UNE VIE VOLÉE
Le vrai existe ❤️
Chapitre 11
Le karma de Vanessa est déjà en route
- L'arrivée de Hayden à Manhattan
- Coup de foudre ❤️🥰
**Moi** : Et moi encore plus, je suis tellement fou de toi, ma Reine.
༺✰༻ *Victoria Brown* ༺✰༻
Lorsque je passais près de la chambre de mon Hayden, j’ai entendu des cris de gémissements, et vous n'imaginez pas ma colère à ce moment-là.
Ça aurait dû être moi en train de gémir à cet instant. Cette petite traînée de Vanessa de pacotille me le paiera très cher, je vous le jure.
C’est à cause d’elle que je n’arrive pas à reconquérir mon homme, mon Hayden.
Je ferai tout pour le récupérer afin qu’il redevienne à moi, car je l’aime à en crever et je ne peux pas vivre sans lui.
Je suis restée là à réfléchir à comment récupérer mon Hayden quand soudain, la porte s’est ouverte avec fracas et j’ai fait semblant d’accélérer le pas.
**Vanessa** : Bonsoir, la petite garce, comment vas-tu ?
**Moi** : Je me porte très bien, sale p**e. Tu sais quoi ?
Je suis en train de réfléchir à comment sortir Hayden de tes sales griffes, pétasse de bas étage !
**Moi** : Ah vraiment ?
Tu peux toujours essayer, ma vieille. Tu sais quoi ?
Je viens de finir de faire l’amour avec mon homme. Wow, il est tellement doué au lit, ce beau gosse.
Ses caresses, ses baisers sensuels sur tout mon corps et ses coups de reins puissants me font encore mouiller dans ma culotte. Miam, il est tellement appétissant au lit…
**Victoria** : Tais-toi, petite garce !
Hayden a toujours été à moi, il m’a toujours appartenu, ma vieille.
**Moi** : Pourtant, il me mange dans la main, mon bébé !
**Victoria** : Ouais, c’est ça !
Continue de rêver, tu seras surprise un jour. Il est peut-être à toi aujourd’hui, mais demain, il sera définitivement à moi.
Tu sais, dans la vie, la roue tourne. De toute façon, tu n’es qu’une crève-la-faim qui s’est tapé un riche pour vivre dans le luxe.
Je connais très bien les pu**es de ton genre et leur manège, mais au final, je sais qu’il n’épousera jamais une chienne comme toi.
**Moi** : Ne me fais pas rire, ma vieille. Tu crois sérieusement que mon Hayden va finir avec une traînée comme toi ?
**Victoria** : La traînée ici, c’est toi…
**Hayden** : Tout va bien, mon amour ?
**Moi** : Bien sûr, mon cœur. On était juste en train d’essayer de discuter entre filles.
Dis-je en déposant un doux baiser sur ses lèvres pendant que cette garce de Victoria devenait rouge de colère.
**Victoria** : Salut Hay, comment vas-tu aujourd’hui ?
**Hayden** : Ai-je l’air de quelqu’un qui ne va pas bien ?
**Victoria** : Inutile d’être aussi désagréable avec moi, mon amour. Je sais que tôt ou tard, tu finiras par me revenir.
**Hayden** : Oui, c’est ça, continue de rêver !
**Moi** : En tout cas, tant que je serai en vie, je ne laisserai jamais une autre me voler mon homme. Bébé, on va prendre une douche, s’il te plaît.
**Hayden** : Ok !
Je suis entrée dans la chambre, allant droit dans la salle de bain pour attendre mon homme.
**Victoria** : Hayden, mon amour, pourquoi ne veux-tu pas me pardonner pour toutes mes erreurs ?
Combien de fois dois-je te dire que je suis désolée et que je regrette amèrement toutes mes fautes ?
**Hayden** : Si tu n’avais pas avorté de mon enfant, on serait peut-être déjà mariés. Je ne te pardonnerai jamais pour ça.
