MAN OF MY DREAM
Vive les mariés 💍🎉🥰❤️
Chapitre 6
Que l'homme ne sépare pas ce que Dieu a réuni ! 🥰❤️🎉🎉
- L'enterrement de la hache de guerre entre Ariel et sa belle mère
- Un mariage de rêve 🥰
Mais la prochaine fois qu'elle essayera de dépasser les bornes, elle va aller lire l'heure en prison cette vieille aigrie qui me sert de belle mère, ou je ne m'appelle plus Ariel King...
*** Juliette Zuma***
Ma fille Victoria est allongée dans son lit, son bras enveloppé dans un bandage. Je me tourne tient près d'elle, veillant sur elle avec une inquiétude visible. David, son grand frère, se tient dans l'angle de la pièce, observant la scène, ses bras croisés, les sourcils froncés.
Les gardes du corps du président Ariel King entrent, un peu hésitants, mais respectueux, pour annoncer l’arrivée de leur patron. Ils ouvrent la porte, et Ariel fait son entrée dans la pièce, ses yeux fixés sur ma fille Victoria, qui lève légèrement la tête à son arrivée.
— Maman… Je ne veux pas que vous vous disputiez encore s'il te plaît. Tu dois avoir que Ariel est ton futur beau fils ... Tu devrais apprendre à bien t'entendre avec lui, dit-elle
d'une voix faible, mais ferme, regardant Ariel et moi tour à tour.
J'aimerais t'annoncer qu'on va se marier dans deux semaine alors fait un effort pour moi s'il te plaît maman
__ Maman Victoria a raison, tu dois commencer par bien t'entendre avec Mr Ariel pour le bien de tous, déclare mon grand frère David. Ça ne sert à rien d'être aigrie...
— Je fais ce que je crois être juste, pour ma fille Victoria. Elle as été poussée dans les escaliers ! Elle as failli y laisser ta vie ! Je ne pouvais pas rester là sans rien faire.
Le président Ariel se tient immobile, son regard perçant fixé sur moi, mais son visage reste impassible.
— Je ne veux pas d’une confrontation ici, Mme Juliette Zuma. Victoria a eu un accident. Je suis désolé pour ça. Mais ne me poussez pas à la guerre. Si vous voulez un responsable, il n’est pas ici. Car je me suis déjà chargé de l'emprisonner afin de lui donner une leçon.
Victoria, malgré la douleur, se redresse un peu, ses yeux se remplit de larmes. Elle me regarde et Ariel, le cœur déchiré par la situation.
— Maman, s’il te plaît… Je ne veux pas que ça dégénère encore plus. Je sais que tu veux me protéger, mais Ariel… Il n’est pas responsable des actes de Chloé. Il ne peut pas être puni pour ses erreurs, dit-elle en larme.
— Mais il est le Président, Victoria ! Il a le pouvoir de régler ça. Il peut faire en sorte que sa sœur, cette folle, cesse de nous nuire !
La prison n'est pas un bon endroit pour elle, mais plutôt un asile psychiatrique, lâche t-elle.
— Je le sais, maman. Mais tu dois comprendre… Ariel n’a rien à voir avec ce que Chloé a fait. Oui, elle a agi de façon irrationnelle, mais ça ne doit pas affecter leur relation. Je ne veux pas que tu le menaces à cause de sa sœur. Ça détruira tout, maman. Je l’aime… et je ne veux pas que cette situation soit un obstacle pour nous... Pour notre relation.
— Je t’ai toujours protégée, Victoria. Et je ferai tout ce qu’il faut pour que tu sois en sécurité. Ariel a ce pouvoir, et il doit l’utiliser pour stopper sa sœur. Si cela signifie que nous devons aller plus loin, alors tant pis, dis-je en fixant ma fille avec insistance, la voix tremblante de colère et d'émotion.
