Littérature > Romance

CŒURS EN OTAGE

La vie est pleine de surprises

1 juil. 2025 - 13 Minutes

Chapitre 24

Le malheur ne vient jamais seul 

  1. Le début du problème


On s'installe à une table près de la fenêtre. Le serveur nous apporte une bouteille de vin, et les on commence à dîner. Mais je sens un vide en moi...

à discuter poliment, mais l'alchimie n'est tout simplement pas là.

Serena parle de ses voyages, de ses projets professionnels, de sa famille, mais moi je répond de manière distrait, mes réponses courtes et peu engagées. Chaque fois qu’elle essaie de lancer une nouvelle conversation, je ne semble pas tout à fait présent. Le regard de Serena devient plus attentif, perceptible à la tension qui se crée entre nous.

— Alors, Taylor, comment se passe ton travail ces derniers temps ? demande-t-elle en souriant, cherchant à engager la conversation.

Je la regarde un instant, puis détourne les yeux, comme si je cherchais mes mots.

— Ça va, rien de neuf. Des affaires comme d’habitude. Je marque une pause, jetant un regard autour de moi avant de reporter mon attention sur elle. Écoute, Serena, il faut que je sois honnête avec toi. Je suis un homme qui aime aller droit au but.

Elle me regarde, un peu surprise par la brusquerie de mes mots.

— Qu’est-ce qu’il y a ? demande-t-elle, légèrement inquiète.

J' respire profondément et pose mon verre.

— Je n’éprouve rien pour toi. Je sais que ma mère m’a demandé de te rencontrer, mais je ne veux pas te faire perdre ton temps. Je soupire une fois de plus.

J’ai essayé d’être ouvert à cette idée, mais je me rends compte que je ne ressens rien. Rien du tout... Il n'y a aucune connexion entre nous pour aller droit au but.

Serena reste silencieuse pendant un moment, son regard se durcit légèrement, mais elle garde son calme. Elle hoche doucement la tête, visiblement déçue, mais elle ne montre aucune colère. Elle prend une gorgée de son vin et me regarde avec un sourire triste.

— Je vois. Elle se penche légèrement en avant, son regard se perd un instant dans le vide avant de revenir vers moi. C’est… décevant, mais je respecte ton honnêteté Taylor, malgré le fait que tu m'as plus dès l'instant où elle m'avait parlé de toi. Et quand je t'ai vu arriver tout à l'heure j'ai ressenti quelque de spécial pour toi. Mais c'est vraiment dommage que tu ne partage pas la même chose que moi

Elle se redresse et me regarde droit dans les yeux.

— Je pensais vraiment que nous pourrions… je ne sais pas, apprendre à nous connaître davantage. Mais si ce n’est pas ce que tu veux, je ne vais pas te retenir. Elle prend une nouvelle gorgée de vin, son air plus détendu mais marqué par la déception. Je suppose que ma mère a raison… peut-être que je ne suis tout simplement pas ce que tu recherches.

Je me sens vraiment très mal à l’aise. Je n'aime pas la voir déçue, mais je ne peux pas me forcer à ressentir quelque chose que je n'éprouve pas. Je prend un moment pour réfléchir avant de répondre.

— Je suis désolé, vraiment. Je n’ai pas voulu te faire de la peine. Ce n’est pas toi, c’est juste que… je ne suis pas prêt. Je crois que je suis encore trop coincé dans mes propres pensées.

Serena m' offre un sourire doux, mais il est évident qu'elle est triste.

— Ne t’inquiète pas, Taylor. Je comprends. Tu n’es pas le seul à devoir faire face à des dilemmes. Mais je ne vais pas insister. Elle se lève lentement, prête à partir. Merci pour ton honnêteté, même si ça m’a pris par surprise. Je pense que nous n’avons pas besoin de prolonger cette rencontre.

Elle prend son sac et se dirige vers la sortie, sans un mot de plus. Je reste là, assis à la table, observant sa silhouette s'éloigner. Un sentiment de vide m'envahit, une déception que je n'avais pas anticipée.

