J'ai cru - Chapitre 2
Écrire est un art
La vie de Nadège
Mon oncle : ce n'est pas un enfant de cette maison ?
Ma tante : je ne reconnais pas l'avoir mise au monde.
Mon oncle : ce n'est pas possible ! Leonel, tu vois ta tante ?
Leonel : s'il vous plaît, vous n'allez pas commencer à vous disputer.
Leonel est le fils du meilleur ami de mon oncle. Il venait d'arriver au Cameroun. Nous avions pris place pour parler un peu avec lui.
Moi : non je ne veux pas avoir de problème avec ma tante.
Leonel : elle ne saura pas que nous sommes en contact.
Moi : pourquoi vous faites ça ?
Leonel : tu es très jolie et posée. J’aimerai faire ta connaissance.
Moi : okay je vais prendre votre carte mais retournez au salon s'il vous plaît. Je ne veux pas me faire gronder.
Leonel : okay j’y retourne mais tutoie moi prochainement.
Mon oncle : qu'as-tu contre cette enfant au point où on ne peut pas manger en paix?
Ma tante : je veux qu’elle se lève de cette table.
Mon oncle : et pour quelle raison ?
Au contraire, elle nous encourageait et me remercia pour ce que je faisais pour ses filles. J’avoue que ce changement brusque me faisait peur.
Leonel : Nadège, je n’apprécie pas la manière dont te traite ta tante. As-tu un problème avec elle ?
Moi : aucun.
Leonel : où sont tes parents ?
Moi : ils sont décédés.
Leonel : je suis navré.
Moi : de quoi veux-tu me parler ?
Leonel : je vais être direct avec toi.
À l'instant que je t'ai vu, tu m'as plu. Tu as cette chose que je ne saurai décrire qui m'attire. Je veux qu'on apprenne à se connaître d'avantage.
Moi : hum… je ne pense pas que ça soit une bonne idée.
Leonel : pourquoi ?
Moi : Leonel, je suis ici chez mon oncle et je ne veux pas faire quelque chose qui risque le contrarier. Je préfère qu’on en reste là.
Je sors de sa voiture malgré qu'il veuille me retenir. De retour de la maison, ma tante n’était pas encore là. Maggy se jette sur moi en riant.
Elle me tire dans la chambre et me montre son téléphone portable. Leonel avait envoyé 10.000f pour moi. J’ai refusé cet argent ce qui surprit ma cousine.
Maggy : tu ne prends pas pourquoi ?
Moi : parce que je ne veux pas.
Maggy : il t'aime bien hein… et qui sait, peut-être c’est lui qui sera ton mari.
Moi : ah… si tu veux, prends-le. Moi je n'en veux pas.
Elle était contente. Je ne vois pas la raison pour laquelle de devait accepter cet argent.
Ma tante arriva aux environs de 19h. Comme d'habitude, Maggy et elle s’enfermaient dans la chambre pendant des heures.
Au téléphone
Leonel : princesse ça va ce soir ?
Moi : oui et toi ?
Leonel : bien merci. Demain je t'invite avec tes sœurs prendre un pot. Ça te dit ?
Moi : je travaille demain.
Leonel : même après le travail. Ça ne dérange pas.
Moi : okay je vais voir avec les filles.Leonel : super. Bonne nuit princesse.
Fin_de_la_conversation
J'ai annoncé la nouvelle à Maggy qui était toute excitée. Elle me supplia d'accepter. J'avais envoyé un message à Leonel pour la confirmation.
Moi : Fréro, si les parents la trouvent ici ça va chauffer oh…
Ricardo : ne t'en fait pas. Ils sont déjà partis depuis et je sais que vous mes sœurs, vous ne direz rien.
Moi : okay. Bon moi je pars.
Elles visionnaient. Maggy informe que Leonel a demandé à ce qu'on se retrouve Dr shawamar à Odza.
Moi : appelle-le s'il te plaît. Tu lui dis qu’on sera là à 18h.
Maggy : sans soucis.Je pris mon bain ensuite j'ai dîné.
Marie : si elle est à l'aise dans sa tenue, laisse-la. Tu es jolie Nadège, j’aime beaucoup ta robe.
Moi : merci.
Maggy : ah… okay alors.Nous étions quittées à 17h30.On prit un taxi. Il y'avait un homme assis près de Maggy et moi. Il n’arrêtait pas de sortir sa langue en la regardant.
Il se pencha vers mon oreille et me chuchota « tu es magnifique » je l'ai remercié. Marie lui posa une question.
Marie : Leo je constate que notre sœur t’intéresse.
Leonel : oui beaucoup.
Maggy : toi avec tes questions hum… s'adressant à Marie.
Marie : quoi mes questions ? Ok ça va je reste calme.
Il me prit par la main ce qui me mit mal à l’aise. Je l’enlevai dans la sienne. Il me chuchota de nouveau dans l’oreille qu’il veut une relation avec moi.
Moi : impossible. Je ne peux pas aller à un RDV ou en balade sans une de mes sœurs. Sinon, j’aurai de sérieux ennuis.
Leonel : ne t'en fais pas pour ça. Je vais causer avec Maggy.
Moi : non je ne veux pas Leonel. Respecte ma décision. Ouvre la portière s'il te plaît.
Ma tante : j'ai bien dit que tu n'es qu'une prostituée.
