MAN OF MY DREAM 2

Chapitre 1

Vive les amoureux 🎉🎉🥰🥰🎉🎉

1. Le verdict de Victoria

1. L'arrivée fracassante de Chloé

 

— Dis quelque chose mon amour, murmurai-je, toujours agenouillé devant elle, mon regard brûlant d’une intensité nouvelle.  

— Je… je… balbutie-t-elle.

J’inspire profondément, mon cœur battant à un rythme que je n’avais jamais connu. D’un ton grave, je commence :

— Victoria, mon cœur… Je ne suis pas un homme facile, et tu le sais mieux que personne. J’ai toujours eu le contrôle sur tout : mon empire, mes décisions, mes émotions. Mais depuis que tu es entrée dans ma vie, tu as tout bouleversé. J’ai essayé de te garder à distance, de me convaincre que je pouvais vivre sans toi. Mais c’était un mensonge. Un mensonge qui me ronge, qui me détruit un peu plus chaque jour.  

La vérité, c’est que je t’aime. Je t’aime d’une manière que je ne comprends pas toujours, d’une intensité qui me dépasse. Je t’aime comme je n’ai jamais aimé aucune autre femme.  

Tu es mon chaos et mon équilibre, mon plus grand défi et ma plus grande paix.  

Je t’aime, Victoria. Et si tu me donnes une chance, juste une… Je te promets que je ferai tout pour être l’homme que tu mérites.

Un silence lourd de sens s’installe. Je retiens mon souffle, attendant sa réponse, prêt à affronter le seul verdict qui compte : le sien. Qui aurait cru que moi, Ariel King, je m’agenouillerais devant cette gamine pour lui demander sa main, le cœur battant ?

Lentement, elle tend la main et touche mon visage, effleurant ma peau avec une douceur hésitante.  

— Tu es sûr de toi ? souffle-t-elle.

J’attrape sa main et la porte à mes lèvres.

— Je n’ai jamais été aussi sûr de quelque chose de toute ma vie. Je te veux à mes côtés, ma Vicky d’amour. Je veux que tu sois ma femme, ma compagne, ma confidente, la mère de mes enfants. Je veux qu’on élève ensemble notre bébé qui grandit dans ton ventre.

Dans un élan incontrôlable, Victoria se jette sur moi, capturant mes lèvres avec une ardeur qu’elle ne tente même plus de réprimer. Je la rattrape aussitôt, l’attirant contre moi. Elle m’appartient entièrement désormais.

— Je veux t’épouser mon amour… Oui, je le veux de tout mon cœur !

À ces mots, l’atmosphère s’enflamme. Les applaudissements enthousiastes de Daryl, Alicia et David, le grand frère de ma fiancée, résonnent autour de nous.  

Nos lèvres se rencontrent dans un baiser empreint de tendresse et de promesse. Ce baiser, à la fois doux et intense, scelle notre engagement, dissipant les dernières hésitations, unissant nos destins sous le regard bienveillant de ceux qui nous aiment.

— Félicitations frérot, tu n’imagines pas à quel point je suis heureux pour toi, dit Daryl en me prenant dans ses bras.

— Alors Victoria Zuma, bienvenue dans notre famille. Merci d’être entrée dans la vie de mon frère et de le rendre heureux chaque jour. Depuis que tu es là, il a appris à aimer, à faire des exceptions… Merci Victoria, dit-il en souriant à celle qui n’est plus ma fiancée, mais déjà ma femme dans mon cœur. J’ai hâte d’assister à votre mariage.

— Je t’en prie, Monsieur Daryl…

— Non, juste Daryl. La future Première Dame ne peut pas m’appeler "Monsieur" voyons !

— D’accord, Daryl, répond-elle en souriant. Merci infiniment d’avoir toujours été là pour moi.

— Wow Victoria, ma chérie, je suis tellement heureuse ! Regarde-toi… Tu es magnifique, et cette bague… Toutes mes félicitations ma puce ! dit Alicia joyeusement.

— Merci beaucoup ma puce ! Je t’aime tellement…

— Moi encore plus, bébé !

— Vous allez devoir nous excuser, ma future femme et moi avons besoin d’intimité… Je veux être seul avec elle.

— Hum… Ariel King veut déjà aller réchauffer le petit Junior dans le ventre de Victoria ? balance Daryl d’un ton moqueur.

— Tu es fou, Daryl, dis-je en souriant.

— Mon amour, on y va maintenant… Je ne compte pas te laisser te reposer ce soir, murmurai-je contre son cou. Je compte bien te punir pour m’avoir privé de ton corps pendant des mois.