Je prend une profonde inspiration, jetant un dernier regard vers la porte par laquelle elle vient de sortir. Au fond, je sais que je ne suis pas encore prêt à tourner la page, et que mon cœur est toujours prisonnier de Bella.

Je me lève, prend mon téléphone, et compose le numéro de mon chauffeur, sans vraiment savoir ce que je vais faire ensuite. Ce dîner n'aura été qu'une nouvelle tentative, mais je réalise à quel point il m'est est difficile de renoncer à ce que ressent encore pour elle.

La soirée, pour moi, est loin d’être terminée, mais je sais que je dois faire face à cette réalité : je ne peux pas oublier Bella.

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La nuit est tombée sur Yaoundé, enveloppant la ville dans un manteau d'obscurité. Je viens de sortir du restaurant, un endroit raffiné où j' avais signé des contrats importants.

Depuis plusieurs mois, je ne parviens plus à me débarrasser de la pensée de Bella. Elle est partout, dans mon esprit, et pourtant,je l’avait rejetée, la repoussant à cause de mon orgueil démesuré.

À chaque seconde qui passait, je me rends compte que cette décision avait été une erreur.

Je m'installe derrière le volant de ma voiture de luxe, une berline noire rutilante, et démarre le moteur. Mon chauffeur n'a pas pu venir me chercher car il a eu un imprévu.

Les phares éclaire la route désertée, tandis que m'éloigne du restaurant, mon esprit perdu dans un tourbillon de pensées. Je tourne le volant avec force, dépassant des voitures sur la route, roulant à une vitesse excessive, pressé de quitter le restaurant et cette ville qui me rappel Bella. J' appuie sur l'accélérateur, la voiture fonce dans la nuit, tandis que mes pensées tournent autour de Bella.

Je n'ai pas pris la mesure de la vitesse avec laquelle je roule, mon esprit entièrement pris par des souvenirs, des regrets, des émotions que j'avais ignorées trop longtemps. Je suis à la fois en colère contre moi-même et perdu, mais je suis incapable de ralentir.

Soudain, un éclair de lumière apparaît dans ma vision périphérique : une voiture arrivant en sens inverse, se déplaçant à toute allure, franchit la ligne médiane. En un instant, je tente de m’éloigner, de braquer le volant pour éviter le choc, mais c'est trop tard. L'impact est violent, un bruit de métal qui se tord, des vitres qui éclatent, un bruit de souffle qui se fait soudainement rare, presque irréel.

Ma voiture dérape hors de contrôle, glissant sur la route avant de heurter un muret en béton. La violence du choc me projete en avant, mon corps heurtant le volant, mon visage frappé par l’airbag qui se déploie trop tard. Je reste quelques secondes désorienté, le cœur battant la chamade, mon corps engourdi par la douleur immédiate du choc.

Les sirènes des secours se font entendre à distance, mais avant qu’ils ne puissent arriver, je tente de sortir de ma voiture. Je secoue la tête, le sang bouillonnant dans mes veines, mais la douleur qui envahit mon dos, ma poitrine et son bras droit était insupportable. Mes mains tremblent tandis que j'attrape la portière, mais je ne parvient pas à l’ouvrir. Mes yeux se brouillent légèrement, et un vertige soudain m’envahit. Je m’effondre dans le siège, la tête encore en feu.

La nuit est tombée sur Yaoundé, enveloppant la ville dans un manteau d'obscurité. Je viens de sortir du restaurant, un endroit raffiné où j' avais signé des contrats importants.

Depuis plusieurs mois, je ne parviens plus à me débarrasser de la pensée de Bella. Elle est partout, dans mon esprit, et pourtant,je l’avait rejetée, la repoussant à cause de mon orgueil démesuré.

À chaque seconde qui passait, je me rends compte que cette décision avait été une erreur.

Je m'installe derrière le volant de ma voiture de luxe, une berline noire rutilante, et démarre le moteur. Mon chauffeur n'a pas pu venir me chercher car il a eu un imprévu.

