Literature > Romance

Amoureuse de mon patron

By Nelly Carelle

Jun 17, 2025 - 12 Minutes

Les chroniques de Nelly Carelle 

Chapitre 15

#Éric

Ces derniers jours ont été difficiles pour moi, ça m’est difficile d’aller au bureau sachant qu’émy n’y est pas, je ne suis pas concentré dans ce que je fais.

Tous ont remarqué son absence, mais ils n’osent pas me poser de question car ils ont peur de ma réaction.

Je suis assis sur mon bureau entrain de lire quelques contrats avant de les signer, d’habitude c’est Émy qui passent en revue tous nos contrats je n’ai plus qu’à apposer ma signature, mais je dois apprendre à faire sans elle.

Je suis trop blessé pour qu’elle revienne dans ma vie. Après ma journée de travail, je suis sur le point de fermer le bureau lorsque ma secrétaire vient vers moi .

--euh…M. Vous rentrez déjà ?

--À votre avis que suis-je entrain de faire ?

--excusez moi, je voulais juste savoir !

--vous me surveillez déjà ?

--non M. ! -Poussez vous de mon chemin !

--D’accord M. Elle s’exécuta avant de répliquer.

--euh… Je me retournais à nouveau pour entendre ce qu’elle avait à dire.

-M. Ça fait des jours que nous n’avons pas vu Mlle Mouèlè au bureau, vous avez de ses nouvelles ?

-Vous n’avez pas son numéro pour lui poser vos questions ?

--non M. Vous avez l’air si proche d’elle que j’ai pensé que vous pourriez avoir des nouvelles d’elle !

--vous insinuez quoi ? Éric haussé le ton -rien M.

--bonne soirée !

--merci M. Éric sortit de l’entreprise avec les nerfs à fleurs de peaux ! Qu’est ce qui avaient tous à lui demander cette fille ? Émy par ci, Émy par là…


Il est dans sa voiture et se met à conduire, il n’a pas envi de rentrer chez lui, sinon il se souleva à nouveau pour l’oublier.

Il gare dans un club privé fréquenté par les personnes aisés en majorité. Ils y viennent soit pour prendre du bon temps avec une prostituée, soit pour se distraire dans la partie casino.

Éric s’assit au bar du club en face de lui se trouve la piste de poll-dance où les prostituées dansent nues pour la plupart devant des hommes excités qui les lance quelques billets par moment pour les encourager. Une femme s’approche de lui…

--hey mon mignon , tu bois seul ?

--tu m’as demandé de t’inviter et je ne l’ai pas fait ? Dit-il avant de continuer à boire.

C’est une femme noire, arborant une jupe légère avec un soutien gorge en cuir et des talons aiguilles aux pieds et s’assied sur une chaise près de lui et se met à caresser sa nuque.

--relaxe beau-gosse, pourquoi un beau spécimen tel que toi se boit dans l’alcool ? C’est une peine de cœur ?

--haha ! Toutes les mêmes, vous ne changerez donc jamais. Puff !

--tu as beaucoup l’aimer pour tomber aussi bas ! Tu sais on peut arranger ça, en une nuit je te ferai oublier cette fille. Tu repartiras d’ici avec un esprit nouveau.

-j’aimerai bien voir ça ! Comment t’appelles-tu ? Tu m’as l’air bien jeune pour faire ce métier !

-Je me prénomme Emma !

--quel âge as-tu ?

-18 ans !

--je ne couche pas avec les mineurs ! Désolé ! Dit-il froidement pour couper court. 

--haha ! Elle se mit à rire -qu’est ce qui te fait rire ?

--je te trouve très drôle !

--qu’est ce que j’ai dit de drôle ?

--les vieux ne me considèrent pas comme tel !

Ce métier n’a pas d’argent. Depuis quand pour prendre son pied chez une prostituée, l’âge devrait un facteur important ?

-pour moi ça l’est, si ces vieux ont l’habitude de te baisse comme la pute que tu es moi je ne mets pas les mineurs dans mon lit.

--drôle de gars ! Tu deviens intéressant.

Emma se mit à caresser Éric, puis elle descendit jusqu’à son pantalon et se mit à exercer une pression sur sa verge à travers son pantalon, sous l’effet de l’alcool Éric était déjà bien tendu.

--tu vois que je te fais de l’effet. Alors tu viens ?

Tu ne seras pas déçu ! Éric trouvait sa proposition très alléchante, d’autant plus qu’il avait envi de vider toute la rage et la frustration qu’il avait en lui.

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Juste au moment où il voulait lui répondre, quelqu’un s’approcha d’eux ! -Hey toi, dégage ! C’est mon client !