— Bébé, je… tente-t-elle de répondre, même si je sais qu’elle me désire autant que je la désire.

Je coupe ses mots en capturant ses lèvres dans un baiser passionné et délicieux.

— Doucement les amoureux, n’oubliez pas qu’on est là ! lance Daryl en riant. Frérot, vas-y doucement, hein ? Elle est enceinte, je te rappelle. Si tu blesses mon neveu, t’auras affaire à moi.

— Ma femme et moi avons des choses à régler, donc on vous laisse un moment.

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— Ouais, c’est ça !

***

**Victoria Zuma**

Ariel et moi sommes enfin seuls, suspendus dans le temps, nos cœurs battant à l’unisson.  

Toujours dans ses bras, il me porte comme un bébé en montant les escaliers.

— Victoria Zuma, tu es à moi, bébé…

— Oui, mon Ariel adoré. Je suis toute à toi. Fais de moi ce que tu veux, mon amour, dis-je pendant qu’il m’embrasse avec fougue.

Nos corps se cherchent, se réclament. Ariel me porte comme une princesse jusqu’à sa chambre, fermant la porte d’un claquement sourd.

Les vêtements volent en une seconde, arrachés avec impatience. Ma lingerie sexy ne résiste pas longtemps.  

Les draps de soie caressent nos peaux nues. Chaque souffle, chaque geste réécrit les règles de notre amour. Plus besoin de mots : seuls nos corps parlent. Nos mains explorent, nos soupirs s’unissent dans une chorégraphie enivrante.

— J’aime être dans tes bras, mon cœur, avouai-je.

— Et moi, je veux que tu y restes pour l’éternité, *mi amor*, souffle-t-il.

Sa main glisse vers mon intimité, me faisant frissonner. Il me fait vibrer de désir, jusqu’à m’arracher un gémissement.  

Je l’embrasse à nouveau, plus affamée que jamais, et l’attire contre moi. Il me pénètre lentement, avec délicatesse, pour me laisser le temps. Cela faisait des mois…

— Putain bébé ! Chaque courbe de ton corps est parfaite… Je veux te dévorer, souffle-t-il.

Je veux dévorer chaque centimètre de ton corps, dit-il en déposant des doux brûlants le long de mon sternum, il degrafe habillement mon soutien gorge en dentelle sans bretelles.

__ Tes baisers sont délicieux mon amour, 'e t'arrête surtout pas, murmuré-je 

Il caresse délicatement les poids lourds de mes tétons, laissant des coups de longues Chaudes sur les Sommets rosés.

__ Tu es enivrante mon amour, soufle t-il au creux de mon oreille. Je pourrais me délecter de ton corps luxuriante toute la nuit.

__ Oh bébé j'adorerais ça, mais il me semble que ton membre a déjà envie de...

__ Il n'y a que toi qui puisse apéser sa rage mí amor.

Je souris d'un ton provocateur, et j'accroche mon pouce sous la bande de mon string, le décollant lentement. Ariel souris voracement, savourant la vue de mes fesses sexy qui s'offrent à lui tel un écran géant.

Il lèche ses lèvres tout en guidant mes cuisses à s'écarter, enfouissant instinctivement son visage entre mes cuisses.

__ Anh mon amour ! Je crie de plaisir alors qu'il étanche sa soif de mon nectar féminin rosé.

__ Tes lèvres basses sont tellement succulent,  c'est tellement difficile de s'arrêter soufle t-il entre ma chatte.

Ses doigts magiques rejoignent la danse vorace, sondant et s'enroulant à l'intérieur des profondeurs de ma chatte. Il active des mouvements doux et brutaux en même temps.

Ses mouvements incroyables deviennent plus intenses, ferment et déterminé, j'en devient folle.

__ Je ne peut plus me retenir, je vais jouir mon amour... Anh !

Je me brise soudain dans une extase climatique, recouvrant les lèvres affamés de mon Ariel. Il lèche chaque dernière goutte de mon jus avec délice.

__ Tu as un goût exquis mon amour, murmure t-il.

Ariel attrape sa longue queue qui est déjà tendu entre ses mains, je m'incline puis commence à lécher le dessus avec mes larges coups de langue, ce qui le rend encore plus fou qu'il ne l'ait déjà.

__ Putain bébé tu es une Reine... Tu vas me rendre fou... Continue mon amour... 

Tu es un ange ma petite tigresse sauvage... gémit -t-il à travers mes coups de langue sur son membre rigide.