— Maman, je ne veux pas que ça devienne une guerre. J’ai besoin de toi. Mais je t’en prie, ne mets pas Ariel et moi dans cette position. Je suis déjà assez blessée, physiquement et émotionnellement. Et je sais que ce n’est pas juste pour toi, mais Ariel ne mérite pas d’être pris pour responsable.
Elle laisse tomber sa main dans la mienne, un geste plein de tendresse et de compréhension. Je reste silencieuse un instant, observant la souffrance de ma fille dû à quelques blessures. Je respire profondément, luttant contre mes émotions, mais un soupçon de compréhension brille dans mes yeux.
— Tu as raison, ma chérie. Je veux juste te protéger. Mais… je vais essayer de respecter ta volonté. Si ça peut apaiser les choses, je vais calmer mes ardeurs. Mais je n’abandonnerai pas l’idée de protéger ma famille. Je vais m’assurer que Chloé ne fera plus de mal à qui que ce soit, dis-je avec douceur.
— Je vais gérer ma sœur. Mais sachez toutes les deux que si quelque chose de similaire se produit à nouveau, Ariel King n'a qu'une seule parole , affirme t-il d’un ton calme, mais ferme, ses yeux restant fixés sur ma fille Victoria.
Victoria, soulagée, laisse échapper un petit sourire.
— Merci, mon amour… Merci d’essayer de comprendre. Maman, je t’en prie… C’est fini. Ne laisse pas cette haine grandir davantage.
— Très bien, Victoria. Mais souviens-toi, la famille est tout pour moi. Je n’accepterai jamais de voir quelqu’un te faire du mal, peu importe qui ils sont.
— Je n’accepterai plus d’autres menaces à mon encontre, Mme Juliette Zuma. Ce sera mon dernier avertissement, conclut-il fermement.
Je me demande bien comment un homme aussi autoritaire et froid comme cet Ariel est tombé amoureux de ma fille ?
Je dois admettre qu'il aime énormément car sa manière de la regarder en dit long.
ACHETEZ LE LIVRE: SOUS L'EMPRISE D'UN CONTRAT
Il a également raison car j'ai tendance à dépasser les bornes quand il s'agit de mes enfants.
Je ferai un effort de bien m'entendre avec lui désormais car je ne veux pas aller en prison.
David reste silencieux, ses bras croisés, mais son regard tendresse se pose sur sa sœur.
— Je reviendrai te voir, Victoria. Tu sais que tu peux compter sur moi, dit-il en s'approchant du lit, son ton calme mais grave.
— Je sais, David. Merci de toujours être là pour moi.
— Léa, viens, il est temps de partir. Il faut que nous rentrions à la maison. Tu as vu ta sœur, elle va bien.
— Non, maman. Je ne veux pas partir. Je veux rester avec Victoria, déclare t-elle.
— Mais Lily… tu es trop petite pour rester seule ici avec elle. C’est dangereux, et…
— Maman, laisse-la. Elle veut être avec moi, et je pense que ça lui ferait du bien. Je suis assez grande pour prendre soin d'elle. Ariel sera là aussi pour nous. Elle n'est pas seule.
— Très bien… Si tu veux vraiment rester, je ne peux pas t'empêcher. Mais promets-moi que tu seras prudente, Victoria. Léa… elle a besoin d’une protection, de quelqu’un pour veiller sur elle.
— Je promets, maman. Je serai là pour elle. Nous serons toutes les deux en sécurité. Ne t’inquiète pas.
À ce moment-là, mon beau fils Ariel qui était sorti pour répondre à un appel
entre dans la pièce, silencieux, son regard froid et calculateur.
— Si elle veut rester, je n’y vois pas de problème. Il est de mon devoir de veiller sur elle.
— Je ne suis pas certaine que ce soit une bonne idée… Mais, si tu insistes…
— Maman, tu vois ? Ariel comprend. Léa sera en sécurité. Et tu n’auras pas à t’inquiéter pour nous.
Ariel, bien que peu expressif, hoche lentement la tête. Il est un homme de pouvoir, certes, mais il a toujours su protéger ceux qu’il aime, même si cela n’a pas toujours été au goût de tout le monde. Un léger sourire passe brièvement sur mes lèvres.
