Amoureuse de mon patron
By Nelly Carelle
Chapitre 20
#amoureuse_de_mon_patron #
émy Votre boss ne perd rien pour attendre, il va me le payer. Comment ose-il s’introduire ici et me chauffer comme jamais puis m’abandonner de la sorte ?
Après un dernier coup de parfum je ressors de la salle de bain avec assurance, je sens le regard pensant de votre boss sur moi, je m’en régale déjà, l’heure sera lue sur la montre chinois haha.
Je rejoins Daniel qui s’apprête à faire un discours, je lui prends la main et me colle à lui.
Je vois Jerry retenir Éric je m’en réjouis déjà.
--Bonsoir à tous ! Merci d’avoir répondu présent pour partager ce moment de joie avec nous.
Ça fait exactement cinq ans jour pour jour que l’établissement à été créé après des durs laveurs de travail et d’investissement.
Le complexe comprend un restaurant deux étoiles, une salle de sport, un glacier et une salle de jeux, depuis plus de cinq nos avons vu la clientèle défilé,
les plus fidèles sont ici pour partager avec ma famille, mes amis et moi ce moment de joie.
Je remercie émilienne, une belle âme (il l’a regarda, et prit sa taille avec sa main, Éric Serra ses poings)
c’est elle qui à penser cette décor et nous réaliser la plupart des mignardises et pâtisseries que vous dégusterez ce soir.
Sans plus tarder je vous souhaite de passe une agréable soirée, levons nos verres à cette soirée
~tchink~~
-j’allais oublier, nous serons de supers lots à vous faire gagner, alors soyez bons joueurs. Rappliqua à nouveau Dany.
--mec regarde là, elle le suit comme un toutou au milieux de tous ces tables, c’est son mari.
-calme toi mec !
Nous sommes venus passés une bonne soirée. Je n’aurai pas du t’emmener, ne crée pas de scandale s’il te plaît ! -qu’il s’éloigne de ma meuf !
--il n’a rien fait, et émilienne n’est pas officiellement en couple avec toi ! Les invités venaient de consommer leurs plats d’entrée !
--c’est l’heure du premier jeu. Tout le monde porta son attention sur Dany et Emy qui se tenaient au milieu de la pièce !
--c’est simple ! Nous mettrons en jeu, une séance dans un institut de bien être, spa, massage, hammam et plusieurs autres services vous serons offerts.
Sur chaque table, chacun d’entre vous a un numéro. Voici les mêmes dans ce bocal,
ma jolie assistante Émy se chargera de tourner les boules et de désigner le vainqueur qui viendra vers nous !
Emy se mit à tourner les papiers dans le bocal puis elle en sortit un chiffre.
-le numéro 33 ! Qui l’a s’il vous plaît ? Demanda-elle Chacun regarda sur son papier, ils sont déçus…
soudain une voix s’élève…
-c’est moi qui l’est ! C’est Éric le chanceux !
Il se leva, les femmes de la salle étaient en admiration devant ce beau brun aux cheveux courts frisés de surcroît avec une posture imposant et un charisme inébranlable,
elles se demandaient bien qui mangeaient ce pain croustillant.
Il s’approcha au milieu d’eux et présenta le coupon à Emy.
C’était bien lui heureux gagnant d’une séance de deux personnes dans l’institut de bien être…
-Dany lui remis les bons pour l’institut. Et l’une des femmes de l’assistance posa une question à haute voix.
-mon mignon tu es seule ? Je peux ty accompagner ! Ce qui créa du bruit de la part des femmes dans la salle .
Certains maugréaient d’autres lui disaient <<ma copine saisit les opportunités on ne connait pas le caillou qui peut tuer l’oiseau>>
C’était plutôt une belle femme de teint chocolat mais elle ne m'iinteressait clairement pas. Éric prit le micro à Dany.
-comment tu t’appelles. Demanda Éric à la jeune dame !
--Anaïs !
--Anaïs tu veux bien me faire l’honneur de m’accompagner à cette institut ?
--ouiiii ! Cria-elle avec joie, ce qui fit rire l’assistance.
--voici ma carte. Il s’approcha d’elle et le lui remit. Elle avait les yeux qui brillaient elle n’en revenait pas. Éric s’en foutait pas mal,
émilienne voulait jouer, ils allaient bien se marrer haha !
Il donnait sa carte de service à longues de journée aux clients ça ne signifiait rien. Il rejoignit sa place sous le regard d’Anaïs,
elle était séduite par le personnage.