**Victoria** : Je sais que j’ai très mal agi, mais comprends-moi, s’il te plaît.
J’étais encore à l’université et je n’étais pas prête à avoir un enfant, même si je t’aimais.
J’étais encore toute naïve, Hayden, comprends…
**Hayden** : Dans ce cas, tu aurais dû me demander mon avis avant d’avorter.
On aurait peut-être trouvé une solution…
De toute façon, je ne veux plus parler de ça avec toi. Je dois rejoindre ma fiancée qui m’attend.
**Victoria** : Tu te trompes complètement sur cette garce, mon amour.
Cette fille n’est rien d’autre qu’une opportuniste qui en a après ton argent.
Alors que moi, je t’aime sincèrement, et on vient du même milieu de vie, bébé.
**Hayden** : Au revoir !
༺✰༻ *Éclipse d’une semaine* ༺✰༻
✰༻ *Hayden* ༺✰
Aujourd’hui, je reçois une personne très spéciale. C’est l’un de mes meilleurs amis et partenaire d’affaires. Je crois qu’il ne devrait plus tarder à arriver.
**Moi** : Mon amour, tu as fini de t’habiller ?
**Vanessa** : J’en ai plus pour longtemps, bébé. Je dois juste mettre mes talons aiguilles *Balenciaga* que tu m’avais achetés.
Voilà, j’ai fini, on peut y aller maintenant. Comment tu me trouves ?
**Moi** : Tu es très rayonnante aujourd’hui, mon amour !
Dis-je en l’embrassant sensuellement.
**Vanessa** : Merci, mon amour !
J’ai tenu ma belle fiancée par la main en prenant l’ascenseur jusqu’à arriver dans le grand salon de cette énorme propriété.
**Moi** : Bonjour, mère. Comment vas-tu ?
**Ma mère** : Je vais très bien, mon cœur, et toi ?
**Moi** : Bien, merci maman !
**Ma mère** : Ne le prends pas mal, mais j’ai mis à la porte les copines de ta… ta fiancée.
Ces filles n’ont aucune manière, elles pensent que cette maison appartient à leur grand-mère, peut-être.
**Moi** : Maman, tu aurais pu m’en parler avant de prendre une quelconque décision radicale.
**Elle** : Ne t’inquiète pas, j’ai été très généreuse, car j’avais demandé au capitaine d’aller les déposer chez elles en hélicoptère.
**Moi** : Maman, tu es vraiment incroyable. Tu parles d’elles comme si elles étaient des colis.
**Vanessa** : Bonjour Mme Mélanie…
**Ma mère** : Toi, la petite sorcière chercheuse d’or, tu sais bien que je te déteste tellement.
Tu n’es pas une bonne femme pour mon fils, petite opportuniste.
Tu vas très bientôt sortir de la vie de mon fils, plus vite que tu ne le penses.
Tes jours dans cette maison sont comptés, tu peux en être sûre !
Donc considère ta venue ici comme de simples vacances, car je suis certaine que dans toute ta misérable vie de crève-la-faim,
tu n’as jamais connu une telle maison, ni un tel luxe.
Misérable moins que rien !
*Tonnera-t-elle.*
**Moi** [d’un air surpris] : Maman, tu dépasses les limites, là. Comment peux-tu dire de telles choses sur ma fiancée, qui est ta future belle-fille ?
**Ma mère** : Cette petite traînée n’est pas ma belle-fille et ne le sera jamais.
De toute façon, je ne fais que dire la vérité.
**Moi** : Je préfère ne plus t’écouter manquer de respect à ma fiancée.
**Vanessa** [dans ses pensées] : Je savais que cette vipère qui me sert de belle-mère finirait toujours par cracher son venin sur moi.
Que tu le veuilles ou non, ton fils va m’épouser et assurer mon avenir.
Je l’aime énormément, y compris son argent. Alors, ce n’est pas toi qui vas m’empêcher d’atteindre mes objectifs, vieille sorcière !
