MAN OF MY DREAM
Parfois l'amour sd cache derrière la haine
Chapitre 7
Une nouvelle vie pour Victoria 😘🥰
- Une agréable surprise
- Des paroles blessantes
__ J'en ai pas encore fini avec toi salope ! Tu me le paiera cher cette humiliation sale crève la faim !
criais-je désespérément comme une folle.
*** Éclipse de plusieurs jours***
༺༻ Victoria Zuma ༺༻
J'ajuste nerveusement ma veste, observant les paysages urbains de Pretoria défiler par la fenêtre de cette luxueuse voiture noire. En réalité Mr Daryl a envoyé un cortège de véhicule afin de venir me chercher. J'ai vraiment hâte de commencer mon nouveau travail afin d'acheter une maison à ma famille avec mon premier salaire.
De toute ma vie, je n'aurai jamais pensé que j'allais un jour entrer dans une telle voiture pour aller commencer un nouveau travail dans l'une des plus grandes entreprises de l'Afrique du Sud. Je ne connais pas encore le nom de cette société mais tout ce que je sais, c'est que je serai très bien payé. Pour l'instant on ne m'a pas encore proposé un salaire, ni un contrat de travail.
Je m'était préparée pour mon premier jour de travail, s'attendant à rejoindre une entreprise privée. Cependant, l'escorte officielle et la direction prise par le véhicule me laissent perplexe.
— Où m'emmènent-ils ? Ce n'est pas la route habituelle vers le quartier des affaires. Pensé-je au fond de moi.
J'espère juste que je ne suis pas en train de me faire kidnapper par ses hommes hyper robuste ? Sinon ma mère mourra de chagrin.
Le véhicule ralentit à l'approche d'une imposante propriété. Des grilles ornées s'ouvrent, révélant une allée bordée d'arbres menant à une élégante demeure de style moderne avec une technologie de pointe.
— Nous sommes arrivés, mademoiselle, dit le chauffeur d'un ton rassurant.
Je descendit, ébahie par l'architecture majestueuse du bâtiment. Cette propriété ressemble à un palais.
— Excusez-moi, mais où sommes-nous exactement ?
— Mlle, Bienvenue à Mahlamba Ndlopfu, la résidence officielle du président de la République d'Afrique du Sud.
Mon petit cœur s'emballe. Que suis-je venu faire ici ? Est-ce que cet homme arrogant au nom de Ariel Ethan King a reconnu son erreur et veux s'excuser auprès de moi après tout le mal qu'il m'a fait ? Veut-il se racheter ? Je n'y comprends rien du tout !
Mais je suis censé aller travailler dans l'une des plus grandes entreprises de l'Afrique du Sud. Qu'est ce que je fou ici?
— La résidence du... président ?
Un homme en costume s'approche, avec un sourire chaleureux et accueillant aux lèvres.
— Mademoiselle Victoria, enchanté. Je suis Jonas, chef du protocole. Le président vous attend, dit-il en me saluant toujours avec un sourire lumineux.
Encore sous le choc, je suis Jonas à travers les couloirs richement décorés de cette place. Nous pénétrons dans une vaste salle de réunion où il me demande d'attendre.
Note :Mahlamba Ndlopfu, signifiant "Nouvelle Aube" en tsonga, est la résidence officielle du président sud-africain à Pretoria. Construite en 1940 dans le style Cape Dutch, elle servait initialement de résidence au Premier ministre avant de devenir celle du président.
Après avoir été introduite dans le somptueux hall de **Mahlamba Ndlopfu, la résidence officielle du jeune président sud-africain, un homme aux charmes irrésistiblements,
j' aperçois M. Daryl qui avance vers moi.
__ Bienvenue, Mademoiselle Victoria. Félicitations pour votre nomination. Votre performance lors de l'entretien a été remarquable, dit-il d'un ton joyeux.
__ Merci, Monsieur Daryl. Je suis honorée de cette opportunité.
__ Vous avez démontré une expertise certaine en relations publiques. Cependant, travailler directement pour le président implique une vigilance accrue. Chacun de vos actions reflétera sur la présidence.