__ C'est toi qui m'a rendue ainsi mon amour, dis-je avec de remettre à nouveau son membre dans ma bouche.

Il sourit de manière coquine alors qu'il me regarde chevaucher sur son genou tout en continuant de guider sa queue à l'intérieur de ma bouche.

Mon Ariel  me retourne doucement avant de me placer en levrette. Il enfonce lentement son membre bien dur et à large à l'intérieur de moi, me laissant le temps de m'y habituer de nouveau.  Cela fait déjà plusieurs mois qu'on a pas fait l'amour depuis la première fois. Alors il a du mal à me pénétrer. Lentement mais sûrement il parvient enfin à entrer entièrement en moi, pendant que je crie de douleur et de plaisir en même.

Ariel rugit bestialement alors que son sexe gonflé pénètre à l'intérieur de mon vagin humide.

__ Putain bébé tu es la meilleure ! Ouille bébé tu es tellement bien foutu ! 

N'ose plus jamais me priver de ton délicieux corps mon amour, dit-il sous l'effet du plaisir.

__ Anh vas-y encore... Ne t'arrête pas mon bébé... Anh c'est tellement bon mon Ariel chéri...

__ Tu aime ça mon cœur ?

__ Oh oui bébé gémis-je intensément j'aime ça... Anh vas-y encore...

__ Tu es à moi Victoria Zuma... Je t'aime comme un fou bébé, soufle t-il 

__ Oh oui bébé je suis tout à toi ! Dieu m'avait créer uniquement pour toi mon amour... Anh... Anh... Anh... 

Il accélère à un rythme rapide, me chevauchant de haut en bas. Les sons intimes intensifie notre passion.

__ Hum bébé tu es tellement bon, je remercie le ciel de t'avoir placé sur mon chemin ma jolie gamine adorée enchaîne t-il pendant qu'il me malaxe vigoureusement.

Il me soulève cette fois-ci jusqu'à la salle de bain où il continue de me faire l'amour comme la première fois. Je n'arrête pas de gémir car ce qu'il me fait en ce moment est plus fort que moi.

Je sens la prise forte de mon bébé Ariel, pressant mon vagin à fond, contre sa longueur toujours aussi dur qu'un bâton.

__ Anh bébé tu es tellement délicieux... Je me sens au paradis à chaque fois que je te fais l'amour.

Nous quittons la salle de bain pour venir atterrir dans la chambre. Il pose délicatement sur le fauteuil puis je monte sur lui. Il m'encourage dans mes mouvements doux sur lui avant de reprendre le contrôle de la situation.

Il me plaque brusquement contre la table avant s'enfoncer de nouveau dans ma chatte, pendant que le  griffe le dos.

__ Anh Ari mon cœur c'est tellement bon... Anh... Anh...

__ Vic soufle t-il contre mon cou. Je t'aime tellement ne l'oublie jamais... Je t'aime bébé... J'ai été un idiot de t'avoir laisser en retrait pendant tout ce temps sans te faire l'amour, pardonne-moi bébé, ajoute t-il.

__ Je t'aime également mon cœur, anh... Anh...

__ Oui c'est ça ma Reine gémis encore plus pour moi... J'aime la douce mélodie de tes gémissements intenses.

Tu me fais perdre la tête ma future Première dame... Aucune femme n'est la hauteur de ta beauté envoûtante Vic, soufle t-il doucement pendant qu'il m'embrasse fougueusement et ses coups de reins puissants sont toujours en mouvement.

Je suis sûr que tout le monde m'entends gémir en ce moment car mon Ariel sait comment me faire chanter dans toutes les langues.

Il prend de nouveau d'assaut mes tétons toute rose et pointus, pendant qu'il me fait l'amour comme on me l'a jamais fait auparavant.

Nous avons fait l'amour durant plusieurs heures tel deux loups affamés. Soudain je sens quelque chose de d'explosif et de chaud en moi. Nous gémissons tout les deux à l'unisson.

Mon homme m'a fait l’amour comme s’il me retrouvait pour la première fois, avec passion, tendresse et envie.

Des heures plus tard, alors que je repose ma tête sur son torse musclé, je remarque deux tatouages : « Chloé »… et « Victoria ».

— Mon amour, tu t’es fait tatouer mon nom ?

— Oui bébé, tu ne l’avais pas vu… Tu étais trop occupée à gémir pour moi.

Mais… qui est **Chloé** ? Une ex ? Une femme qu’il a aimée avant moi ? Est-ce qu’il l’aime encore ?  