Tout ceci sur le regard d’Emy qui était jalouse, elle se gardait de manifester sa jalousie et affichait un large sourire à tout épreuve.
_Voilà qui finit bien, qui sait nous avons peut être créé un nouveau couple, renchéri Dany pour ironiser.
Plusieurs clients repartirent avec de nombreux de lots, télévision, smartphone montres connectées…
la soirée finit par un dîner et des déserts à volonté. Les clients avaient apprécié les déserts et mignardises servis,
il s’était rapprochée d’Emy pour avoir son contact pour bénéficier de ses services, celle-ci était contente.
Le restaurant se vidait peu à peu , chaque client rentrait avec un cadeau surprise emballée spécialement par Émy. Il ne restait plus beaucoup de clients.
Éric et Jerry se lèvent pour dire au-revoir à Dany et Emy.
-ce fut un plaisir Dans ! Tu as frappé fort. Merci pour l’invitation ! Dixit Jerry
-merci Jerry ! Ce fut un plaisir de t’avoir avec nous pour cette soirée,
ainsi que toi Éric j’espère que tu t’es bien amusé ?
Demanda-il à Éric ! -oui merci ! Il s’approcha d’Emilienne et lui chuchota quelques mots dans les oreilles.
<<u n’as intérêt à rentrer avec lui, je t’entends dans la voiture dans dix minutes, si d’ici là je ne te vois pas, je reviens ici te porter de force>> Ils sortirent du restaurant,
Emy savait capable Éric de mettre sa menacé à exécution un vrai fou furieux, elle ne voulait surtout pas casser l’ambiance de la soirée.
--tu dois être également épuisée émilienne, je te ramène ?
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-non pas la peine !
-tu ne vas qu’en même pas rentrer seule, il se fait très tard.
-Éric me ramènera ! Il m’attend dehors !
--ok ! Dit-il l’air déçu !
--merci Dan ce fut une belle expérience de t’aider à planifier cette soirée, merci de m’avoir tendj la main,
je me suis fais pleins d’autres clients grâce à toi.
-ne me remercie pas, c’est le fruit de tes efforts, je t’apprécie beaucoup tu es une vraie battante.
-merci ! Elle lui fit une bise rapide sur la joue et s’éclipsa.
Elle sortit du restaurant et se dirigea vers le parking.
Ses pieds étaient lourds et engourdis dans ses talons. Elle vit Éric adossé sur sa voiture, il l’attendait depuis un bon bout de temps.
Il la fixait tout le long, c’était très déconcertant pour elle. Elle arriva à sa hauteur I
--j’étais déjà sur le pont de venir te chercher.
--tchuips ! Je suis là tu exagères, dit-elle en passant pour ouvrir le côté passager. Il attrapa son bras.
-reviens là bébé ! Il prit sa tête avec ses deux mains. -regarde moi !
-lâche-moi moi ! Tu n’es qu’un coureur de jupons, tu ne changeras jamais.
Comment as-tu osée draguer cette fille ouvertement devant moi.
Vous les hommes toujours à vous promenez avec votre queue entre les jambes.
Émy était en colère elle se libera de son emprise et monta en voiture.
Jerry était déjà rentré chez lui. Éric venait de se mettre dans un sacré bourbier.
Il ouvra la portière et s’assied, il aida à mettre sa ceinture malgré sa colère, il mit la sienne et démarra.
-où vas-tu ? Ce n’est pas la route de chez moi ! Éric resta silencieux !
-Éric je te parle, tu m’écoutes ?
--oui ! Je sais très bien que ce n’est pas la route qui mène chez toi ! Je te ramène chez moi, je dois te faire un dessin ?
-tu m’emmènes chez toi sans m’en informer ?
--ce n’est pas aussi la maison de mon fils ? Il veut le chez lui ça te fait mal où ?
--Éric tu n’es qu’un bandit ! Un lâche !
--okey ! Je vais te faire ravaler tes paroles tout à l’heure, nous arriverons bientôt ne t’inquiètes pas bébé !
--Hum ! Emy resta calme sur son siège et se mit plutôt à admirer le paysage,
il faut avouer que la nuit la ville était éclairée de partout c’était si beau à voir. Éric la regarde s’abandonner ,
le vent ramène les mèches de sa perruque sur son front qu’elle ne cesse de les rabattre derrière son oreille. Elle est si magnifique .