Leonel est venu nous saluer ici, toi tu as déjà jeté ton dévolu sur lui.
Ma tante : tu la présentes pourquoi ? demanda-t-elle d’un ton grossier.
Mon oncle : ce n'est pas un enfant de cette maison ?
Ma tante : je ne reconnais pas l'avoir mise au monde.
Mon oncle : ce n'est pas possible ! Leonel, tu vois ta tante ?
Leonel : s'il vous plaît, vous n'allez pas commencer à vous disputer.
Moi : non je ne veux pas avoir de problème avec ma tante.
Leonel : elle ne saura pas que nous sommes en contact.
Moi : pourquoi vous faites ça ?
Leonel : tu es très jolie et posée. J’aimerai faire ta connaissance.
Moi : okay je vais prendre votre carte mais retournez au salon s'il vous plaît. Je ne veux pas me faire gronder.
Leonel : okay j’y retourne mais tutoie moi prochainement.
J’avais tellement peur que ma tante le trouve là. Je terminai de tout apprêter et nous nous étions installés. Malgré que le dîner se passe bien, ma tante n'avait pas arrêté de m’insulter de fille idiote, de sorcière.
Mon oncle lui demanda :
Mon oncle : qu'as-tu contre cette enfant au point où on ne peut pas manger en paix?
Ma tante : je veux qu’elle se lève de cette table.
Mon oncle : et pour quelle raison ?
Il lui avait interdit de s'attaquer de nouveau à moi. Quelques temps après, Leonel a demandé la route.
On devait me payer par semaine selon mon pourcentage de vente que je devais effectuer.
J'avais vraiment peur. Il me demanda de ne pas m’inquiéter, de me relaxer.
Leonel : Nadège, je n’apprécie pas la manière dont te traite ta tante. As-tu un problème avec elle ?
Moi : aucun.
Leonel : où sont tes parents ?
Moi : ils sont décédés.
Leonel : je suis navré.
Moi : de quoi veux-tu me parler ?
Leonel : je vais être direct avec toi.
À l'instant que je t'ai vu, tu m'as plu. Tu as cette chose que je ne saurai décrire qui m'attire. Je veux qu'on apprenne à se connaître d'avantage.
Moi : hum… je ne pense pas que ça soit une bonne idée.
Leonel : pourquoi ?
Maggy : tu ne prends pas pourquoi ?
Moi : parce que je ne veux pas.
Maggy : il t'aime bien hein… et qui sait, peut-être c’est lui qui sera ton mari.
Moi : ah… si tu veux, prends-le. Moi je n'en veux pas.
Elle était contente. Je ne vois pas la raison pour laquelle de devait accepter cet argent. Ma tante arriva aux environs de 19h.
Maggy revint plus tard pour me donner le téléphone. Leonel voulait me parler. Je le pris.
Au téléphone
Leonel : princesse ça va ce soir ?
Moi : oui et toi ?
Leonel : bien merci. Demain je t'invite avec tes sœurs prendre un pot. Ça te dit ?
Moi : je travaille demain.
Leonel : même après le travail. Ça ne dérange pas.
Moi : okay je vais voir avec les filles.
Leonel : super. Bonne nuit princesse.
Fin_de_la_conversation
Moi : Fréro, si les parents la trouvent ici ça va chauffer oh…
Ricardo : ne t'en fait pas. Ils sont déjà partis depuis et je sais que vous mes sœurs, vous ne direz rien.
Moi : okay. Bon moi je pars.
Moi : appelle-le s'il te plaît. Tu lui dis qu’on sera là à 18h.
Maggy : sans soucis.Je pris mon bain ensuite j'ai dîné.
Maggy insistait pour que je m'habille comme elle. Ma tenue ne lui plaisait pas. Marie n’était pas d'accord.
Marie : si elle est à l'aise dans sa tenue, laisse-la. Tu es jolie Nadège, j’aime beaucoup ta robe.
Moi : merci.
Maggy : ah… okay alors.Nous étions quittées à 17h30.
Il se pencha vers mon oreille et me chuchota « tu es magnifique » je l'ai remercié. Marie lui posa une question.
Marie : Leo je constate que notre sœur t’intéresse.
Leonel : oui beaucoup.
Maggy : toi avec tes questions hum… s'adressant à Marie.
Marie : quoi mes questions ? Ok ça va je reste calme.
Il me prit par la main ce qui me mit mal à l’aise. Je l’enlevai dans la sienne. Il me chuchota de nouveau dans l’oreille qu’il veut une relation avec moi.
N
Les filles descendirent du véhicule. Lorsque moi aussi je voulus faire pareil, il bloqua les portières.
J'avais eu peur. Il se retourna vers moi et me demanda de bien réfléchir. Il voulait me revoir. Cette fois, seule.
Moi : impossible. Je ne peux pas aller à un RDV ou en balade sans une de mes sœurs. Sinon, j’aurai de sérieux ennuis.
Leonel : ne t'en fais pas pour ça. Je vais causer avec Maggy.
Moi : non je ne veux pas Leonel. Respecte ma décision. Ouvre la portière s'il te plaît.
Il me prit dans ses bras et voulut m'embrasser mais j'avais pu l’éviter. Ce geste me déplu.
Elle la referma tranquillement. Elle avança vers moi et me tira l’oreille.
Ma tante : j'ai bien dit que tu n'es qu'une prostituée.
A suivre...
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La famille, est hypocrite