Après cela, nous sommes allés accueillir mon pote Stanley Clarke, qui venait d’arriver et descendait de son hélicoptère privé, tel un roi dans son palais.
**Moi** : Qui est cet enfoiré qui ose mettre pied dans ma propriété sans mon autorisation ?
Grognais-je.
**Stanley** : Boucle-la, conn*rd, pour qui tu te prends pour me parler ainsi ?
**Moi** : Pour l’un de tes meilleurs potes, bien sûr ! Allez, viens dans mes bras, conn*rd !
Mon pote Jason et moi, nous nous sommes pris dans les bras pour un câlin chaleureux et éternel.
**Stanley** : Woow !
Ça fait une éternité que je ne t’ai pas vu, mon pote. Tu m’as tellement manqué.
**Moi** : Toi également, mec !
Je pensais que tu allais venir avec ta petite amie Malia, la belle actrice… ou alors tu as encore rompu, espèce de Don Juan qui change de femme comme de sous-vêtements ?
**Stanley** : En fait, elle est allée rendre visite à ses parents en Australie.
En parlant de petite amie, tu attends quoi pour te marier, mec ?
**Moi** : J’en ai plus pour longtemps, mec. En parlant de ça, je te présente ma fiancée Vanessa.
Mon amour, je te présente Jason Statham, mon meilleur ami.
**Stanley** : Enchanté de faire votre connaissance, Mlle Vanessa !
**Vanessa** : Le plaisir est partagé, M. Stanley !
Après cela, nous sommes allés dans la salle de réception pour passer du temps ensemble, rattrapant le temps perdu.
— Messieurs, que puis-je vous offrir ?
— Apportez-nous deux bouteilles de whisky japonais.
— À vos ordres, Patron !
**Stanley** : Donc c’est vous, la fameuse Vanessa, qui a osé voler le cœur de mon pote Hayden ?
**Vanessa** : Il a aussi volé mon cœur, ton ami. Il m’a complètement fait perdre la tête.
**Stanley** : Tu devrais t’estimer heureuse, ma belle. Mon pote ne court jamais après les femmes.
Ce sont elles qui lui courent derrière comme des petits chiens !
**Moi** : C’est vrai, mon amour, tu devrais t’estimer heureuse.
**Stanley** : Et le mariage, c’est pour quand ?
**Moi** : Dans quelques mois, je crois. Je ne veux pas qu’on précipite les choses.
Je veux qu’on prenne tout notre temps avant de nous marier, car le mariage n’est pas une mince affaire.
**Stanley** : Je te comprends parfaitement, mec, et tu as totalement raison.
**Moi** : Merci !
Je compte effectuer un voyage à Manhattan au courant de cette semaine.
J’aimerais aller rendre visite à ma petite sœur chérie et passer du temps avec elle.
**Stanley** : Ça sera super ! Je crois que je te rejoindrai là-bas.
**Moi** : J’en serais très heureux. Cela nous permettra de passer encore plus de temps ensemble et d’en profiter pour parler affaires…
**Vanessa** : Mon amour, je viendrai avec toi, n’est-ce pas ?
**Moi** : Bien sûr que non, ma chérie. Tu devrais rester ici afin de tisser des liens avec ma mère, car tu seras sa belle-fille…
**Vanessa** : Mais mon amour, ta mère me déteste tellement, tu le sais aussi bien que moi.
Comment peux-tu me demander de rester dans la même maison qu’elle sans ta présence ?
**Moi** : Oui, c’est mieux de rester avec elle. Cela t’apprendra à garder ton sang-froid face aux provocations et paroles blessantes des autres.
**Vanessa [dans ses pensées]** : Je n’arrive toujours pas à croire que tu vas effectuer un voyage sans moi… mais tu vas pourtant y aller avec ton imbécile de meilleur ami !
Quelques jours après, il était temps pour moi d’effectuer ce voyage tant attendu afin d’aller retrouver ma moitié.