— Elle sera sous ma protection. Je vous le promets.d’un ton calme, mais ferme)
— Très bien. Je vais partir maintenant. Mais je reviendrai vous voir bientôt. Soyez prudentes, toutes les deux.
Mr le Président, j'aimerais vous dire que je pense qu'il est temps d'enterrer cette hache de guerre.
Je me suis rendu compte que vous aimez la fille d'un amour inconditionnel, j'en suis très heureuse. Je pensais que vous aviez juste pour but de la berner pour avoir votre fils et la rejeter ensuite comme une vieille chaussette.
Je vous présente mes sincères excuses pour toutes les fois où j'ai dépassé les bornes.
Merci d'avoir supporter mon mauvais caractère durant tout ce temps et de ne pas m'avoir envoyé en prison.
__ Je vous en prie Mme Zuma, je comprends que vous aviez juste agis comme une mère poule fait pour protéger ses enfants.
Victoria, maintenant seule avec sa sœur, se sent réconfortée, mais aussi fatiguée par tout ce qui s'est passé. Elle serre Lily dans ses bras une dernière fois avant de se détendre, sentant la chaleur de la petite contre elle.
— Alors, toi et moi, on va passer du temps ensemble. Tu es prête à faire ça, Léa ?
— Oui. Je veux rester avec toi, Victoria. On va s’amuser ma Vicky d'amour !
Mr le Président ?
__ Oui ma jolie petite belle sœur adorée, que puis-je faire pour vous jolie gamine ?
__ Vous attendez quoi pour mettre un autre bébé dans le ventre de ma grande sœur ? Son ventre ne grossit pas trop, dit-elle en souriant.
__ Ne t'inquiètes pas pour ça ma petite, j'attends juste que ton petit neveu naisse ensuite j'en rajouterai !
__ Youpih c'est super !
*** Éclipse de deux semaines***
Le soleil brille haut dans le ciel de Cape Town, caressant les vagues de l’océan d’une lumière dorée. Le prestigieux domaine Sea Whisper, perché sur une falaise privée avec vue panoramique sur l’Atlantique, avait été transformé en un paradis nuptial. Des guirlandes de fleurs blanches, de roses ivoire et d’orchidées rares ornent les arches, les colonnes et même les fontaines du jardin. Un tapis blanc immaculé s’étendait sur plusieurs mètres, bordé de pétales et de torches dorées, menant à un autel dressé face à l’horizon.
À l’étage supérieur du luxueux domaine *Sea Whisper*, la suite présidentielle a été transformée en un véritable sanctuaire de beauté. Les baies vitrées laissent entrer une lumière naturelle dorée, tandis que le murmure des vagues offrent un fond sonore apaisant. À l’intérieur, c'est un ballet maîtrisé de mains expertes, de tissus précieux et de voix douces.
Ma fille Victoria Zuma, future épouse du président Ariel King, trône au centre de la pièce, drapée dans un peignoir en soie ivoire brodé à ses initiales. Elle est entourée d’une équipe d’élite : les plus grands stylistes de toute l’Afrique du Sud, ainsi qu’un groupe de maquilleurs et coiffeurs venus spécialement de New York. Des couturiers de Johannesburg réajustent les derniers détails de sa robe, tandis que deux stylistes américaines supervisent le planning, les lumières et les prises photos privées.
— Son teint doit capturer la lumière du coucher de soleil, pas l’écraser, ordonne la maquilleuse américaine.
— Et les perles sur la traîne doivent refléter l’océan, pas l’artificiel, ajoute un designer sud-africain.
Mais au milieu de cette effervescence artistique, un cocon intime reste préservé autour de Victoria.
Assise sur le canapé, Alicia, sa meilleure amie depuis l’université, l’observe avec émotion. Elle tient un verre de champagne à la main, les yeux brillants.