--j’étais là en premier, tu n’as pas le droit de me le prendre. Il reconnaissait bien cette voix c’était celle de Diane.

-Diane !

--Oui chéri ! Diane vint s’imposer entre les deux ne laissant pas le choix à Emma que de s’écarter et lui laisser Éric, elle était bien vénère.

-tu fou quoi dans ce club ?

--c’est à moi de te poser la question !

--je suis venu me détendre. Et toi ?

-Clive( le gérant du club) m’a fait venir pour un gros client, je viens de finir !

--toujours aussi solliciter.

--si tu m’avais épousé, je serai devenue tienne et j’aurai lâché ce métier.

--haha(rire sarcastique) pour que tu me mentes aussi ? Les femmes vous rêvez tellement de princes charmants mais vous n’êtes pas prêts à être honnêtes. Dit-il sous le coup de l’alcool.

--De ce que je comprends ta copine t’a menti, tu as mis un terme à la relation et maintenant tu te noies dans l’alcool.

--tu as tout compris !

--viens avec moi. Elle le tiré par la main, Éric la suit jusqu’à l’étage. Elle ouvre une porte et pénètre dans une chambre. Diane referme la porte sur eux. -petite coquine !

-viens là beau-gosse ! Je vais te faire oublier cette fille, tu mérites mieux.

Elle se met à le déshabiller et le pousse sur le lit telle une dominatrice. Éric sourit il adore le spectacle qui se dessine sous ses yeux.

--prêt à passer une nuit torride ?

-oui Diane !

--elle se jeta sur lui et bondit sur sa queue, elle se mit à la sucer goulûment.

Éric était très excité, il l’a renversa sur le lit, Diane portait une mini jupe avec une fente sur le côté.

Éric remonta sa jupe et décala son slip d’un côté et la pénétra d’un trait, elle émit un cri qui lui arracha un gémissement, il entreprit de la pilonner avec force, il prenait vraiment son pied, jusqu’à ce qu’il voit la face de Diane se transformer en celle d’Emy.

Il était perturbé et ses coups rapides devinrent lents. -pourquoi tu t’arrêtes, va y plus fort, je te veux bien profond !

--Émy !

--qu’est ce que tu racontes, c’est diane et non Émy !

--arrête de me suivre putain !

--Éric ressaisit toi, c’est moi !

--ferme là ! Tu m’as trahi, il se mit à appuyer son cou. Diane manquait d’air et se mit à crier, Éric prit conscience de son geste et quitta sur elle, il s’en voulait.

Qu’est ce qui lui arrivait.

-je suis désolée Diane ! Je ne voulais pas te faire du mal.

--tu n’es qu’un taré, je me casse ! Ta meuf a bien fait de se barrer. Sale brute ! Diane remis son string et sa jupe en place et sortit de la pièce en vitesse.

-putain ! Qu'’est ce que j’ai fait ! Émilienne je te déteste !


Éric resta là désespéré. Il se rhabilla et décida de rentrer chez lui après cette affreuse expérience.

Le lendemain Éric n’est pas partit au boulot ni le jour d’après. On sonne chez lui, Éric a trop la flemme de se lever pour ouvrir. La personne ouvre d’elle.

Carmen entre dans le séjour et se pince le nez, une odeur désagréable s’en dégage, il est en désordre, ça fait des jours que la maison n’a certainement pas été rangé, son fils n’a même pas daigné se lever pour l’embrasse, elle fit un tour dans les autres pièces s’était pareil.

Elle ne comprenait pas ce laisser aller, où était émilienne pour que son fils soit dans cet état.

-bonjour maman ! Dixit Éric ! Carmen s’approche de lui.

--Éric tu empestes l’alcool, mais qu’est ce qui t’arrive ?

--je me suis juste détendu, rien de grave !

-ne me ment pas ! Ton père est revenu du bureau il m’a fait le rapport qu’est ce qui se passe avec Émy ? C’est la raison de ton état ?

--haha qu’est ce que vous avez tous avec cette fille ?

--c’est ta petite amie et nous l’aimons beaucoup !

--haha ( rire ironique) ! C’est fille c’est bien foutu de moi, ta petite protégée n’est qu’une menteuse !

--soit plus claire ! Carmen s’assied sur un siège près de celui où son fils était couché !

--figure toi que Sophia n’est pas la nièce d’Emilienne !

--je ne comprends pas ce n’est pas sa nièce comment ?

--oui maman ! C’est sa fille ! Elle m’a menti depuis l’entretien, j’ai sI mal ! Éric craqua devant sa mère et se mit à pleurer.

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La dernière fois où Carmen avait vu son fils dans cet état c’était lorsqu’il sombrait dans la dépression après la mort de sa fiancée et le bébé qu’elle attendait dans un tragique accident de voiture.