Les phares éclaire la route désertée, tandis que m'éloigne du restaurant, mon esprit perdu dans un tourbillon de pensées. Je tourne le volant avec force, dépassant des voitures sur la route, roulant à une vitesse excessive, pressé de quitter le restaurant et cette ville qui me rappel Bella. J' appuie sur l'accélérateur, la voiture fonce dans la nuit, tandis que mes pensées tournent autour de Bella.

Je n'ai pas pris la mesure de la vitesse avec laquelle je roule, mon esprit entièrement pris par des souvenirs, des regrets, des émotions que j'avais ignorées trop longtemps. Je suis à la fois en colère contre moi-même et perdu, mais je suis incapable de ralentir.

Soudain, un éclair de lumière apparaît dans ma vision périphérique : une voiture arrivant en sens inverse, se déplaçant à toute allure, franchit la ligne médiane. En un instant, je tente de m’éloigner, de braquer le volant pour éviter le choc, mais c'est trop tard. L'impact est violent, un bruit de métal qui se tord, des vitres qui éclatent, un bruit de souffle qui se fait soudainement rare, presque irréel.

Ma voiture dérape hors de contrôle, glissant sur la route avant de heurter un muret en béton. La violence du choc me projete en avant, mon corps heurtant le volant, mon visage frappé par l’airbag qui se déploie trop tard. Je reste quelques secondes désorienté, le cœur battant la chamade, mon corps engourdi par la douleur immédiate du choc.

Les sirènes des secours se font entendre à distance, mais avant qu’ils ne puissent arriver, je tente de sortir de ma voiture. Je secoue la tête, le sang bouillonnant dans mes veines, mais la douleur qui envahit mon dos, ma poitrine et son bras droit était insupportable. Mes mains tremblent tandis que j'attrape la portière, mais je ne parvient pas à l’ouvrir. Mes yeux se brouillent légèrement, et un vertige soudain m’envahit. Je m’effondre dans le siège, la tête encore en feu.

***Alex Obiang***

Heureusement que je n'étais pas loin du restaurant car SÉRENA m'avait envoyé un message en disant que Taylor mon pote ne la veux pas.

Je venais pour lui dire qu'il est temps d'aller chercher la femme qu'il aime. Mais malheureusement il était déjà parti. Ma voiture était non loin de la sienne et j'ai été témoin de cet accident mortel. J'ai même dû appeler les secours. J'espère seulement que mon pote va s'en sortir. Si j'étais superman, j'aurais pu lui éviter cet accident.

__ Taylor ! Taylor mon pote je t'en supplie parle-moi s'il te plaît... À l'aide ! Au secours !

Venez par ici... dis-je en pleurant.

Bon sang mec qu'est-ce qui s'est passé bordel ?

Quelques secondes passent avant que les secours n'arrivent en courant. Les paramédics se précipitent vers sa voiture, ouvrant la portière avec précaution, évitant de causer plus de dégâts. Taylor est inconscient et n’arrive pas à répondre. Il y'a du sang partout et même cette chemise blanche que je porte n'a pas été épargné.

— On doit l'emmener immédiatement à l’hôpital, dis-je d'un ton irrité.

__ Préparez-vous à transporter un blessé grave. C’est une urgence, ajoute l'un des agents.

Les secouristes travaillent rapidement, transférant mon pote Taylor sur une civière, le fixant sous surveillance tout en l’installant dans l'ambulance. Je me suis placé à ses côtés.

L'ambulance fonce à travers les rues de Yaoundé, les sirènes hurlent dans la nuit. Pourquoi ne l’avait-il pas écoutée quand elle lui disait qu'elle l’aimait ? Pourquoi avait-il repoussé Bella ? Il se maudit à chaque seconde, réalisant que son arrogance et son orgueil l’avaient mené à ce point de non-retour.

Quelques minutes plus tard, l’ambulance entre dans l’hôpital, et Taylor fut transporté d’urgence en soins intensifs. Les médecins et les infirmières s'affairent autour de lui, le connectant à des machines et vérifiant son état de santé. Il est dans un état critique. Pendant que nous étions en route, j'ai appelé sa mère Mme Noura.

