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BLOODS - chapitre 14

L'amour fait vivre

Mar 12, 2025 - 7 Minutes

Chapitre 14


Il avait aussitôt disparu, me laissant ainsi avec une faim terrible, et pour combler le tout j'avais de la fière, je transpirais tellement que je croyais devoir cuire, de grosses gouttes de transpirations coulaient sur moi, la nuit avait été très difficile mais par la grâce de Dieu le lendemain j’étais en vie sans toutefois avoir eu à manger quelqu’un, j’avais passé toute la nuit à prier sans dormir, ce qui m’avait poussé à dormir en cours toutes la journée.


Je n’avais pas cours avec le professeur YBAS ce jour, mais elle devait venir me chercher après les cours et c’est ce qu’elle avait fait, nous étions allées chez le prêtre exorciste de nouveau, je lui avais raconté ma nuit et il m’écoutait attentivement avant de prendre la parole.


Le prêtre : trop de démons habitent déjà votre maison il sera préférable pour toi de chercher un endroit où rester car tu ne pourras pas avoir la guérison là-bas chez vous.
Élodie : mais où irais-je dans ce cas et que vais- je dire à les parents ?


Prêtre : essayé de leur dire la vérité !
Élodie : surtout pas mon père ! Je crains leur réaction


Madame YBAS : réfléchis et trouve quoi dire à des parents et si tu as besoin d'un endroit où rester tu pourras toujours venir chez moi, en attendant que les choses rentrent dans l'ordre.


Élodie : d'accord madame !


Je ne savais pas quoi dire exactement à mes parents afin de pouvoir me déplacer, qu’est-ce que je pouvais bien leur dire sans que ça ne paraisse louche, alors jamais pris une décision, faire ma valise, me lever le lendemain et partir sans rien dire, quitte à pouvoir tout leur expliquer à mon retour, mais je ne souhaitais pas le faire avant, sauf en cas de nécessité.


Il était question que je parte très tôt le matin, ma valise était déjà prête, d'ailleurs j'avais passé une nuit paisible et douce mais le matin, je n'avais pas pu me lever, j’étais comme clouée sur le lit sans possibilité de bouger même le doigt en plus tous mes membres me faisaient mal.

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Le temps ne faisait que passé, et bientôt toute la maison devait être réveillée mais je ne parvenais pas toujours à bouger, j’étais couchée sur le lit comme dans un cercueil avec les bras tout au long du corps et les pieds bien tendu tout droit, avec mon regard figé sur le plafond, exactement comme si j’étais dans un cercueil sans possibilité de bouger et rajouter à cela tous les membres qui me faisaient mal, tout effort même aussi faible qu’il pouvait être était douloureux pour moi.


Mon téléphone posé sur le chevet de mon lit, il s’était mis à donner sûrement Madame YBAS qui se demandait pourquoi je trainais à venir, mais je ne pouvais pas décrocher.
Laurie était venue me regarder dans ma chambre apparemment le gardien lui avait dit que je n’étais pas sortie depuis le matin et connaissant bien mes habitudes elle s’était inquiété, mais la porte de ma chambre fermé à clé, elle s’était mise à m'appeler.


Et je ne parvenais pas au moins à dire oui !
C’était extrêmement difficile alors je m’étais mise à prier dans le cœur, quand elle n’arrêtait pas de m'appeler devant la porte, elle était sur le point de s'en aller quand j’avais réussis a lâcher un « oui » ce qui l’avait plus inquiété. La conduisant ainsi à courir appeler le gardien qui ne savait pas quoi faire à son tour.


Laurie : c’est comme si elle est très malade !
Gardien : hier elle allait pourtant bien !
Laurie : qu'allons-nous faire maintenant ?
Gardien : j’ai une idée, cassons la porte, nous n'avons pas le choix !
Laurie : non j'ai une meilleure idée, le patron garderle double de clé de toutes les pièces de la maison dans sa chambre, je crois bien que je peux essayer de retrouver ce trousseau
Gardien : d'accord bonne idée vas-y alors !


C’est ainsi que Laurie était allé regarder le trousseau des doubles de clés de la maison, et avait réussi à le trouver, ce qui lui avait permis d'ouvrir ma chambre et d’entrer, ils avaient juste commencé à crier en voyant mon état, appelant ainsi immédiatement mes parents et mes sœurs qui étaient déjà sortis, la première personne qu’ils avaient réussi à avoir c’était mon père.


