Amoureuse de mon patron
By Nelly Carelle
Chapitre 19
19. #
Dany Il y’a peu j’ai avoué mes sentiments à Émilienne mais elle a été franche avec moi en me disant qu’elle ne partageait pas mes sentiments,
je ne lui en veux pas mais c’est difficile de passer à autre chose et parfois de la savoir près de moi sans que je ne peux la touche.
Ça me tue de voir son ex rodé autour d’elle comme un prédateur en quête de sa proie mais par respect pour émilienne je me tiens tranquille.
Pour les cinq de mon restaurant, j’ai décidé d’organiser une belle fête,
elle m’est d’une grande aide, je me demande comment ce mec a pu laisser une telle perle, c’est la femme parfaite dont chaque homme rêverait d’avoir à ses côtés.
-maman je peux avoir ton téléphone ?
-pourquoi Sophia ?
--je veux parler à papa Éric !
-Ça ne sera pas possible chérie !
--pourquoi ?
--parceque euh…
-tu vois tu n’as pas de raison ! S’il te plaît, s’il te plaît ! J’aimerai beaucoup qu’il vienne pour notre belle fête d’arbre de Noël,
ça sera mon cavalier pour la soirée comme dans cendrillon vêtue de me plus belle robe. Sophia parlait tournant tournoyant sur elle-même…
Émy trouva cela drôle et mignon. -okey ! Tu as gagné je vais l’appeler.
Elle prit son téléphone et lança l’appel et le donna à sa fille tout en prenant le soin de mettre sous haut parleurs.
--allô mon double ! Votre patron qu’est ce qui peut être bête, allô mon double ngnèngnè, c’est aujourd’hui qu’il se rendait compte de cela Tchuips.
-Ce n’est pas ton double, mais ta princesse, sa majesté Sophia !
--oh ! Excusez moi majesté ! Que me vaut l’honneur de votre appel ?
-vous êtes tout excusez ! Votre princesse vous invite au bal de fin d’année à l’école, vous voudriez bien être mon cavalier ?
--je me sens si chanceux et émue par votre proposition, j’accepte volontiers, nous allons faire des jaloux à cette fête ma chère princesse.
-youpi ! Chris s’en mordra les doigts ça lui apprendra à me laisser tomber pour Rachelle !
--Hum c’est qui ce Chris ? Je suis jaloux moi, je ne partage pas ma princesse.
-ne vous inquiétez pas, juste un personnage parmi tant d’autres.
-haha ! Toi là tu es une vieille dans le corps d’un enfant !
-Mamie dit que je suis un reporter sans frontières, que je peux réaliser avec notre perroquet Pedro.
Je ne comprends pas toujours ce que mamie dit mais ce n’est pas bien de me comparer à Pedro tout de même, je ne bavarde pas autant que lui pas vrai papa Éric ?
-c’est vrai ! Toi tu es un princesse rien avoir avec un perroquet bavard comme Pedro !
--tu es si gentil ! Je te passe maman, c’est l’heure de mon goûter.
-d’accord princesse ! Garde moi en un bout !
-D’accord papa ! La petite remit le téléphone a sa mère et s’éclipsa.
--bébé ! -Ne m’appelle plus ainsi s'il te plaît !
--je m’en fou de ce que tu diras, je t’appellerai comme je veux, ton gars suicidera c’est certain.
-tu aimes trop les problèmes.
--c’est toi qui est facile ?
--Hum ! Sophia voulait te parler, leur arbre de Noël est prévu le semaine prochaine.
--d’accord ! Je ne peux pas décevoir ma princesse j’y serai, je n’aimerais pas que ses gardes me balancent au cachot.
-haha ! Tu n’es pas différente d’elle, qu’elle imagination .
-haha ! Ma fille est trop vite comme son papa !
--mieux de vous ! Je n’ai plus moi de père, il est parti me laissant orpheline.
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--c’est ton problème ! Dieu a mis sur ta route un sucre comme moi, tu as verse l’eau pour diluer,
mais ne t’inquiète pas quand tu gouteras à nouveau ça sera tellement sucré que tu t’en lasseras pas !