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Une demie heure plutard c'est le médecin qui arrive.

__ Docteur je vous en supplie dites-moi qu'il va s'en sortir ?

__ Mr Alex je suis vraiment désolée car je ne peux pas me prononcer à ce sujet.

Ses fractures sont nombreuses : des côtes cassées, une entorse sévère à la cheville, des contusions internes. Le diagnostic est clair. Nous devons beaucoup prier afin qu'un miracle se produise. Pour couronner le tout il a une hémorragie cérébrale. Nous faisons de notre mieux pour le sauver, dit-il d'un air triste.

Il est très rare que les patients s'en sortent Indemne de ce genre de blessure cérébrale.

__ Docteur vous savez pertinemment que l'argent n'est pas un problème. Je vous en supplie à genoux, sauvez-le s'il vous plaît !

__ Nous faisons de notre mieux ! D'ailleurs nous avons fait appel à notre meilleure chirurgien depuis les États Unis pour son opération.

Nous allons tout mettre en œuvre, faire l'impossible afin de sauver votre ami. Maintenant excusez-moi !

Sa mère est déjà en route et je crois qu'il peut arriver d'une minute à l'autre.

__ Alex comment va mon fils je t'en supplie ?

__ Mme Noura vous devriez garder votre sang froid. Taylor est un dur à cuire, il va s'en sortir j'en suis sûr !

__ Oh mon Dieu mon pauvre bébé, dit-elle en pleurant.

Mon Dieu sauve mon fils et prends-moi à sa place.

Dans la salle des soins intensifs, mon pote Taylor reste inconscient pendant des heures. Les médecins le stabilisent, mais il demeure sous observation, son état nécessite des soins constants. Les appareils autour de lui émettent des bips réguliers, signalant que son cœur continue de battre, que la vie persistait en lui malgré l'ampleur de l'accident.

__ Je dois aller quelque part j'en ai pas pour longtemps. Mais si les choses se compliquent n'hésitez surtout pas à m'appeler, dis-je d'un ton rassurant.

__ Merci beaucoup mon fils, mon Taylor a la chance de t'avoir comme ami, dit-elle en pleurant.

Oh mon pauvre chéri ! Mon bébé ne laisse pas ta mère s'il te plaît.. ne m'abandonne pas mon amour.

Surtout ton fils Noah a encore besoin de toi.

Alors qu'elle sirote tranquillement son café, le son de la porte d'entrée la fait sursauter. Elle se lève précipitamment et m'aperçois.

Mon visage est tendu, mon expression grave. Bella remarquae immédiatement que quelque chose n’allait pas.

— Alex ? Qu'est-ce qui se passe ? demande Bella, son cœur s’emballant.

Je m'approche lentement, l’air hésitant, puis m’asseois en face d’elle. Mes yeux sont pleins de tristesse, et Bella sent la peur s’emparer d’elle.

— Bella... commençé-je, la voix tremblante... Je suis sincèrement désolée d'avoir débarquer chez toi de cette manière comme un sauvage.

Il y a eu un accident...

Elle fronce les sourcils, luttant pour comprendre de quoi je parle. Un frisson glacé parcours son corps. Elle sait déjà, d’une manière qu’elle ne peux expliquer, que c'est quelque chose de grave.

— Un accident ? De qui ? demande-t-elle, d’une voix faible, ses mains se crispant autour de sa tasse.

Je prend une profonde inspiration, mes yeux fuyant ceux de Bella, comme si j'avais du mal à prononcer les mots.

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— C’est Taylor... murmuré-je, et les mots tombent dans l’air lourd comme des pierres. Il a eu un accident de voiture. C'est grave. Il est à l'hôpital, dans le bloc opératoire. Il a été gravement blessé. Il est en train de lutter contre la vie et la mort en ce moment. Il a vraiment besoin de toi à ses côtés, même s'il ne peut ni te voir, ni t'entendre.