Elle s’assied sur son siège et le petit dans ses bras pour le consoler.

--calme toi mon fils ce n’est pas la fin du monde. Il faut avouer que la petite ressemblait beaucoup à Émy comment avons nos fait pour ne pas faire le lien.

Émy n’est pas la première fille qui ment à un homme ici dehors, au moins elle l’a fait pour obtenir le job, si elle n’était pas sorti avec toi ça ne t’aurai pas fait aussi mal je parie. Dit-elle regardant son fils.

-c’est vrai maman ! Je l’aime tellement que j’ai perçus cela comme une trahison de sa part, si elle a pu me mentir sur sa propre fille va savoir sur quoi d’autre elle m’a menti.

-j’ai appris à connaître cette fille, ma première impression ne me ment jamais , c’est une bonne fille. Je suis sûr qu’elle s’en veut de t’avoir menti.

-maman tu l’as soutiens ? Ça t’aurait fait quoi si tu apprenais que papa t’es présenté un enfant comme une nièce alors que c’était sa fille ? Tu envisagerais encore d’accepter d’être sa femme ?

--euh ! Je l’aura fait ! L’amour est au dessus de tout, l’amour pardonne tout !

--elle a eu tout le temps de me dire la vérité mais elle ne l’a pas fait ! Il l’a fallu que je l’apprenne pas le médecin de sa fille lorsque l’enfant était malade.

--je te comprends ! Prends le temps de guérir et te remettre les idées en place.

La décision te revient mais je t’en prie ne te laisse pas aller ainsi, mon cœur de mère est si meurtri lorsque je te vois dans cet état.

Reprends toi en main, tu n’es pas le Éric plein de vie et aimable que je connais. Promets moi d’arrêter l’alcool et de reprendre ta vie en main. -d’accord maman je le ferai ! Carmen le prit à nouveau dans ses bras !

--maintenant tu te lèves tu me ranges ce bazard, c’est un ordre.

--d’accord ma première dame ! À vos ordres. Carmen alla à la cuisine pour faire à son fils.


~deux semaines plutard ~~

-Mamie! Mamie ! Je suis prête pour aller nager ! Dixit Sophia qui arbore son jolie maillot une pièce de couleur rose.

-ma fille est trop belle !

--les enfants ça grandir tellement vite !

--pas mon bébé ! Tu promets de rester toujours petite ainsi Sophia ?

--Hum ! Maman je veux grandir et devenir une grande femme comme toi !

--maman je vais pleurer, voilà mon bébé qui veut déjà grandir. Dixit Émy qui s’adresse à sa mère.

-tant qu’elle ne quitte pas la maison de mamie moi ça me va !

--jamais ! Je resterai avec toi mamie, j’aime trop tes gâteaux pour te quitter !

--haha ! Sacré Sophia ! Dixit Passy ! Emy se prend de vertiges, elle a envi de vomir elle se précipite aussi vite qu’elle peut à la douche sous le regard inquiet de sa mère et de sa fille.

-Sophia ma puce resta assise là ! Mamie va voir ta maman ! La petite acquiesce. Passy se tient à la porte les bras croisés !

-Tu es enceinte de combien de mis ? Emy se relève sa tête et se lève pour rincer sa bouche dans le levier.

--maman qu’est ce que tu racontes, je ressemble à une femme enceinte ?

--Hum ! Je reviens ! Après quelques minutes Passy revient tenant un test de grossesse dans sa main. Elle le tent à sa fille. -tiens ! Fais le test !

--maman d’où sors-tu avec un test de grossesse ?

--je l’ai pris par précaution au supermarché, ton appétit à décupler, tu dors plus qu’avant et ça se voit que ton corps, tu as pris quelques rondeurs, ta poitrine gonflée.

Émy se regarde et touche sa poitrine.

Elle entre à la douche et fais le test, il est assez rapide et précis, il peut lui dire également de combien de mois date la grossesse.

Elle pose le test après avoir passé dessus elle attend quelques minutes très stressée tout en croisant les bras.

Elle peut pas devenir mère célibataire à nouveau. Elle regarde le test et sa mère a bien raison, il affiche deux barres elle est belle et bien enceinte d’un mois et une semaine date à laquelle elle effectuait un séjour à Kribi avec Éric.

Elle sortit les larmes aux yeux . Sa mère la prit dans ses bras. -calme toi ! Un enfant c’est une bénédiction pas une honte ! Bénit le ciel de t’en avoir donné un à nouveau.


--maman je suis foutue, avec quoi je vais le nourrir ? Je suis au chômage ! Toutes mes économies vont sur Sophia.

--Il y’a toujours une solution à tout ! Tu m’as déjà vu me plaindre ?