__ Je comprends l'importance de ce rôle et m'engage à agir avec intégrité et professionnalisme. Le Président ne sera pas déçu de moi je vous en donne ma parole d'honneur !
__ Parfait. Le président est impatient de vous rencontrer. Suivez-moi, s'il vous plaît.
On se dirige ensemble vers le bureau présidentiel, prêts à entamer cette nouvelle collaboration.
******
Dans le couloir menant au bureau du président je marche aux côtés de M. Daryl,
J' hésite un instant, puis décide de partager mes pensées.
__ Monsieur Daryl, je dois vous avouer quelque chose. J'étais convaincue que ce poste était au sein d'une entreprise privée. Je pensais même que vous étiez un homme d'affaires.
__ Je comprends votre confusion, Victoria. Notre processus de recrutement est parfois discret pour des raisons de sécurité. Travailler pour le président diffère du secteur privé, mais c'est une opportunité unique.
__ Je réalise maintenant l'ampleur de la responsabilité. Je m'engage à le servir avec dévouement.
__ Votre sincérité est appréciée. Bienvenue dans l'équipe présidentielle Miss Zuma.
— Donc… vous n’êtes pas un homme d’affaires ?
— Pas du tout. Je suis en réalité le conseiller principal du Président Ariel King. Mon rôle est de veiller à la stratégie de communication et aux affaires politiques. Et désormais, vous faites partie de cette équipe.
— Je ne m’attendais vraiment pas à ça… Mais pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt ?
— "Parce que le président voulait voir si vous étiez réellement compétente, sans que le prestige du poste n’influence votre motivation. Et vous avez brillamment réussi votre entretien.
— Je comprends mieux… Mais tout cela reste intimidant, dis-je en hochant la tête
— Je serai là pour vous guider en cas de besoin. Vous pouvez compter sur moi, affirme t-il d’un ton rassurant
Je lui adresse un sourire reconnaissant. Je me sens toujours nerveuse, mais la présence de Daryl comme allié m' apporte un certain soulagement.
*** Ariel King ***
Dans la suite présidentielle de Mahlamba Ndlopfu, la résidence officielle du président sud-africain que je suis, je me prépare pour rencontrer ma nouvelle chargée des relations publiques. Soucieux de faire bonne impression, j'ai fait appel à des stylistes de renom pour m'habiller. En tant que jeune président, je dois toujours être élégamment bien vêtue.
__ Monsieur le Président, c'est un honneur de vous habiller. Nous avons sélectionné pour vous des tenues reflétant l'élégance et la modernité de l'Afrique du Sud, me dit l'un des stylistes.
Les stylistes présentent plusieurs ensembles, mêlant tissus traditionnels et coupes modernes, symbolisant la richesse culturelle de mon pays.
__ Ces créations sont superbes. J'aime particulièrement tenue qui fera ressortir tout votre charme Mr le Président, me dit l'un des stylistes.
__ C'est d'accord !
__ Excellent choix, Monsieur le Président. Cette tenue allie tradition et modernité, reflétant parfaitement votre vision pour le pays.
Quelques secondes après c'est une femme de chambre qui débarque avec un verre de vin à la main et n'hésite pas à me le renverser sur ma tenue.
C'est une gifle magistrale qu'elle reçoit à la place pour avoir osé salir ma tenue cette petite trainée.
__ Mr le Président je suis désolée... Je... C'est une erreur balbutie t-elle
__ De quelle erreur Parle-tu ? Tu as complètement perdu la tête ou quoi bordel ?
Cette tenue peut nourrir toute ta chienne de famille durant des siècles tu t'en rends compte ? dis-je d'un ton irrité.
__ Mr le Président je suis sincèrement désolée... Pitié...
__ Le mot désolé ne figure pas dans mon vocabulaire. Je ne suis pas Jésus afin d'avoir pitié de toi. Tu payeras les conséquences de tes actes maintenant !
__ Je vous en supplie laissez-moi me racheter. Je n'ai plus de parents et ce travail est ma seule source de revenus, dit-elle en pleurant toutes les larmes de son corps.
