne avec quelques coups de fil professionnels. Une vingtaine de minutes passent avant que je ne revienne dans la chambre. Le lit est vide. Mon regard glisse aussitôt vers la salle de bain. L’eau qui coule me confirme qu’Ariane y est. Elle est réveillée. Je souris, secoue légèrement la tête et ressors en direction de la cuisine. Cette fois, c’est moi qui vais lui faire plaisir.


Arrivé dans la cuisine, j’ouvre un placard, sors du Quaker, puis attrape un bol que je pose sur la table. J’ouvre ensuite le réfrigérateur pour prendre du lait et verse une bonne quantité de céréales dans le bol, puis le lait, juste comme il faut. J’attrape aussi une pomme dans la corbeille à fruits, la rince rapidement à l’évier, puis la découpe en fines tranches que j’ajoute dans le bol. C’est simple, mais ça fera l’affaire.
À peine ai-je fini de poser la dernière tranche qu’une voix me fait tourner la tête.
— Bonjour, bébé…
Je lève les yeux et découvre Ariane, arrêtée dans l’embrasure de la porte, bras croisés, un grand tee-shirt lui tombant jusqu’aux genoux. Elle a encore l’air un peu endormi. Putain… même comme ça, elle est belle à crever.
— Tu fais quoi ? demande-t-elle d’une voix douce en s’approchant.
— Je te préparais un petit-déjeuner… à ma façon, réponds-je d'une voix grave.
Elle sourit, s’approche encore et m’embrasse doucement.
— C’est chou, merci.
— Bien dormi, princesse ?
— On peut dire que je me suis reposée… comme il faut.
— Parfait, le p’tit déjeuner est prêt, dis-je en lui tendant le bol de céréales.
Elle s’installe après l’avoir pris et commence à manger pendant que je range un peu le bazar sur le plan de travail. Une fois que tout est à peu près propre, je me sers un verre de jus de fruits et viens m’asseoir en face d’elle. Elle lève aussitôt les yeux vers moi.
— Tu ne vas prendre que ça ?
J’hoche la tête.
— Humm. Si tu veux, je te fais un truc à manger...
— Non, non, la coupé-je d’une voix grave. Je vais me contenter de ce verre… en attendant que ma nourriture finisse de manger, pour que je la mange, ajouté-je avec un clin d’œil.
Elle éclate de rire.
— T’es bête.
Puis elle tend sa cuillère vers moi, un sourire malicieux sur les lèvres.
— Allez, goûte au moins.
Je secoue la tête, amusé.
— Non, c’est pour toi, mange.
— Je sais, mais vas-y, mange avec moi, Dédé, souffle-t-elle d’une voix mielleuse, me fixant avec de petits yeux.
Je soupire et ouvre la bouche en riant. Elle me donne la bouchée comme si elle me nourrissait, toute fière. Et comme ça, à deux, on finit tranquillement le contenu du bol, entre deux sourires et quelques silences légers.Ariane se lève ensuite avec son bol ainsi que mon verre vide. Je la regarde faire sans rien dire, un sourire en coin, pendant qu'elle rince le tout. Une fois finie, elle revient se poser à califourchon sur moi, naturellement, comme si c’était sa place. Ses bras se glissent autour de mon cou, ses yeux pétillent, et son sourire s’étire doucement.
— Dédé… ta nourriture est prête à être dégustée, murmure-t-elle en posant son front contre le mien, ses yeux plongés dans les miens.

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Son souffle frôle ma bouche. Mon corps se tend sous elle, rien qu’à ce contact. Je garde mon regard dans le sien, accroché, incapable de m’en détacher.
— Vraiment ? demandé-je doucement, en effleurant à peine ses lèvres du bout des miennes.
— Oui, mon chéri... souffle-t-elle d’une petite voix. Je...