--Emy ! Ma émilienne parle moi s’il te plaît ! Emy resta silencieuse tout le reste du trajet.
Le gardien ouvra le portail, Éric gara, il descendit et alla l’ouvrir la portière,
il se pencha pour défaire sa ceinture, elle se prenait son parfum en plein nez, il sentait sur bon, elle posa le pied pour descendre et une douleur la submergea.
-Aïe !
--qu’est ce que tu as bébé ? Demanda-il inquiet .
-j’ai mal aux pieds, enlève mes talons c’est insupportable.
--Hum les femmes avec le nyanga (mot utilisé en jargon camerounais, qui fait référence à la beauté, l’élégance, crâner.
Dépendant du contexte dans lequel il est employé).
J’arrive pas à croire que tu arrives à porter des talons aussi hauts à 6 mois de grossesse.
-tchuips ! Les talons empêchent quoi ?
Je ne dois plus me faire belle ?
--tu te fais belle pour qui ? Je t’ai passé la commande ? Je t’ai dit que je me plaignais ?
-Éric lâche moi ! Je vais m’en aller d’ici !
-Dis donc calme toi ! Laisse moi faire .
Il se courba et enleva ses chaussures sa peau mêlée à celle d’Emilienne lui procure des frissons. Il se retourna pour partir.
-et tu me laisses là ? Je n’arrive pas à marcher !
-je ne t’ai pas passer la commande des talons ! Je meurs quoi dedans maintenant ?
-milliardaire de pacotilles !
--haha ! J’ai qu’en même réussi à tirer et un joli but est entré te voilà avec le ballon d’or.
--Éric ce n’est pas drôle ! Plus jamais tu ne me toucheras ! Il revint sur ses pas !
--bébé tu exagères, décoince en peu, tu sais bien que c’était pour détendre l’atmosphère. On peut tout me faire mais pas me priver de ça !
Emilienne lui donna un petit coup entre les jambes, il s’arrêta l’entre-jambes et se mit à se tortiller, celle-ci se mit à rire.
-Émilienne tu es une sorcière ! Tu veux tuer tous mes héritiers, tu as encore dix à porter. Criminelle !
--haha ! C’était juste de l’humour comme tu l’as dit mon chou !
--Hum ! Il la porta jusqu’à l’intérieur et la posa sur le canapé du séjour. Il monta à l’étage et se déshabilla et mit un short, laissant son corps de rêve de exposé.
Il chauffa en peu d’eau et mit dans un seau avec quelques gouttes d’huile pour apaiser les pieds d’Emilienne,
ensuite il redescendit avec le seau. Émilienne n’avait à sa vue, cela faisait des lustres qu’elle ne l’avait pas vu torse nu.
Il se courba et posa le seau à ses pieds et y trempa ses pieds.
--ça te fera du pied. J’arrive !
-tu vas où ?
-te faire couler un bain, tu en as besoin !
--je n’aime pas quand tu es si gentil avec moi ?
--tu es une mazo, je l’ai toujours su ! Tu aimes quand je te fais pleurer.
J’ai pris note tout à l’heure je te ferai pleurer comme une malade au lit.
-haha ! Dieu m’avait seulement aveuglé, je ne sais pas comment j’ai fait pour t’aimer un jour !
--tu sauras tout à l’heure ! Haha !
--haha ! Éric ce n’est pas drôle !
Il s’éclipsa et alla dans sa chambre et lui fit couler un bain avec des huiles parfumées qui sentaient agréablement bon.
Il redescendit plutard !
--j’ai fini ! Tes pied vont mieux ?
--en peu ! Merci pour cette attention.
-je t’en prie ! Il enleva ses pieds et l’aida à se lever. -si tu n’arrives pas à marcher, je peux te porter.
-je peux le faire aide moi en me soutenant comme tu le fais. Il l’a regarda et sourit…
--quoi ? Demanda Émy .
--non rien ! Elle s’agrippa avec à lui et tout doucement, il l’aida à gravir les marchés qui menaient à sa chambre.
-aide moi à ouvrir ma robe.
--vous désirs sont des autres. Il s’exécuta, et descendit jusqu’à ses fesses, il admira son dos,
ce n’était pas l’envie de la prendre qui lui manquait…
-fais comme chez toi, tu connais tout !
--euh ! Où vas-tu ?
-tu avais encore besoin d’autres choses ?
--non, euh ! Balbutia-elle
-ok ! Il descendit. Elle brulait d’envie qu’il la touche et joigne son corps au sien.