Je ne veux pas perdre mon travail et retourner dans la rue à faire la prostitution...
__Ce n'est pas mon foutue problème ! Tu aurais dû y penser avant. Garde ! Maintenant dégagez immédiatement cette petite garce de ma vue ! ordonne-je d'une voix ferme et imposante.
__ À vos ordres Mr le Président !
__ Mr le Président je vous en supplie ne me ...
__ Dégagez hors de ma vue bordel ! grogne-je fermement tel un lion en rage.
J'en ai rien à foutre de ses larmes de crocodile. Elle n'a pas pensé aux conséquences avant d'agir comme une idiote.
Après avoir enfilé ma deuxième tenue, je me tourne vers le miroir, ajustant les derniers détails. Je suis irrésistiblement beau dans cette tenue comme toujours. Je comprends encore mieux pourquoi aucune femme ne me résiste. Je suis élégamment très beau.
__ Parfait. Je suis prêt à accueillir cette fameuse invitée. Faites-la venir immédiatement dans mon bureau ! ordonne-je d'une voix imposante.
Je me dirige vers le salon principal, impatient de rencontrer celle qui contribuera à façonner l'image de ma présidence.
Le silence s’abat soudainement dans la salle de conférence du palais présidentiel. Les hauts responsables, les conseillers et les membres du cabinet, sont tous debout, fixant l’entrée avec respect. La double porte s’ouvre d’un coup, laissant apparaître le Président le plus beau et charismatique que je suis, vêtu d’un costume impeccablement taillé, mon charisme dominant la pièce.
Ma démarche est assurée, mon regard perçant balaie la salle… jusqu’à ce que je vois cette petite pute dans mon palais. Putain! Dites-moi que je rêve bon sang ? C'est quoi ce cirque ? Encore cette Victoria Zuma une petite pute avec qui j' avais partagé une nuit qui n'aurait jamais dû arriver. Qui est cette personne qui a osé la faire venir dans ici bon sang ?
Mon visage reste impassible, mais en moi, la rage monte. Je n’arrive toujours pas à croire ce que vois. Si c'est une blague, elle est de très mauvais goût.
Comment elle a-t-elle pu se retrouver ici ? Était-ce une coïncidence ? Une manipulation ? Je serre discrètement les poings en voyant son visage de fausse innocente alors qu'au fond c'est une véritable traînée.
De son côté, elle sent sûrement un frisson lui parcourir l’échine. Elle reconnaît immédiatement l’homme qui se tient devant elle… sauf qu’elle ne s’attendait peut-être pas pas à ce que je sois le nouveau Président de la République d'Afrique du Sud.
Nos regards se croisent. L’électricité est palpable.
Le silence pèse lourdement dans la salle après mon entrée fracassante. Mon regard noir ne quitte pas Victoria, et la tension est presque électrique.
— Dites-moi C’est une plaisanterie ? tonne-je en m’adressant froidement à Daryl mon conseiller.
— Monsieur le Président, je ne vois pas où est le problème, répond-il calmement.
— Le problème, Daryl, c’est que je refuse qu’une gamine inexpérimentée devienne ma chargée des relations publiques. Ce poste demande de l’expérience, de la maturité, pas… une stagiaire sortie tout droit de l’université, dis-je en croisant les bras, regard glacial.
Victoria, qui jusque-là encaissait en silence, serre discrètement les poings. Mon arrogance la heurte, mais elle refuse de se laisser démonter.
— Je comprends vos réticences, Monsieur le Président, mais je vous demande une chose : laissez-lui une chance. Vous n'avez pas vu ses performances à l’entretien, elle a prouvé qu’elle en était capable. Donnez-lui une semaine. Si elle ne vous convainc pas, alors elle partira, dit-il persuasif.
Je fixe Daryl, puis mon regard retourne sur Victoria. Mon cœur est en conflit : Je la **déteste cette petite garce pour la situation dans laquelle elle m'a mis… mais une partie de moi est troublée par cette jeune femme mais je refuse catégoriquement de l’admettre.
