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BLOODS - chapitre 15

L'amour fait vivre

Mar 12, 2025 - 8 Minutes

Chapitre 15



Prêtre : tu penses que tous ce que nous avons réussis à faire depuis dépendaient de notre volonté ? Jamais il s’agissait uniquement de la volonté de Dieu, alors soumettons lui le problème et il nous guidera vers la solution appropriée, ce n’est pas le moment de perdre la foi sinon nous ne parviendrons pas à sauver cet enfant, et je crois que c’est la dernière chose que toi et moi souhaitons.


Deux jour après, un d’eux avait réussi à pénétrer le temple et m’avait enlevé la bague, je ne savais pas qui c’était s’il s’agissait du Prêtre ou de Madame YBAS qui avait bien faillit se faire attraper, après l’avoir enlevé elle l’avait lancé dans les flammes qui étaient sous mes pieds en train de me sécher comme une vulgaire viande et de l’autre côté je suppose que la personne qui était resté avait également pu retirer la bague.


Je ne saurais vous dire ce qui s’était réellement passés ni comment la personne avait pu prendre l’apparence d’un monstre, pénétrer le temple et ressortir sans se faire attraper, surement l’œuvre de Dieu, j’avais perdu toute connexion avec eux, je passais mon temps à me tordre de douleur et prier le seigneur de ne pas m’oublier.


Nous étions déjà au cinquième jour que j’étais suspendu, j’avais déjà tellement séchée que moi-même je ne me reconnaissais plus, un montre était venu me libérer et m’avait conduit chez le maitre.
Maitre : ma fille Bloods ! Jesuis si heureux de te revoir, mais on dirait que tu as maigri AHA AHAAHAAHA, tu es prête à mourir ?
Bloods : non ! Je ne veux pas mourir !
Maitre : c’est ce que je voulais t’entendre dire si tu ne souhaites pas mourir nous allons faire un marché, et si cela t’arrange, j’épargnerai ta vie !


Bloods : je t’écoute !
Maitre : si tu me donne deux personnes de chez toi, je te laisserai la vie sauve, peu importe qui, ton père, ta mère ou tes sœurs à toi de faire ton choix, donne-moijuste deux personnes et tu seras libre
Bloods : non !


Maitre : qu’est-ce que tu dis ? J’espère bien que tu es consciente que c’est ta seule chance de rester en vie et je ne te la proposerai pas deux fois !
Bloods : je suis désolée mais je ne peux pas !
Maitre : et pourquoi ? Personne ne t’aime ni ne t’a jamais aimé dans cette famille, et moi qui croyait qu’il y’a longtemps tu te seraisvengé d’eux, mais non, tu ne leur a absolument rien fait, malgré tous les pouvoirs que tu as acquis, et je me demande bien pourquoi !


Bloods : tout ce que je te demande c’est de laisser ma famille en dehors de ça !
Maitre : tu n’as pas à me dire quoi faire !
Bloods : je ne veux pas quelque chose de mal leur arrive !

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Maitre : donc malgré tout ce qu’ils t’ont fait tu as encore le courage de vouloir les protéger ? Tu me déçois vraiment Bloods, et moi qui pensais que tu étais intelligente, si tu veux mourir pourquoi t’en empêcher ? Tu n’auras qu’à me saluer Roger en enfer quand vous vous y verrai, amenez la ! Il te reste deux jours alors profite en perché en l’air au-dessus de ces flammes car ce qui t’attend de l’autre côté est bien plus pire


Ses serviteurs m’avaient emmené et m’avaient perché en l’air comme j’y étais d’abord, je ne cessais de continuer de prier malgré qu’une petite voix me disait que tout était perdu d’avance j’avais quand mêmetué plusieurs personne, moi-même je ne pouvais pas donner le nombre exact, je m’en voulais et espérais bien que Dieu me pardonne pour toute mes fautes.


Je me remettais beaucoup en question, il était tant pour moi d’ouvrir les yeux, je n’étais pas arrivé dans cette situation à cause du rejet de ma famille mais à cause de mon égoïsme.
Oui j’étaiségoïste et avare en même temps, je voulais tout posséder au lieu de regarder ce que j’avais, l’apprécier et m’en en contenter, je regardais plus tôt ce qui me manquait et me fixait comme objectif tout faire pour l’avoir.
J’avais la chance d’être envie, et en très bonne santé, j’avais des parents présents qui malgré tout s’occupaient de moi, j’avais aussi des sœurs très appréciées de tous et ensemble nous vivions dans une grande et belle maison avec des employés à notre disposition, qu’est-ce que je voulais de plus, j’étaisresponsable de mon gros cœur.


Dans la vie nous ne pouvons pas toujours avoir ce que nous voulons, et je devais me mettre ça dans la tête, c’était ça la réalité et parfois au lieu d’être à la quête de ce que nous n’avons pas, essayons au prenable d’apprécier ce que nous avons déjà.


J’étais la à cogiter quand le contact avec mon corps s’était rétabli, tous les deux continuaient à prier pour moi, et j’avais pu découvrir que c’est Madame YBAS qui s’était sacrifiée pour venir enlever cette bague de mon doigt, elle aurait pu perdre sa vie, elle n’était pas de ma famille mais était tout de même prête à tout pour moi, pour que je vive.


J’avais aussi remarqué que Laurie venait souvent me rendre visite prétextant qu’elle allait à l’hôpital, depuis que ma famille avait été informé de mon état, personne d’eux n’était passé me regardé à l’hôpital ils se contentaient juste de prendre mes nouvelles chez Laurie mais je ne les en voulais plus, j’avais enlevé toute la haine de mon cœur et ne comptait rien leur faire.