Éric referma la porte. Émy laissa tomber sa robe.
Elle entra dans la douche et vit le bain qu’il avait fait couler pour elle dans la baignoire, elle avait de la chance de l’avoir.
Quand il le voulait Éric pouvait se montrer comme un ange.
Elle prit son temps et profita de son bain durant une demie heure et ressortit et attrapa une serviette de bain et s’essuya,
elle regarda dans les rangements d’Éric et prit de l’huile et la fit pénétrer à sa peau, elle sentait agréablement bon.
Elle regarda dans son dressing et prit un de ses t-shirts et l’enfila, il était long sur elle.
Elle ressortit de la salle de bain.
Dans la chambre d’Éric il y’a une petite bibliothèque, elle se munie d’un livre et coucha sur le lit elle en avait besoin , elle se mit à lire…
La porte s’ouvrit quelques minutes plutard sur Éric ! Il s’adossa à porte et se mit à la contempler, son ventre avait prit du volume, elle était si magnifique.
-qu’est ce que tu fais là à me regarder ! Viens ! Il se rapprocha et se coucha près d’elle.
Elle se mit à caresser ses cheveux toit en continuant sa lecture.
-qu’est ce que tu lis ?
-Amoureuse de mon boss de Nelly Carelle c’est une jeune auteure, une petite fille plutôt douée qu’elle imagination.
-je l’ai déjà lu, tu ne trouves pas que cette histoire nous décrit parfaitement ?
--c’est vrai ! Tu as déjà lu la fin ?
--pas encore ! Il prit le livre de ses mains et le posa sur le table de chevet.
-Éric qu’est ce que tu fais je n’ai pas fini !
--tu es venu chez moi lire ?
--Hum ! Ne commence pas ! Dit-elle en bourdant. Éric se met à chatouiller comme une gamine.
-haha ! Éric arrête je vais me pisser dessus. Ton fils est près de ma vessie.
-t’inquiète pas je vais t’aider à boire. -tu es dégueulasses.
Il se mit à caresser son ventre à travers le t-shirt qu’arborait Émy.
--waouh ! Je l’ai senti bouger c’est fou ! Dit-il l’air excité. -ton fils c’est un vrai catcheur !
--toi-même quand tu me vois je n’en suis pas un ?
--haha ! Je n’avais pas bien lu la notice avant de m’engager avec toi il y’a un an !
--comme c’est fou ! Tout c’est vite enchaîné entre nous ! Dit-il en la regardant ! -émilienne ?
--oui !
--tu ne m’as jamais parlé du père de Sophia ! Où est-il ?
Emy se sentit submergée par les émotions rien qu’à penser à ce jour tragique,
une larme s’échappe de ses yeux. Éric la nettoie, il ne comprend pas pourquoi elle se met dans cet état.
--je suis désolé je n’aurai pas du te poser une telle question si j’avais su que ça te mettrait dans cet état.
-Ne t’excuse pas, il fallait bien que tu me le demandes un jour !
Il s’appelait Rulio, un brillant un ingénieur informaticien à l’époque nous étions jeunes nous avions pleins de rêves,
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nous avions déjà concrétisé quelques uns, Sophia devait avoir un an et nous préparions notre mariage après une demande à mariage un an plutôt.
Puis un jour je reçus un appel d’un infirmier m’annonçant que mon fiancé avait été emmené d’urgence à l’hôpital après un tragique accident de la circulation,
sa voiture avait lâché et il s’était fait percuté par un camion, il est décédé plutard,
ce jour là le terre m’est tombée dessus, mais avec le soutien de ma mère j’ai pu m’en sortir je n’avais pas le choix je devais le faire pour ma fille.
Emy finit son récit avec les larmes,
Éric se rend compte que le destin ne les avait pas réunit au hasard lui également avait une histoire similaire à elle,
il s’en voulait elle en avait tellement bavé. Toutes les fois où il l’avait blessé et rejeté il regrettait.
Il l’a prit dans ses bras pour la réconforter.
--je suis là maintenant ! Je suis désolé pour toutes les fois où je t’ai fait de la peine.
Je m’en veux tellement de t’avoir jugé par moment. Elle relève son visage.
-Ne t’inquiète pas, je t’ai pardonné il y’a fort longtemps !
-Nous avons des histoires similaires, j’ai perdu ma fiancée enceinte de notre fille il y’a des années également,
ça m’avait tellement affecté que je m’étais construit cette carapace, je n’avais plus de considération pour les femmes, je n’avais plus goût à la vie.