Je suis ta mère on trouvera une solution, pour le moment je suis là. Je dois en parler à Éric c’est son enfant il doit connaître ton état, peut être ça le fera changer d’avis !

--maman sa mère a essayé d’arranger les choses, mais il n’a voulu rien entendre, je suis fatigué de courrier après lui.

Il m’a clairement dit qu’il ne veut plus d’une menteuse dans sa vie. Il dira aussi certainement que cet enfant n’est pas de lui. Dit-elle en pelures.

--calme toi émilienne ! Tu as toujours été une femme forte, tout ira bien !

--maman je suis fatiguée d’être forte, pourquoi ça m’arrive à moi ?

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--viens dans mes bras. Passy la serre à nouveau, Émy est désemparée elle se retrouve à nouveau enceinte, une fois de plus elle sera seule à élever à un enfant à nouveau, elle est contre une IVG !

~~deux mois plutard~~

--bonsoir ma fille, ta course a été vite fait ! -oui le restaurant dans lequel je devais livrer était à un quart d’heures de la maison.

Le gérant a été généreux, il m’a donné un joli pourboire !

--c’est super ! Emy fait des pâtisseries qu’elle livre à des restaurants et des particuliers pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille.

-tu rayonnes tellement dans cette grossesse ma fille.

--merci maman !

-Je pari que les hommes te courtisent également.

--ça ne manque pas, c’est devenu grave. J’ai eu ma tasse de thé pour le moment je fais comme s'ils n’existaient pas c’est mieux.

-je te comprends ! Mais ne ferme pas ton cœur à l’amour !

-J’ai suivi maman !

~le lendemain~

-allô émilienne !

--bonjour Dany !

--je voudrai quelques gourmandises et amuse-gueules pour mes clients. J’aimerai être livré ce soir .

--d’accord c’est noté !

--bonne journée beauté !

--à toute ! En journée Émy s’était attelé à apprêté la commande son client qui gérait un restaurant bar en ville.

Elle prit un taxi qui l’y emmena vêtue d’une robe et d’une bouche Hermes au pied, elle tenait le cartons de pâtisseries et amuse-gueules.

-coucou dan, je suis là ! Dixit Émy à l’accueil !

--merci chérie ! Tu es vraiment ponctuelle ! Il prit le paquet et lui donna une enveloppe.

-merci Dany, il doit y avoir un paquet d’argent à l’intérieur ! Tu m’as gâté.

-tu le mérites bien ! Tu es vraiment magnifique, ça me surprend que tu sois seule sans homme dans ta vie et le père du bébé ?

-quelque part dans le monde ! Je vais te laisser bonne soirée.

-attends ! Je vais te raccompagner, mes employés vont prendre le relais.

-pas la peine, je ne voudrai pas déranger.

-tu ne me déranges absolument pas. Il mit sa main autour de son épaule et se mirent à marcher.

-émilienne ! Éric veniat de faire son entrée dans le restaurant avec son ami Jerry ! Il l’a scripta était son ventre rond. Et cet homme qui l’a tenait par l’épaule c’était qui ?

-Je vois que tu n’as pas changé hors mis être une menteuse, tu es également une prostituée c’est qui ce gars, tu me trompais avec lui ? Je vois qu’il t’a mis enceinte ? Tu ne changeras donc jamais. Emy se mit à pleurer à chaudes larmes, ses paroles étaient si blessantes.

-M. Qu’est ce qui vous prend de lui parler ainsi. Éric voulut administrer une gifle à Dany, Jerry l’arrêta.

--Éric arrête, qu’est ce que tu fais ? Pourquoi tu lui parles ainsi ? Emy sortit du restaurant en vitesse tout en pleures. Dany la rattrapa dehors. Et l’arrêta.

--émilienne attend, je suis désolée, pourquoi cet homme te parlait ainsi ?

-c’est moi qui suis désolé, je n’aurai jamais dû permettre qu’il fasse un scandale dans ton restaurant. Bonne soirée ! Elle se détacha de lui et s’en alla les joues trempées de larmes.

~plutard dans la soirée ~

Éric et Jerry sont en voiture, Éric est au volant, il est en colère et frappe le volant plusieurs fois !

--mec arrête ça tu te fais du mal à toi-même.

--tu as vu son état ?

--oui j’ai bien vu ! Mais ça ne te donnait pas le droit de lui parler ainsi.

C’est une femme, elle mérite du respect ! Pour quelqu’un qui dit ne plus vouloir d’elle tu montres le contraire.

C’est le fait de la voir avec un autre homme qui te fait mal ou c’est sa grossesse ?

--les deux mecs !

--tu l’aimes toujours ?

~~silence~~


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