Pourquoi ce nom est-il encore sur son corps et pas celui de Sublime ? Elle, au moins, est éliminée…  

Mais Chloé ? Je sens une rage soudaine m’envahir.

— Qu’est-ce qu’il y a mon cœur ? me demande-t-il, surpris.

— Je n’aime pas que tu portes le nom d’une autre femme sur ton torse. Je comprends que tu l’as connue avant moi, mais vous n’êtes plus ensemble. J’aimerais être la seule femme dont le nom est gravé sur ton corps. Sinon… j’aurai toujours l’impression qu’elle est là, avec nous, à chaque fois…

Ariel éclate de rire.

— Wow ! J’adore voir ma future femme jalouse… Mais t’inquiète pas mon cœur, tu es la seule femme qui règne sans adversaires dans le royaume de mon cœur.

      *******

Le soleil se lève doucement. Ses premiers rayons caressent la pièce d’une lumière dorée qui se faufile à travers les rideaux de satin. Dans la chambre luxueuse, aux murs ornés de tableaux modernes, les draps de soie épousent les courbes des deux amoureux que nous sommes. Nous nous réveillons blottis l’un contre l’autre, encore enveloppés par la chaleur et la tendresse de la nuit passée.

J’ouvre lentement les yeux et découvre le regard paisible de mon bébé Ariel qui, allongé à mes côtés, semble encore perdu dans les souvenirs de cette seconde nuit magique que nous avons partagée. Rien qu’en y repensant, je ressens une douce chaleur m’envahir.

Un sourire discret se dessine sur mes lèvres alors que je me laisse bercer par le rythme régulier de la respiration de l’homme que j’aime. Le monde extérieur semble s’être effacé, ne laissant place qu’à cette bulle d’intimité, cette douce mélodie d’un amour renaissant à l’aube.

Ariel se penche pour déposer un baiser léger sur mon front, comme pour sceller la promesse d’un nouveau jour. Chaque geste, chaque regard raconte l’histoire d’une passion partagée, d’une complicité nourrie par des instants volés à l’éternité.

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— Bonjour, mon amour, murmure Ariel d’une voix à peine audible, ses mots se fondant dans le souffle du vent extérieur.

— Bonjour Monsieur le Président, ajouté-je en me rapprochant un peu plus de lui.

Les draps glissent sur nos peaux, rappelant la délicatesse des émotions qui nous ont enveloppés durant la nuit. Nos mains s’entrelacent naturellement, comme si le temps avait suspendu ses lois pour nous permettre de savourer chaque seconde. Pour la première fois, je me réveille dans les bras de mon bébé Ariel. Cette fois, il n’y a ni billets de banque, ni absence… Il est juste là, à mes côtés, en train de me regarder comme si j’étais la personne la plus précieuse au monde.

Ariel me relève doucement pour que je puisse admirer la vue par la fenêtre : une terrasse baignée de lumière, où le jardin s’étend à perte de vue, parsemé de fleurs éclatantes aux senteurs enivrantes.

— Regarde mon cœur, dit-il en me serrant contre lui, le monde se réveille pour nous offrir une nouvelle journée, un nouveau départ… Rien que nous deux. Tu es tellement belle au réveil, ma jolie gamine adorée, enchaîne-t-il. J’aimerais me réveiller ainsi chaque jour, jusqu’à la fin de ma vie.

— Chaque jour à tes côtés est une promesse de bonheur, un rêve éveillé que je ne veux jamais quitter, mon bébé d’amour…

— Ton bébé d’amour ? Donc je ne suis plus ton Mister Ariel beauté ?

— Non, tu es mon amour, mon cœur, ma raison de vivre…

— Chuuuut, réplique-t-il… Et toi, tu es mon rayon de soleil et ma joie de vivre… Notre fils et toi êtes les personnes les plus importantes de ma vie. J’ai tellement hâte qu’il soit enfin là parmi nous, dit-il en s’agenouillant devant moi avant de poser sa tête sur mon ventre. Mon petit bonhomme, ton père t’aime d’un amour inconditionnel. Tu es le bienvenu dans nos vies. Je suis heureux de ton existence car c’est grâce à toi que ta mère et moi sommes enfin réunis.

— Maintenant mon cœur, je crois qu’il est temps d’aller prendre une douche…

— À condition que tu me portes, car je ne sens plus mes jambes, bébé, dis-je en boudant.