Bella sent son cœur se serrer. Un coup douloureux qui fait tout son corps vaciller. Elle se lève brusquement, sa tasse tombe de ses mains, éclatant en petits morceaux sur le sol. Elle mefixe, la terreur dans ses yeux.

— Quoi ? crie-t-elle, sa voix brisée par la panique. Mais... comment ? Pourquoi ? Est-ce qu'il va s'en sortir ?

Comment va-t-il ?

Je la regarda, mon regard plein de compassion, mais je ne répond pas tout de suite. Je sais que la réponse n'est pas facile à donner. J'ai vu l’état dans lequel Taylor avait été transporté à l'hôpital. C'est critique. On ne sait pas s'il va survivre à l'opération.

— Je... je ne sais pas. Mais il est en soins intensifs maintenant, Bella. Ils font tout ce qu'ils peuvent pour le sauver. Il faut qu'on y aille. Je t'emmène à l'hôpital..

Sans réfléchir, Bella hoche la tête, déjà prête à courir vers la porte. Elle a besoin de le voir. De savoir s’il est encore en vie, si elle pouvait encore lui dire quelque chose, si elle peut lui dire qu’elle est là pour lui, peu importe ce qui s'était passé entre eux. Elle avait besoin d’être près de lui, même si tout semble impossible.

— Je peux pas rester ici.

Vite, Alex... emmène-moi à l’hôpital maintenant ! dit-elle, ses yeux en larme

Je me lève précipitamment, la saisissant par le bras, la guidant hors de la maison. Elle n'a même pas pris le temps de s'habiller convenablement ; elle est encore en pyjama, mais cela lui importait peu. Elle ne pense qu’à une seule chose : Taylor.

Le trajet jusqu’à l’hôpital paraît interminable. Je ne cesse de lui jeter des regards pleins de préoccupation, mais Bella est trop perdue dans ses pensées pour le remarquer.

Lorsqu'on arrivèrent enfin à l’hôpital, Bella sent ses jambes trembler alors qu'elle franchissait les portes.

Je sens qu'elle a peur, terriblement peur. Peur de perdre l’homme qu’elle avait aimé. Peur de se retrouver à la croisée des chemins sans pouvoir rien faire.

— Je vais m'occuper de tout, Bella, dis-je Alex, la voix plus calme, mais aussi remplie de tension. Je vais m'assurer qu’on puisse le voir. Reste là, je vais vérifier.

Bella accepte d'un signe de tête, les yeux rivés sur les portes du bloc opératoire. Elle est figée, son cœur bat la chamade. Elle ferme les yeux un instant, murmurant une prière silencieuse.

Quelques minutes plus tard, je revient avec un visage grave. Je m'approche de Bella, posant une main sur son épaule pour la soutenir.

— Ils l'ont emmené en salle d'opération, annonçé-je, avec une voix qui tremblait légèrement. C'est sérieux, Bella. Mais les médecins disent qu’il y a encore de l’espoir.

— Je veux le voir. Je veux être avec lui. Sa voix était ferme cette fois, pleine de détermination. Il a vraiment besoin de moi Alex.

— Je vais tout faire pour que tu puisses entrer,dis-je enfin, avant de la guider vers les couloirs de l'hôpital.

__ Que fait cette trainée ici Alex ? Pourquoi est-elle là ? Mon fils n'a pas besoin d'une trainée comme elle à ses côtés.

__ Mme Noura je vous en supplie, Taylor est dans cet état une partie parce qu'il ne cessait de penser à cette femme... Bref! Il a besoin d'elle car elle est la femme qu'il aime...

__ Sacrilège !

Qui a dit que mon fils est amoureux de cette fille aux cuisses légères qui vend son corps aux hommes riches comme des petits pains ?

En tout cas...

__ Mme Noura nous devons y aller ce n'est pas le moment de faire du drame, dis-je avec assurance.

__ Bella je suis sincèrement désolée pour tout cela, dis-je en la guidant vers le bloc opératoire.

__ C'est pas grave Alex, seul la santé de Taylor compte pour moi. Les paroles blessantes de sa mère ne m'ont pas atteint

À suivre...