--Éric sort de mes oreilles !
-s’’il te plaît, vient chez moi je veux fortifier le bébé, seul le sperme de son père pourra le rendre très vigoureux.
-Seigneur mes oreilles ! Pourquoi tu veux me faire pêcher en plein midi ?
-je sais que ça te manque, avoue le. Tu en as encore plus besoin vue ton état. Vient je te fais ça propre.
-Éric je vais raccrocher arrête !
--s’’il te plaît bébé ne raccroche pas ! Écoutez ta voix ainsi me donne du peps. Ma journée est assez rude.
-tu es au bureau ?
--oui ! Tu étais d’une très grand aide, je regrette de t’avoir mise à la porte, j’ai recruté deux assistants après toi, tous des incompétents.
-toi-même tu es facile en tant que boss ? Dieu seul sait le traumatisme et les stress que tu m’infligeais au boulot.
--tout ça c’était l’amour, Mouèlè tu me rendais fou, bon Dieu !
Avec tes fesses rebondies que tu ne cessais d’emballer dans tes tailleurs à deux pièces, et ta taille de guêpe n’en parlons plus de ta poitrine généreuse,
tu vois dans quel état tu me mets ?
--Éric tout ne se résume pas au sexe, calme tes ardeurs.
-c’est là-bas que je trouve mon bonheur, et toi tu sais ty faire. Tu me manques trop bébé !
Même si je dois te ramener la lune pour t’avoir à nouveau près de moi, dis le moi et je le ferai Émilienne. Je t’aime toujours !
--bye ! Bonne journée ! Bisou !
--éh ça ne se fait pas, je suis entrain de te déclarer mes sentiments….
Emilienne raccrocha, elle se pinça les lèvres et se mit à sourire comme une gamine à qui on aurait promis une sucette.
~~plutard en journée ~~
~chez Mouèlè ~~
~~La sonnette retentît… Passy se rend au portail…
--qui est ce ?
--bonjour Mme, c’est le livreur.
--un livreur je n’ai rien commandé.
-je viens de la part de M. Éric Dubois, un colis pour Mlle Mouèlè Émilienne. Passy ouvra le portail, et vit devant un jeune homme tenant un gros bouquet de fleurs et un paquets dans ses mains .
--merci, c’est ma fille !
--okey Mme ! Signez là s’il vous plaît ! Elle signa et le livreur partir.
Passy referma le portail et se mit à sentit les fleurs c’étaient des roses rouges elle dégageaient un agréable parfum, Éric était très attentionné …
Elle entra dans le séjour.
-mamie c’était qui ? C’est pour qui ces fleurs et ce paquet ?
-C’était le livreur ma puce et ces fleurs et ce paquet sont destinés à ta maman de la part de papa Éric !
--chouette ! Emy se redressa, concentrée sur son téléphone. Sa mère lui tendit le gros bouquet qu’elle prit le temps d’humer et d’apprécier .
Elle prit le paquet et se mit en enlève les cadeaux qu’ils contenaient sous les yeux émerveillés de sa fille. Il déballa un qui contenait un coffret chocolat, elles se mirent à déguster un chacune,
elle enleva un autre qui renfermait une paire de talons Dior, une chaussure estimée à plus de 1000 euros, il y’avait deux autres présents renfermant un sac, des bijoux et un robe verte fluide de créateur.
Éric avait du goût, tous ces présents étaient tous beaux les uns les autres.
-décidément Éric n’arrêtera pas de me surprendre, cet homme t’aime réellement ma fille déplus il a du goût.
-c’est vraiment beau ! Sophia se contentait de manger les chocolats tandis que sa mère et sa grand-mère étaient en pleine causerie.
~~plutard en soirée ~~
Éric lança l’appel vidéo, il était à la cuisine et Emy bordait sa fille avant de la faire coucher.
--bonsoir M. Dubois comment s’est déroulée ta journée ?
--la routine, plus ennuyeuse depuis que tu n’es pas là !
--Hum ! Merci pour les cadeaux, tu en fais beaucoup trop.