C’est comme ça que je l’appelle : ma petite sœur chérie.
Lorsque je suis sorti de la salle de bain, j’ai vu ma petite fiancée qui m’attendait déjà, toute nue.
**Moi** : Qu’est-ce que tu essaies de faire, Vanessa… ?
**Elle** : Chuuuuuuut ! Un coup rapide, s’il te plaît bébé.
J’ai envie de toi. Tu sais bien qu’on ne se verra pas durant une ou deux semaines.
**Moi** : Tourne-toi !
En quelques secondes seulement, je me suis mis à la baiser sauvagement, comme elle aime, après avoir joui plusieurs fois.
Nous avons terminé notre partie de jambes en l’air sous la douche durant plusieurs minutes de plus.
**Moi** : Tu es satisfaite maintenant ?
**Elle** : Bien, bébé !
Reviens-moi vite, s’il te plaît mon amour. Je ne survivrai pas dans cette maison très longtemps avec ta mère, qui me déteste et ne cesse de m’insulter à chaque fois qu’elle me voit.
**Moi [d’un ton rassurant]** : Tout ira bien ma puce, donne-lui juste du temps pour s’habituer au fait qu’on est fiancés et qu’on finira par nous marier un jour.
**Elle** : D'accord bébé, bon voyage !
**Moi** : Merci ma Reine !
Je voyage seul pour l’instant, car mon pote Stanley a eu un imprévu de dernière minute. Il a dû aller gérer un problème avec l’une de ses entreprises et me rejoindra à Manhattan plus tard.
Après plusieurs heures de vol, j’ai enfin atterri dans la propriété où vit ma petite sœur. J’ai vraiment hâte de la revoir après tout ce temps passé loin d’elle.
C’est toujours accompagné de mes gardes du corps que je me suis dirigé à l’intérieur de ce luxueux manoir, et j’ai appuyé sur la sonnette, espérant que ce soit elle qui m'ouvre la porte.
Lorsque la porte s’est ouverte, la jeune femme qui en est sortie pour ouvrir la porte fut choquée de me voir, et elle a refermé la porte dès qu’elle m’a vu.
**Moi** : Mademoiselle, pouvez-vous ouvrir cette porte, s’il vous plaît ?
**Collins** : Patron, je crois bien que la jeune femme a eu peur en vous voyant.
**Moi** : Pourquoi aurait-elle peur de moi ? Suis-je aussi laid que ça ?
**Collins** : Calm down, patron !
En matière de beauté, vous êtes le numéro un des beaux gosses riches de ce pays.
**Moi** : Espèce de petit flatteur, Collins.
**Collins** : Vous savez aussi bien que moi que je ne mens pas, patron. Peut-être qu’elle a craqué sur vous, patron, vous êtes irrésistiblement très beau.
La porte s’est ouverte encore une fois, et la fameuse jeune femme en est sortie. Bizarrement, lorsque nos regards se sont croisés, mon rythme cardiaque a tout de suite accéléré à une vitesse incroyable. Je me demande pourquoi cela m’arrive en ce moment avec cette fille qui me semble familière.
**Elle** : Vous ici ?
**Moi** : Il y a-t-il un problème ?
**Elle** : Euh… désolée pour tout à l’heure, monsieur. C’est juste que j’étais un peu perdue…
**Moi** : Il me semble qu’on s’est déjà croisés une fois, non ?
**Elle** : Euh oui, Monsieur… À ce propos, je tenais très sincèrement à vous remercier pour m’avoir sauvée ce jour-là.
**Moi** : Mais je t’en prie !
J’espère que tu vas mieux maintenant ?
**Elle** : Oui, Monsieur Hayden !
**Moi** : Wow, donc tu n’as pas oublié mon nom après tout ce temps ?
**Elle** : Oui, et vous avez sûrement oublié le mien ?
**Moi** : Logiquement, j’aurais dû oublier, étant donné qu’on ne s’est vu qu’une seule fois. Je crois bien que tu t’appelles… Clara, n’est-ce pas ?