Je ne lui laisse pas le temps d’en dire plus. Je l’embrasse, d’abord tendrement, puis plus profondément, avec cette urgence douce qui monte. Mes mains se posent sur ses cuisses nues que je caresse lentement, du bout des doigts, en remontant sans précipitation. Sa peau frissonne sous mes paumes. Mes mains glissent sous son tee-shirt. Et, je m’arrête net.Elle ne porte rien en dessous. Je recule légèrement la tête et la fixe, un sourire en coin au bord des lèvres. 
— T’es une vraie coquine, toi… soufflé-je d’un ton amusé.
Elle sourit et se mordille la lèvre, ses bras toujours autour de mon cou. Je baisse la tête et viens mordiller doucement son cou, juste là où je sais que ça la fait frissonner. Elle soupire contre mon oreille. Ça m’électrise, et sans réfléchir, je me lève avec elle dans mes bras pour la déposer sur la grande table de la cuisine. Elle me regarde, le souffle court, ses cuisses ouvertes autour de moi. Je soulève lentement son tee-shirt, le lui enlève par-dessus la tête, et le laisse tomber au sol.Sans plus perdre de temps, je me penche et prends un de ses seins en bouche. J’aspire doucement le téton, le lèche avec ardeur, pendant que mes doigts pincent doucement l’autre. Sa peau est brûlante sous ma langue.
— Desmond… haaan…
Elle incline sa tête en arrière, en enfonçant ses doigts dans mes cheveux. Ses hanches ondulent contre moi avec une envie dévorante. Son dos se cambre et ses gémissements me rendent fou. Je continue de torturer ses seins avec une ferveur contrôlée, alternant entre langue et dents, lèvres et paume. Je les lèche, les mords doucement, les malmène jusqu’à la faire haleter, gémir plus fort, son souffle saccadé heurtant mes oreilles. Puis je remonte lentement vers sa bouche pour l'embrasser passionnément, comme si je voulais la dévorer. Nos langues s'entremêlent, se cherchent et se heurtent. Elle gémit contre ma langue, agrippe ma nuque et me tire à elle. 
Je romps le baiser après un moment et la retourne d’un mouvement sec, mais fluide. Elle comprend tout de suite et se met à quatre pattes sur la table, cambrée et offerte. Sa peau frissonne, son dos dessine une courbe parfaite.
— J’adore ce que je vois, mon cœur..., soufflé-je d’une voix rauque en caressant lentement ses hanches.
Sans prévenir, je lui claque une forte gifle sur la fesse gauche. Le bruit sec résonne dans la pièce.
— Aaah… Dédé, lâche-t-elle dans un gémissement fort, presqu'animal, sa main agrippant le bord de la table.
Je pose mes deux mains sur ses fesses, les caresse longuement, savourant la chaleur de sa peau, puis je les écarte lentement. Son intimité est déjà trempée, brillante. Rien qu'en voyant ça , mon souffle se bloque, ma gorge se serre. Je me penche et plonge ma langue dans son vagin, profondément, sans prévenir.
— Haaaaan... Desmond...!
Sa voix se brise en un gémissement rauque et délicieux. Je lèche avec lenteur, je la savoure et la bois. Ma langue fouille, explore, ressort et revient. Puis je descends lentement vers son clitoris, l’aspire entre mes lèvres, le suce avec précision, tout en le massant avec la pointe de ma langue.
— Oh putain… haaaan…
Elle tremble, se cambre davantage, m’offre encore plus d’elle. Mes doigts rejoignent ma bouche, s’imbibent de sa mouille, et je les enfonce en elle d’un coup, deux doigts bien profonds. Elle crie presque. Je commence à les bouger lentement, puis j’augmente le rythme. Je la baise durement avec mes doigts, pendant que ma langue continue à jouer sur son bouton de plaisir.
— Haan… Desmond… j’adore… continue… aaah… plus fort...
Elle halète, ses cuisses tremblent, son corps se tend sous mes doigts. Chaque mouvement lui arrache un gémissement plus fort que le précédent. Je sens son plaisir monter, la submerger, la traverser tout entière.