Je m’étais mis dans cette situation toute seule, et si la mort était la solution alors j’étais prête, je voulais être la seule responsable de mes actes.


Nous étions rendu au dernier jour et je voulais me dire que c’était bien la fin pour moi, mais une voie me demandait de garder la foi, décroché en l’air, j’étais conduit à l’abattoir, où je devais être découpé en petit morceau avant d’être broyer, ce qui devait servir de nourritures aux esprits maléfiques que le maitre élevait, ayant été des montre, nous avoir comme nourriture devait les fortifier dans leur mission.


Je me dirigeais vers l’extrade avec des chaine quand un grand bruit s’était fait retentir du ciel, c’était une lumière blanche qui était descendu uniquement sur moi, dans cette lumière un ange donc je ne connaissais pas le nom.

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- Je ne permettrai à personne de lui faire du mal

- Tu fais quoi ici ? pourquoi ton père et toi ne pouvez pas me coller la paix ? je vous laisse le ciel mais vous venez sous terre me chercher les problèmes ?


- Tant que tu continueras à mal te comporter, nous ne te laisserons jamais en paix
- Michelle vas-t-en d’ici, car elle est à moi, et tu n’y pourras rien


Don c’était lui l’archange Michel dont j’entendais parler, il m’avait rapproché de lui et couvert de ses ailes lumineuseset immédiatement je fus déchainée, j’avais récupéré ma véritable apparence et mes vêtements étaient devenus tous très blancs.
- Je te l’ai dit tu ne lui feras aucun mal, c’est la bien aimée de notre père !
Suivre cette phrase m’avait donné du bomme au cœur donc j’étais la bien aimé de Dieu ? Waouh, quelle chance j’avais !


- Comment peut-elle être sa bien aimé quand de sang-froidelle a tuéplusieurs personne innocentes, vous me faites rire là-bas au ciel !
- Justement nous te faisons rire parce que nous n’agissons pas de la même manière que toi, en plus tu l’avais piégée, notre père estun Dieu de Paix, un Dieu d’Amour, et un Dieu de Miséricorde


- Arrête de dire notre père, il n’est pas mon père !
- Comme tu veux ! mais je suisvenu chercher sa bien-aimée, et personne ne m’empêchera de réussir cette mission, même pas toi nites serviteurs !
- C’est ce qu’on verra !


Une bataille s’en était suivie, et l’archange Michel tout seul avait réussir massacrerla majorité des serviteurs du démon là, et voyant cela Il avait eu peur de se retrouver tout seul, et que ça soit son tour de se battre, et de ce fait il s’était résigné.
- Michel ! laisse mes enfants et va-t’en avec elle, mais laisse mes enfants tranquilles
- Comme tu veux !


Il avait arrêté le combat car les montres étaient allés en retrait, et lui et moi avions commencé à monter toujours étant dans la lumière.
- Et ne revenez plus jamais ici tous les deux, demande à ton père de me foudre la paix, il est trop égoïste !
- Tant que tu ne reviendras pas sur le bon chemin, tu auras toujours affaire à nous !
Nous étions arrivé dans un lieuqui était recouvert uniquement de lumière, l’archange Michel m’avais montré la porte de sortir, et je me dirigeais vers elle.

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Quand je fus arrivé devant la porte ?Dès que je voulu la franchir, une voix avait retenti du ciel.
- Elodie tu es ma fille bien aimée et tous tes péchés te sont pardonner, vas soit heureuse et surtout ne pêche plus !
Mon cœur avait tressailli d’émotion, j’avais l’impression d’avoir été pénétré par le Saint-Esprit, et c’est ainsi qu’il était sept heure du matin quand j’avais repris possession de mon corps toute délivrée, la joie de ça.


Grace à ma foi et surement les prières du Prêtre et Madame YBAS, dieu s’était chargé lui-même de combattre pour moi, que serais-je sans lui rien du tout, en plus il avait larvé tous mes péchés et pardonné toutes mes fautes, son amour était sans pareil, son amour n’avait vraiment pas de fin.
Le prêtre et Madame YBAS avaient sautés de joie, quand j’étais revenu à moi, je leur avais raconté ce qui s’était passé et ensemble nous avions fait des prières et chantés des louanges, le Seigneur avait été merveilleux un vrai Dieu d’amour, il m’avait pardonné toutes mes fautes.


J’avais eu la chance que même certains prêtres n’avaient jamais eu de leur vie, non seulement j’avais vu l’archange Michel mais Dieu m’avait parlé, lui en personne, il m’avait dit que j’étais sa fille bien aimée.
Le prêtre avait demandé que je reste encore trois jours avant d’aller définitivement chez nous, il voulait être sure que j’avais été complètement délivré et que je ne pouvais plus subir aucune menace ni attaque diabolique.


J’étais fière de moi, heureusement comme je n’avais pas voulu sacrifier ma famille pour ma vie, peut être tout cela avait compté pour ma délivrance, je n’en voulais plus à personne, mon cœur était lavé de toute rancune, j’avais une nouvelle manière de voir le monde, je comptais juste voir le positif et m’en réjoui, j’étais la bien aimée du tout puissant, ma famille et moi devions passer à autre chose et je devais accepter le fait qu’ils ne soient pas obliger de m’accepter ils ne me devaient rien, et je souhaitais que tout le monde apprennent à vivre avec cette pensées « Personne ne nous doit rien ».


C’était sans me douter que même étant la bien aimée du Seigneur, toutes les décisions c’est lui qui les prenait de ce fait le retour chez nous, ne devait rien présager de joyeux…
À SUIVRE...

L'amour fait vivre 

  1. Amour, famille, trahison, sorcellerie