Je me sentais vide et déposséder d’un cœur.
Puis un jour je t’ai vu hurlant sur mon chauffeur, tu m’as tout de suite plus,
par la suite le destin t’a mis sur ma route en tant que mon assistante puis de fil en aiguille tu as su gagner mon cœur pierre.
Émilienne tu es une bonne femme, tout homme bien constitué, rêverait d’avoir une femme telle que toi pour cheminer à ses côtés, tu es amour, empathique, belle, douce, intelligente…
tes qualités sont nombreuses malgré ton obstination…haha !
--c’est gentil ! Je vais craquer. -tu vas arrêter de chialer meuf. Je ne supportez pas te voir pleurer.
-haha ! D’accord pour aujourd’hui je ferme le robinet de Titanic.
-haha ! Tous les deux se mettent à rire ! -Juste une question !
--oui ! -nous sommes de nouveau ensemble ?
--non ! Dit -elle en se retournant de lui pour le narguer. -j’aime les femmes qui aiment se faire désirer.
Je sais que je suis ton terminus, continue de courir dans le sac.
-haha ! Tu ne dis rien !
-Je parie que ce sont les caprices de grossesse. En tout cas j’ai déjà trouvé ta coépouse nous allons aller au spa pour une séance de massage,
je me ferai un plaisir de bien la masser en profondeur, tu vois en peu ou bien tu veux que je te dessines ?
Elle se retourne et lui prends la verge avec sa main et la tire aussi fort qu’elle peut celui-ci se tort de douleur.
-émilienne ne me tue pas s’il te plaît ! J’ai compris lâche la !
--tu vas apprendre à tenir ce que tu as entre tes jambes là tranquilles, si tu vas à ce rendez vous tu es mort. Eric était en sueur.
--je jure je n’irai pas ! Bébé je t’en supplie lâche là ! Tu me fais mal.
-d’accord ! Elle se mit à sourire, le pauvre il n’arrêtait pas de se tordre et d’arrêter sa verge.
-j’ai fait entrer une folle dans ma vie !
-Toi-même tu es facile ? C’est être nous les fous !
Soyons fous !
Elle se leva et s’assied sur son entre jambes et se mit à se remuer comme un serpent sur Éric, il était déjà bien dressé.
-la déesse de l’envoûtement. Bébé tué moi tu prends toute ma fortune.
--chut ! Ta fortune la ne me suffira pas !
-je vais ajouter toutes mes autres actions que j’ai dans d’autres entreprises. Oui bébé vas-y.
-voilà tu parles bien ! Je serai une veuve joyeuse. Elle se remua dans tous les sens, et tweerka comme Shakira, Éric n’arrivait pas à se contenir.
--bébé tu vas me tuer. S’il te plaît libère moi, je n’en peux plu.
--laisse moi te tuer ce soir.
Elle ferma sa bouche pour qu’il arrête de parler et sortit sa verge de son short et se mit à le sucer goulûment comme une bonbon, il prenait son pied.
Elle se donnait à cœur joie, elle le voyait planer puis elle arrêta tout , se coucha…Éric revint à lui.
--putain émilienne qu’est e que tu fais ? Terminé ce que tu as commencé !
-ça te fait aussi mal ? Ça fait 1-1, match nul ! Tu vas lire l’heure ce soir .
-de toute façon, j’irai en prison pour viol, tu ne peux pas me faire ça !
--haha ! Couche toi tu dors chéri ça va aller ! Éric était frustré elle veniat de l’exciter au plus haut point mais n’avait pas achever ce qu’elle avait commencé.
Elle souriait, elle prit la couverture et posa sur elle.
Éric descendit du lit et prit un douche pour se calmer, après quelques minutes il revient et la trouva endormie.
Il l’entoura de ses bras et elle se blottir dans ses bras.
-bonne nuit bébé !
--bonne nuit mon milliardaire ! Éric se mit à sourire, et s’en dormit plutard également .
Je redescends du lavabo puis j’essaye de remettre tout en ordre, puis je mets mes verres ça me donne une allure de diva.
Je vais enrager votre boss ce soir jusqu’à ce qu’il me demande pardon.
Il ne perd rien pour attendre , la troisième guerre mondiale en cours de téléchargement. Je sais où ça lui fait mal, je fais le piquer très fort là-bas haha !
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