— J’ai toujours su que tu serais celle qui dompterait le roi, dit-elle en souriant. Mais je ne pensais pas que tu le ferais avec autant de grâce ma puce.
Victoria la regarde dans le miroir et lui répond, un sourire en coin :
— Ce n’est pas moi qui l’ai dompté. On s’est apprivoisés, Alicia. À notre manière violente ma belle !
Non loin de là, moi Madame Zuma, sa mère, je suis émue car ma fille se marie avec un président et Elle s'apprête à devenir la plus jeune première dame de ce pays.
Je portait un boubou élégant couleur émeraude, orné de fils d’or. Je tiens dans mes mains un collier ancien : une pièce de famille transmise de génération en génération.
— Ce collier appartenait à ma mère. Et à la sienne avant elle. Je te l’offre aujourd’hui. Non parce que tu épouses un président. Mais parce que tu es devenue une femme digne de porter notre nom.
Victoria se lève, les yeux pleins de larmes. Elle s’approche de moi, se baisse, et me laisse lui attacher le collier au cou.
Puis, une petite voix retentit :
— Vicky ! Vicky regarde ! Je t’ai dessiné avec une couronne !
C'est Léa Zuma ma toute dernière, la petite sœur de Victoria, âgée de 7 ans, arrivée avec une robe de princesse rose pâle. Elle tient un dessin crayonné de Victoria et Ariel main dans la main, entourés de cœurs et de soleil.
Victoria éclate de rire et la soulève dans ses bras, malgré son gros ventre.
— Tu es mon rayon de soleil, toi, chuchote-t-elle à l’oreille de la petite. Tu seras ma fleur d’honneur aujourd’hui.
— Et toi tu seras la plus belle mariée du monde ! promet Léa en posant un bisou sur sa joue.
Ma fille Victoria est enfin prête, coiffée d’un chignon majestueux, habillée de sa robe haute couture, parée de bijoux anciens, le silence se fit.
Toutes on la regarde, bouche bée.
— C’est elle. C’est la reine du jour, souffla Alicia.
Victoria se tourne une dernière fois vers le miroir. Ce n'est plus une petite fille de 18 ans mais une femme accomplie que je vois.
C’était un symbole car elle s'apprête à devenir première dame.
Alors que la suite s'était vidée peu à peu, laissant place au calme avant la tempête du mariage, je m’approche lentement de ma fille. Elle tenait entre ses mains une petite boîte en velours bleu nuit.
— Maman ?
Je lui prends doucement les mains, les serre dans les miennes. Mon regard remontait lentement vers le visage de ma fille, fier et sublime dans sa robe d’épouse.
— Tu es magnifique, Victoria. Tellement… majestueuse. Tu ressembles à une reine. Mais surtout… tu ressembles à ton père.
J’aurais tant aimé qu’il soit là aujourd’hui. Pour te voir. Pour t’accompagner. Pour poser sa main sur ton bras quand tu avanceras vers Ariel. Il aurait été… fou de fierté.
Un silence absolu envahi la pièce.
J' ouvre doucement la petite boîte en velours. À l’intérieur, un pendentif ancien en or gravé des initiales de son père.
— C’était le sien. Il le portait chaque jour. Il disait toujours : "Ma fille ira loin. Elle ne suivra jamais les règles, elle les réécrira." Et tu l’as fait, Victoria.
ACHETEZ LE LIVRE: SOUS L'EMPRISE D'UN CONTRAT
J' accroche le bijou discrètement à l’intérieur du bustier de ma robe, juste contre mon cœur.
— Je te donne ma bénédiction, mon enfant. Que ton mariage soit fort, même dans la tempête. Que tu sois aimée, respectée, et jamais étouffée. Et si un jour tu doutes, souviens-toi d’où tu viens. D’une lignée de femmes fortes. Indomptables. Comme moi ta mère car tu en as dans le sang.
Victoria éclate en larmes, en silence, se jetant dans mes bras.