-rien n’est jamais trop pour toi ! Je le ferai toujours et bien plus.
--merci ! Dis depuis combien de femmes tu t’es tapé depuis notre séparation ?
-Hum !
--pourquoi cette mine ? --tu veux vraiment le savoir ?
--oui !
--des centaines !
-tu es sérieux là ? Dit Émy l’air déconcertée…
-haha ! La tête que tu fais en ce moment MDR (mort de rire)
-tu aimes trop t’amuser avec moi Éric soit sérieux !
--désolé bébé ! Tu sais bien que ce genre de trucs ne se dit pas ? Tu pourrais te sentir blesser
-ne t’inquiète pas, aucun risque.
-Hum te connaissant tu rias remplir la Sanaga( fleuve ) après ça va devenir mon problème, que je t’ai fait du mal. Les miens seront derrière mon dos.
-haha !
--bref, des relations sans lendemain. Un fois tout en tapant une je me suis mis à appeler ton prénom, la nga ne faisait que le dire non je ne suis pas émilienne qu’est ce que tu dis…
je me suis vite lever, depuis ce jour je n’ai plus rien tenter, j’ai préservé ma verge pour toi.
--haha ! Tu as toujours été malade !
--de toi ! Heureusement tu es également mon médicament sinon qu’est ce que je ferai sans toi.
Tu viens alors quand bébé ? Regarde ce que je suis obligé de me taper comme bouffe ? Des emportés.
Pour manger de la vraie nourriture camerounaise je suis obligé de squatter la maison de mes parents et ma mère m’a déjà sermonné tant que je ne me remets pas avec toi j’oublie ses repas.
Seigneur pauvre de moi, je suis seul au monde. Il le dit avec tellement d’humour ce qui faisait rire émilienne.
-Dubois plus taré que toi il n’en existe pas ! C’est simple depuis que tu marches là tu n’as pas encore vu ta pointure ?
-est ce que c’est tous les chaussures qui sont bonnes à chausse ? C’est toi ma monture, je te l’ai dit depuis !
--ne m’embrouille pas ! M. Le tombeur.
--que celle qui veut tomber tombe, il n’y’a qu’une seule fille que je veux faire tomber à nouveau c’est toi ! tant pis pour ton Dany !
-Nous ne sommes pas ensemble !
--Mouèlè tu m’as bien eu, plusieurs fois j’ai failli en venir aux mains avec ce type, chaque que je le voyais je pensais au fait qu’il ait pu te toucher, mes biens,
tu as fait chauffer mon cœur comme un idiot pour rien. Tu es sans cœur !
--c’est aujourd’hui que tu vois ma valeur ? Laid type !
--n’est ce pas c’est toi la plus belle, je vais seulement me plier, pour le bien de nos enfants.
-j’ai sommeil !
--je viens te border comme tu le fais avec Sophia ?
--haha ! Je ne suis plus un bébé !
--si tu es mon bébé ! Tu sais que ça ne peux me dépasser, je peux te porter et te retourner dans toutes les positions que tu souhaites… haha !
--pervers ! Au-revoir !
--Kiss you baby !
-moi pas !
--on peut mentir comme ça haha ! Emy devint, toute rouge.
Elle raccrocha et posa sa fille dans son lit, puis elle referma la porte de sa chambre et alla dans la sienne.
~~quelques jours plutard~~
--hey gars comment vas-tu ?
-très bien et toi ?
--pareil ! Tu te rappelles du gars que tu avais failli avoir une altercation avec lui au restaurant ?
-c’est Dany, le mec qui tourne autour de ma mec comme une sangsue.
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-haha ! Bref dans notre milieu de restaurateur, nous nous côtoyons parfois, j’ai deux cartons d’invitation pour l’anniversaire de son restaurant, on n’y va ?
--bien sûr ! Émilienne y sera je dois la surveiller de près. C’est avec plaisir . C’est quand ?
--demain ! 18h !
--ok j’y serai ! Bien cintré -j’ai confiance ! Le linge c’est ton deuxième nom !