— Oui, c’était ta petite punition pour m’avoir privé de toi pendant tous ces mois. Tu n’imagines pas combien j’ai failli aller voir ailleurs. Mais je me suis retenu, parce que même avec une autre femme… je n’aurais rien pu faire. Tu es la seule à qui je pense, future Madame King. Tu m’as dans la peau, ma petite ! dit-il avant de me porter jusqu’à la salle de bain, où nous avons pris une douche ensemble.

Nous sommes maintenant dans la grande salle à manger située au cœur du palais présidentiel, pour un déjeuner convivial. Ariel et moi, entourés de nos proches, savourons un moment de calme. La table est dressée avec soin, ornée de fleurs fraîches et de vaisselle élégante, reflet du raffinement discret de notre univers. Une armée d’employés arrive avec des mets délicieux, préparés par les plus grands chefs de Johannesburg.

— Bonjour Monsieur le Président ! Bonjour Mlle Victoria ! Nous espérons que vous avez passé une agréable nuit ?

— En parlant de nuit, ne vous donnez pas la peine de poser la question à mon frère et sa future femme…

— Dans ce cas, nous vous souhaitons un excellent début de journée auprès de votre charmante santé.

— Merci, vous pouvez disposer.

— Nous ne serons pas loin, au cas où vous auriez besoin de nous.

— Wow les amoureux, je dois vous attribuer une note pour votre première séance de lune de miel, lance Daryl d’un ton moqueur. Bro, je sais que tu es un pro au lit, mais tu devrais doser un peu la prochaine fois ! Je ne veux pas aller consulter à cause de mes oreilles. Victoria Zuma, tu nous avais servis de radio hier soir !

— Boucle-la, petit con !

J’ai tellement honte… Mon Dieu ! Donc il est vrai que Daryl King, mon frère adoré, a entendu mes gémissements ? Merde ! Je crois qu’il a raison. La prochaine fois, son grand frère devra y aller doucement avec ses coups de reins.

— Hum hum ! Et moi, j’ai juste bouché mes oreilles, me lance Alicia.

— Hum, j’ai remarqué que ces derniers temps, Alicia et Daryl passent beaucoup de temps ensemble. J’aimerais savoir ce que vous me cachez tous les deux, dis-je en riant.

— Détends-toi, ma belle-sœur adorée ! On apprend juste à se connaître…

— Attention avec elle, Daryl. Tu n’as jamais eu de relation sérieuse. Ne joue pas avec le cœur d’Alicia, la meilleure amie de ma femme. Je ne tolérerai aucun manque de respect.

— Eh oui, mon cher beau-frère. Tu n’as pas intérêt à briser le cœur de ma meilleure amie ou tu auras affaire à moi ! Et toi, petite cachottière, depuis quand tu me caches des choses ?

— Victoria ma puce, je te promets de t’en parler un peu plus tard, répond-elle timidement.

— Je suis morte de rire ! Depuis quand ma bestie est une fille timide ?

Les conversations vont bon train, ponctuées de rires et d’échanges complices, quand soudain, la porte vitrée s’ouvre brutalement. Un murmure d’intrigue parcourt l’assemblée. Là, dans l’encadrement, se tient une jeune femme sublime, à l’allure imposante. Vêtue d’une robe bleu marine stylée et d’accessoires dernier cri, elle dégage une aura de confiance – voire de supériorité – qui ne laisse personne indifférent.

Elle s’avance d’un pas assuré, ses talons résonnant sur le sol. Son regard vif balaie la pièce, et elle esquisse un sourire narquois et charmeur.

— Bonjour à tous, lance-t-elle d’une voix claire, légèrement arrogante. Il semblerait que vous ayez bien profité de votre petit déjeuner en mon absence. Ariel mon amour, tu m’as tellement manqué ! dit-elle en se jetant dans les bras musclés de mon Ariel comme s’il lui appartenait.

Mais c’est qui cette salope qui ose toucher mon bébé de cette façon ? Si ça continue, je vais lui arracher les yeux !

— Chloé ? Bon sang, quelle agréable surprise ! Et moi qui pensais que tu allais nous avertir de ton arrivée, bébé…

— Depuis quand ai-je besoin de la permission de qui que ce soit pour voir l’homme de ma vie ? dit-elle joyeusement, en allant de nouveau dans les bras d’Ariel, qui la serre encore plus.

Je deviens rouge de jalousie.

Qui elle appelle "l’amour de sa vie" cette trainée arrogante ? Si elle continue, je vais lui arracher les cheveux, je le jure !

Bonté divine ! Donc c’est elle, **la Chloé** ? Peu importe, elle arrive trop tard. Ariel m’appartient désormais...

À suivre...