— Oui, p’tite puce… lâche-toi. Jouis pour moi…
Et elle atteint l'orgasme dans un cri rauque et brutal, son corps explosant sous mes doigts, ses jambes fléchissant presque. Mais, je ne la relâche pas. Je continue de la lécher lentement, profondément, recueillant chaque frisson, chaque goutte. Je la déguste tel un roi affamé, incapable de résister à ce qu'elle me donne. Son corps continue de trembler alors que je me redresse. Ses jambes sont flageolantes, son souffle reste court, ses cuisses mouillées de ce qu'elle m'a offert. Elle ne bouge pas tout de suite, restant à quatre pattes sur la table, cambrée et tellement magnifique. Je descends mon short, sans précipitation, laissant ma queue se libérer enfin. Elle est dure, gonflée, presque douloureuse. J'en attrape la base, crache dessus et la caresse lentement, histoire de me calmer un peu. D'une main, je la caresse ; de l'autre, je garde ma prise sur la hanche d'Ariane.

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Elle tourne légèrement la tête et me regarde par-dessus son épaule, ses yeux encore brûlants de ce qu'elle vient de vivre.
— C'est vraiment... pour moi, tout ça ? souffle-t-elle d'une voix basse.
Je souris, la queue en main.
— Oui. Tout pour toi, Ari.
Elle se retourne lentement, descend de la table pendant que je l'aide en la tenant par la taille. Une fois au sol, elle reste un instant debout face à moi, puis glisse à genoux, lentement. Son regard ne quitte pas le mien. Elle approche, tend la main, effleure doucement mon sexe, puis le tient avec une lenteur presque timide. Elle le caresse un moment, l'observe, puis lève les yeux vers moi.
— C'est vraiment gros... et long... j'ai vraiment pris tout ça hier ? murmure-t-elle avec un sourire en coin.
— Oh que oui, ma p'tite Ariane, réponds-je en riant doucement, les abdominaux déjà contractés rien qu'à la sentir là, devant moi.
Elle se penche lentement et ouvre la bouche, y glisse le bout de ma queue avec hésitation. Sa langue effleure le gland, maladroitement. Elle le suce doucement, le retient un instant, puis le relâche, ses lèvres humides laissant un léger filet de salive. Elle marque une petite pause, relève les yeux vers moi, puis recommence, cette fois un peu plus décidée. Je passe ma main sur ses tresses, attrape doucement l’élastique qui les retient attachées et le retire. Ses jolies tresses retombent sur ses épaules et encadrent son visage. Elle est magnifique, concentrée, les joues déjà pleines.
Je grogne, incapable de me retenir.
— Oui… comme ça… tout doucement… vas-y mon bébé… ne mets pas les dents.
Elle s’applique, le prend un peu plus profond, fait tourner lentement sa langue autour de ma verge. Sa main glisse à la base et commence à suivre le rythme de sa bouche. Je la regarde faire, fasciné, le souffle court.
— Tu t’en sors bien… c’est bon… trop bon.
Ses yeux remontent vers moi, ses tresses tombant légèrement devant son visage. Elle joue un moment avec la veine qui palpite sur le côté de ma queue, puis me reprend en bouche avec plus d’assurance, ses joues se creusent, elle me suce plus fort, plus vite. Je sens la chaleur grimper en moi, mon bassin commence à bouger légèrement vers sa bouche. Je passe mes mains sur ses épaules, puis glisse une main vers ses seins, pince doucement ses tétons. Elle gémit autour de ma queue, sans s'arrêter.
— Merde… Ari...ane… je vais jouir.
Ariane ne recule pas. Au contraire, elle accélère, pompe plus fort, ses doigts pressent la base de ma queue. Et je craque. Je jouis dans sa bouche, la tête basculée en arrière, le souffle saccadé, mes abdominaux tendus à l’extrême. Elle ne recule toujours pas. Elle avale tout, lentement, puis lèche le bout une dernière fois, ses lèvres brillantes, ses yeux toujours fixés sur moi. Ariane essuie ensuite le coin de sa bouche d’un revers de main, un sourire fier accroché à ses lèvres.