--haha ! Tu n’ignorez rien gars ! Éric s’en régalait déjà, il visualisait déjà la tête de Dany lorsqu’il le verrait demain.
~~le lendemain~~
C’était le jour-j ! Tout était enfin près, émilienne avait revêtu une belle robe fuchsia avec un décolté avec une perruque pixie qui lui donnait l’air d’une actrice de cinéma telle que Marilyne Monro,
elle avait porté les chaussures noires Dior qu’Éric lui avait offertes avec un petit sac en main elle était élégante et classe sans en faire trop.
Avec ses lunettes de soleil accroché sur sa tête elle avait fait un maquillage jour léger. Elle était magnifique.
Émy avait assisté Dany le matin pour la mise en place et tout ce qui concernait la décor assistés par le personnel engagé pour l’occasion,
ensuite elle était retournée chez elle pour se faire une beauté pour l’événement .
Les invités affluaient et prenaient place…
--waouh tu es sublime émilienne. Dany prit sa main et la baisa tout en la faisant tournoyer doucement sur elle.
--merci Dany ! Tu n’es pas en reste non plus dans ton costume. -J’espère qu’il n’y aura pas de cardiaques ce soir…
Les deux se mirent à rire. Soudain Éric entra dans la pièce avec son ami Jerry comme deux mannequins sur un podium,
ce qui retint l’attention des femmes présentes dans la salle.
Émilienne n’en revenait pas de la voir là. Éric arborait un costume trois pièces sur mesure de couleur bordeaux avec une paire de Louboutin,
et son ami Jerry avait opté pour un deux pièces et une paire de mocassin noir.
Tous les deux avaient enlevé leurs vestes et les avait en main.
Ils arboraient des petits sacs à mains en cuir hommes comme ceux des faroteurs dans les soirées arrosées en boîte de nuit. Ils se dirigèrent vers eux...
Puis Éric prit émilienne dans ses bras en signe d’appartenance.
--bonsoir chérie, tu es ravissante. Il laissa un baisser sur sa joue, Dany était mal à l’aise face à ça, ça lui faisait bien rire. Jerry n’en perdait pas une miette.
-bonsoir Éric je ne t’attendais pas ici !
--Jerry m’a proposé de venir. C’est magnifique le décor. C’est très réussi Dany, la soirée sera un succès c’est certain.
-merci ! Répondit celui-ci. Les deux amis prirent une table.
Émilienne s’interrogeait sur les réelles intentions d’Éric, elle était tout de même heureuse de le voir, il était plutôt sexy.
-dans excuse moi je vais aux toilettes. Elle passa devant la table des garçons et rejoignit les toilettes.
--gars j’arrive ! Dixit Éric à Jerry.
-ne faites rien de mal, je vous ai à l’œil.
--c’est carré ! Haha ! Éric se dirigea vers les toilettes des dames et ouvra la porte. Ce qui surpris émilienne qui l’avait ses mains.
-qu’est ce que tu fois là dans les toilettes pour femmes ? Pour les hommes se trouvent au bout du couloir
-tu fatigués ! Viens là bébé ! Tu m’as manqué !
-ne t’approche pas sinon je vais crier. -si tu pouvais hurler de désir.
Éric la porta et la posa sur l’un des lavabo double vasque.
--Éric tu es fou, fais-moi descendre.
-bébé tu me rends fou dans cette tenue. Il se mit à l'embrasser passionnément, elle avait le souffle coupé,
ce qui réveilla des sensations agréables en elle. Elle haleta sous ses caresses dans le cou. -tu aimes ça ?
--va y continue. Ne t’arrête pas ! Éric arrêta et la regarda un moment.
--pourquoi tu t’arrêtes.
--c’est ta punition pour avoir rire avec ce con. Salut je te laisse. Bisou bébé !
--putain ! Ça ne se fait pas de venir me chauffer ainsi puis tu me laisses. Je te déteste.
-moi aussi je t’aime ! Haha ! Éric sortit de là en joie au moins il savait qu’Émy le désirait toujours autant.
Elle allait se venger c’était certain au moins ça faisait 1-0 pour lui. Haha !
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