__ Oui Mr le Président ! Donnez-lui une semaine afin qu'elle vous prouve ses capacités, dirent tous en chœur.
—Très bien. Une semaine. Mais je vous préviens, Mademoiselle… Une erreur, et vous êtes dehors, déclaré-je d'une voix imposante et autoritaire avec une pointe d’irritation.
Cette petite pute de Victoria soutient mon regard avec défi.
—Je ne ferai aucune erreur, Monsieur le Président, affirme t-elle déterminée.
Le duel silencieux entre nous semble durer une éternité.
Finalement je me lève brusquement, interrompant les murmures et échanges entre les conseillers.
__Laissez-nous seuls, grogne-je d'un ton glacé.
Tout le monde quitte la pièce, laissant Victoria seule face à moi.
Les portes se ferment avec un bruit sourd derrière les conseillers et Daryl, qui ne sait pas quoi penser de cette situation. Dans le silence qui s'installe, Victoria ressent une anxiété. Elle est bien consciente que mon regard sur elle est loin d'être .
Je fais un pas vers elle, mes yeux brûlant de colère. Ma voix est froide, mais chaque mot semble frappé de haine.
__ Donc comme ça tu es la nouvelle petite fille, qu'on a choisie pour ce poste ? Uneprostituée de plus, venue chercher son petit job dans le gouvernement. Est-ce que tu te crois qualifiée pour travailler ici ? Ne vois-tu pas que ce rôle est bien trop grand pour toi petite trainée ?
Elle sursaute, tentant de retenir ses larmes.
__ Je... je suis ici pour... pour faire de mon mieux. Vous ne me connaissez pas, Monsieur le Président. Donc arrêtez de me juger...
__ Oh, je te connais mieux que tu ne le penses. Une gamine naïve, prête à tout pour sa place, qui se croit capable de rivaliser avec des professionnels. Tu m’as déjà prouvé tout ce qu’il y a à savoir sur toi en t'offrant à moi telle une salope... En m'écartant grandement tes jambes petite trainée, grogne t-il tel un lion dans la jungle.
J' avance un peu plus près d'elle, mon regard acéré, mon visage à quelques centimètres du sien.
__ Tu n'es rien d'autre qu'une chienne qui a probablement fait tout ce qu’il fallait pour arriver là. Qu'est-ce qui t’a fait venir ici, ta beauté de bas étage ? Ou était-ce une partie de jambes en l'air avec mon conseiller Darryl car c'est tout ce que tu sais faire chienne ! ajouté-je d'un ton amère pendant que les larmes coulent abondamment sur sa joue.
La petite trainée de Victoria, les yeux pleins de larmes, se sent complètement écrasée sous la violence de mes mots. Les émotions l'envahissent alors qu'elle essaie de garder son calme.
__ Je ne suis pas… je ne suis pas une prostituée Mr le Président, encore moins une pute comme vous le pensez… vous ne savez rien de moi, affirme t-elle en balbutiant, la voix brisée.
__ Tu n'es rien d'autre qu'une chienne sans valeur, une **prostituée de basse classe** qui se pavane pour espérer grimper dans l'échelle. Tu crois que ta beauté ou tes quelques mots bien tournés vont compenser ton manque total de compétence ?
Alors fais bien attention, petite fille. Si tu fais la moindre erreur, tu seras la première à être écrasée, dis-je avec un rictus cruel
Chaque mot frappe Victoria comme une gifle. Les insultes, répétées avec une cruauté calculée, font monter les larmes à ses yeux. Elle essaie de retenir ses sanglots, mais la douleur est trop vive, et bientôt, des larmes silencieuses coulent sur ses joues.
Victoria baisse la tête, des larmes silencieuses roulent sur ses joues.
Je me détourne brusquement, ne laissant aucune place à la discussion, et me dirige vers la porte. Je jette un dernier regard froid à Victoria, avant de quitter la pièce sans un mot de plus.
Victoria reste là, seule, les larmes coulant librement sur ses joues.
À suivre...