— Alors ? souffle-t-elle, un brin provocante. J’ai bien fait ?
Je me penche vers elle, attrape doucement son menton et l’embrasse longuement.
— Oui… j’ai adoré… t’étais parfaite, p'tite puce.
Elle se redresse lentement, se colle à moi, nue, sa peau chaude contre la mienne, son regard planté dans le mien.
— Alors montre-moi comment tu as adoré… en me baisant fort. Sans pitié, murmure-t-elle en se mordant la lèvre.
La manière dont elle me fait cette demande me rend fou. D’un geste vif, je la soulève ; ses jambes viennent s’enrouler autour de ma taille. Je la plaque contre le mur le plus proche, mes lèvres cherchant déjà les siennes. Le baiser est brutal, bestial, nos souffles se mélangent dans un tourbillon de fièvre.
— Je te baise..rai au..tant de fois que tu me le demande...ras… ma ché…rie, soufflé-je entre deux baisers, avant d’attraper ma queue et de la frotter contre sa chatte trempée.
Elle gémit fort, ses ongles s’enfoncent dans mes épaules. Et sans prévenir, je m’enfonce en elle d’un coup de bite brutal, sec et profond.
— JÉSUS-CHRIST ! hurle-t-elle, ses dents venant se planter dans mon cou, incapable de contenir le cri que lui arrache la pénétration.


Je reste planté en elle, profondément, mes reins collés aux siens, mon sexe pulsant au fond de sa chatte trempée. Mon souffle se bloque. Putain qu’est-ce que j’adore la sensation de son intérieur… C’est chaud, serré et très humide. Ses parois vibrent autour de moi, m'enserrent avec une telle intensité que j’ai l’impression d’y laisser ma raison.
— Putain… t’es parfaite autour de moi, Ariane… ta chatte me rend fou, grogné-je contre son oreille, les dents serrées.
Je me retire lentement, juste un instant… ses parois me retiennent encore, comme si elle voulait me garder en elle pour toujours. Puis je m’enfonce d’un autre coup, plus profond, plus brutal, jusqu’à ce que ma base vienne claquer violemment contre sa chatte trempée.
— Oh mon Dieu… Desmond! souffle-t-elle, la voix vrillée par le plaisir, son dos se cambrant, sa tête basculant contre le mur.
Je recommence pour une deuxième fois. Lentement, je sors de sa chatte qui me retient, m’aspire presque, puis je la remplis à nouveau d’un coup sec, ma base heurtant à nouveau sa chatte humide. Ariane crie, secouée par le choc. Et je recommence, une troisième fois. Je me retire doucement, cruellement, savourant chaque millimètre, puis je me renfonce en elle d’un coup de reins bestial. Elle éclate en sanglots, submergée de plaisir.
— Vas-y… s’il te plaît Dédé… baise-moi maintenant, j’en peux plus… j’en peux plus… pardon...
Ses larmes roulent sur ses joues. Son corps tremble contre le mien. Sa voix brisée me fait perdre le peu de contrôle qu’il me restait.
— Tiens-toi bien, mon bébé… parce que là, j’vais te démonter, souffle-je entre mes dents.
Je ressors d’un coup sec, et je retourne en elle d’un seul mouvement, intense, sauvage, jusqu’au plus profond. Cette fois, je commence à la baiser sérieusement. Mes coups de reins sont forts, rapides, impitoyables, nos corps claquent l’un contre l’autre. Ma queue entre et ressort violemment, profondément, dans un bruit obscène de chair mouillée. Sa chatte m'avale, m'engloutit, me serre à chaque va-et-vient, crache son plaisir à chaque choc.
La chaleur est insupportable. Le plaisir, bestial.
— Putain Ari… t’es si bien mouillée… t’entends comment ta chatte suce ma queue ? Écoute ce merveilleux bruit…
CLAP ! CLAP ! CLAP !
Je la prends contre le mur comme un animal, sauvagement, jusqu’à l’entendre pleurer de plaisir. Encore et encore. ( La suite sur la photo 👇🏾)