— Merci, maman. Merci de ne jamais m’avoir empêchée de rêver grand et de vivre mon rêve d'enfance qui était celui de devenir un jour première dame de ce pays avec l'homme de mes rêves. Même quand le monde voulait me voir à genoux, ajoute t-elle en pleurant.
Nous resterons un long moment ainsi, enlacées, entre rires et sanglots.
Puis, doucement, la voix d’Alicia résonne depuis la porte :
— Il est temps, Vicky… Ariel t’attend.
Ma fille Victoria essuie ses larmes, se redresse, posant une main sur le pendentif contre sa poitrine. Elle me lance un dernier regard.
Mon fils David Zuma, le grand frère de Victoria, fixe la porte d'entrée, un sourire en coin sur les lèvres. Lorsqu’elle s’ouvre complètement, son souffle se coupe un instant.
Sa petite sœur Victoria apparaît, radieuse, férocement belle dans sa robe de mariée. Et pour la première fois depuis longtemps, David eut du mal à la regarder sans cligner des yeux. Elle est sa petite sœur, son diamant brut, celle qu’il avait protégée toute sa vie… et elle va devenir l’épouse du président.
— Wow… souffla-t-il, en avançant vers elle. Putain ! Mais c'est qui cette Reine de beauté maman?
T’as grandi, Vicky. Et t’es sublime. C’est pas normal qu’un homme ait le droit d’épouser une femme comme toi, dit-il d'un ton moqueur.
Elle éclate d’un petit rire, en luttant contre l’émotion.
— Tu vas pas commencer à jouer au grand frère possessif maintenant, hein ? Il est trop tard pour sortir ton flingue... N'oublie pas que ton futur beau frère chéri est le président et risque de t'enfermer si tu l'empêche d'épouser ta petite sœur chérie, ajoute t-elle en souriant.
— J’en ai pas besoin. Le simple fait que je sois ton frère, ça suffit pour qu’Ariel sache qu’il devra toujours rester à la hauteur et te traiter toujours comme une Reine ou alors il aura à faire à moi.
Il s’approche d’elle, ajuste doucement un pan de sa traîné, puis lève les yeux vers elle.
— Papa aurait été tellement fier. Moi je le suis. Tu as traversé des tempêtes, t’as tenu tête à tout un monde… et aujourd’hui, tu te tiens droite, digne. Comme une vraie Zuma.
__ Merci d'avoir cru en moi même quand j'étais insupportable...
— Tu l’es encore, répondit-il en plaisantant. Mais t’es notre reine. Et maintenant, t’es prête.
Un garde du corps toque doucement à la porte.
— La voiture est prête, Mme Zuma.
— Allez, viens. J’ai l’honneur de t’escorter jusqu’à la voiture. Le président t’attend à l’église, et il va s’évanouir quand il va te voir sortir de cette bagnole j'en suis sûr. Tu es belle comme un ange sortie droit du paradis bébé, affirme t-il.
Mon descend lentement les escaliers, bras dessus bras dessous, accompagnés par Alicia, Léa et moi leur mère.
À l’extérieur, une somptueuse Rolls-Royce Phantom blanche, décorée avec sobriété de rubans crème et de roses pâles, attendent. Le chauffeur, en uniforme, ouvre la porte arrière avec respect.
Victoria inspire un grand coup en regardant la ville. David l’aide à monter avec délicatesse, s’assurant que sa robe et son voile sont bien installés.
Avant de fermer la portière, il se penche vers elle :
— T’es prête, petite sœur ?
— Plus que jamais grand frère !
— Alors allons marquer l’Histoire de ce pays Mme la future première dame !
La portière se referme doucement. Le moteur ronronne. Et la Rolls-Royce démarre, s’élançant lentement sur la route côtière en direction de l’église, escortée par des motards présidentiels.
Ma jolie petite fille Victoria regarde le paysage défiler, les mains sur son bouquet, le cœur bat la chamade. Chaque mètre la rapproche de l’homme qu’elle aime, de sa nouvelle vie… et de son destin. Et moi sa mère, j'en ai juste des lames aux yeux...
À suivre...