**Clara** : Bien sûr, Monsieur Hayden !
[**Dans ses pensées** : Wow, je n’arrive toujours pas à croire que je viens de revoir l’homme qui a hanté mes rêves pendant tout ce temps… Oh mon Dieu, je suis la plus heureuse de revoir l’homme dont je suis tombée follement amoureuse.]
**Moi** : Tout va bien, Clara ?
༺✰༻Clara Morgane༺✰༻
Wow, il est tellement beau, c’est l’homme le plus beau que j’ai jamais rencontré de toute ma vie. Il prononce mon nom avec une telle délicatesse, personne n’a jamais dit mon nom ainsi. En passant, je me demande ce qu’il fait ici, ce beau Monsieur ?
**Hayden** : Clara, tout va bien ?
Vous m’avez l’air perdu dans vos pensées, quelque chose ne va pas ?
**Moi** : Euh non ! Non, Mr Hayden, tout va bien !
Euh, excusez-moi pour cette question un peu directe, mais j’aimerais savoir ce que vous êtes venu chercher ici ?
Je sais que ce n'est pas chez moi ici, je vis avec ma copine…
**Hayden** : Désolé, j’aurais dû commencer par là.
En fait, je cherche une très belle demoiselle qui habite cette maison. Elle s’appelle Lynda Stewart Anderson !
Dit-il d’une voix grave et vibrante.
**Moi [d’un air surpris]** : Oh, c’est Lynda que vous cherchez ?
Qui êtes-vous, son petit ami, c’est ça ?
**Hayden** : Oui, c’est ça !
J’avoue qu’après m’avoir dit qu’il est le petit ami de ma meilleure amie Lynda, je suis déçue, mais au final, ce n’est pas grave.
Si cet homme la rend heureuse, je serai également heureuse, même si je dois mourir avec ces sentiments que je ressens pour lui.
Mais ce qui est bizarre, c’est que Lynda ne m’a jamais dit qu’elle avait un petit ami nommé Hayden. Je comprends pourquoi elle cherchait à connaître le nom complet de Mr Hayden chaque fois qu’on parlait de lui.
**Moi** : Ok, entrez, votre petite amie est dans le salon en train de regarder la télé.
**Hayden** : Ok, vas-y en premier, j’arrive tout de suite !
**Collins** : Patron, pourquoi avez-vous menti à cette jeune femme en disant que Mlle Lynda est votre petite amie, alors qu’en réalité, c’est votre petite sœur ?
**Hayden** : Je voulais juste m’amuser un peu. Allons-y maintenant !
Lorsque nous sommes arrivés au salon, dès que Lynda a vu Mr Hayden, ses yeux ont failli sortir de leurs orbites. On dirait qu’elle venait de rencontrer le Père Noël pour la première fois.
**Mr Hayden** : Bonsoir, mon amour !
**Lynda** : Oh my God !
Je n’en reviens pas, dites-moi que je rêve là ! Aaaaaaaaaaaaah, mon cœur adoré, tu m’as tellement manqué.
**Mr Hayden** : Et toi, encore plus, ma petite princesse d’amour !
Les deux se sont pris dans un câlin chaleureux et éternel à ce moment-là, et j’étais restée là à les regarder savourer leurs retrouvailles amoureuses.
**Lynda** : Wow, tu es encore plus beau que jamais, mon cœur !
**Mr Hayden** : Et toi, tu es devenue encore plus belle qu’avant, ma petite puce !
**Lynda** : Merci, mon cœur !
Maintenant, passons aux présentations. Mon amour, voici ma meilleure amie Clara Morgane, et Clara, je te présente l’amour de ma vie, l’homme de mes rêves, mon amour infini qui n’est autre que mon grand…
**Mr Hayden** : Son grand amour !
À suivre...