Laurie : Monsieur Élodie ne se sent pas bien, elle est couché sur le lit et ne parviens pas à bouger en plus tout son corps lui fait tes mal
Mon père : et je suis sensé faire quoi ? Quand on ne se sent pas bien on va à l’hôpital, elle n’est pas un enfant quand même


Laurie : je pensais que vous pouviez venir pour qu’ensemble nous l'amenions à l’hôpital ? Car comme je vous l’ai dit elle ne parvient même pas à bouger


Mon père : non je ne peux pas, débrouillez-vous et amenezlà à l’hôpital je vais vous envoyer de l’argent dans votre compte pour gérer tout le nécessaire, si j’ai des employé c’est pour également faire faceà ce genre de situation


Il avait raccroché, ma mère avait dit que ce qui m’arrivait était uniquement mon problème et mes sœurs qu’elles étaient toutes deux occupées et ne pouvaient plus revenir à la maison.

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Laurie et le gardien avec deux autres de nos employés s’étaient battus pour me mettre dans le taxi afin de me conduire à l’hôpital, mais quelques minutes après être arrivé à l'hôpital nous avions bien été pris en charge et les médecins essayaient de comprendre ce qui se passait.


Mais quelques choses n'allait pas j’étais en train de laisser mon corps sans toutefois le vouloir, et c’est ainsi que je m’étais retrouvée en train de voir mon corps couché sur le lit de l’hôpital tout faible, prise de panique j’avais commencé à regarder tout autour de moi, et c’est à cet instant que j’avais vu le maitre assis sur une chaise au coin de la salle.


Maître :Bloods je n’ai pas assez de temps ni d’énergie pour te courir après, je ne suis pas de ceux-là qui veulent exiger que tu restes dans la fraternité, tu veux partir c’est ton choix tu es très libre, mais si je ne veux pas te laisser partir c’est aussi mon choix alors je peux décider de te tuer à chacun ses choix et ses conséquences et moi qui avait un avenir brillant et promoteur pour toi, dommage, je vais te torturer jusqu’à ce que tu me supplie de te tuer, et là tu verras toutes la chance que tu avais d’être de mon côté, et plus jamais l’idée ne te viendra de vouloir m’affronter.
Je ne savais pas quoi dire face à ses menaces.


Maître : capturée la et emmenez la moi !
C’est ce qu’il avait dit avant de disparaitre et aussi tôt des montres étaient apparus et m'avaient capturé, pour me conduire je ne savais où.


Comme Madame YBAS appelait avec insistance, Laurie avait décroché et lui avait expliqué la situation, elle avait accouru à l'hôpital et s’était faite passé pour ma mère, voyant à quel point elle était inquiète pour moi Laurie n'avais pas hésité à la laisser faire.
Elle lui demanda de l'aide pour me conduire chez le prêtre exorciste, et après m'avoir déposé elle lui avait demandé de ne rien dire au parents, si les questions lui étaient posées elle n'avait qu’à dire que j’étais en soins à l'hôpital et que les médecins disaient que j'allais m'en sortir, et s’ils demandaient qu'elle les accompagne pour me voir, elle devait les emmener chez le prêtre.


Avec les montres qui m'avaient capturé, nous étions arrivés au temple, c’est à qu’ils m’avaient conduis.


Maître : tu te prends même pour qui ?
Je ne parlais pas, il ordonna l’ordre de me suspendre comme on l'avait fait avec Roger, j’étais suspendu et sous mes pieds il y’avait des flammes.


Maître : tu resteras ainsi pendant une semaine car je te promets une mort longue et douloureuse comme tu le mérite !
Entre temps le prêtre et Madame YBAS multipliaient les prières autour de moi.
Prêtre : essaie d'avoir une vision pour savoir comment elle va spirituellement !
Madame YBAS : je ne crois pas que ça fonctionne en journée le plus souvent c’est la nuit !

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Prêtre : prie et demande à Dieu de t'aider, ce n'est pas le moment d’étre pessimiste
Elle s’était mise à prier profondément et avait reçu une vision de mon état.


Madame YBAS : mon père elle est suspendue en l'air au-dessus des flammes
Prêtre : Ooh mon Dieu, prions et demandons de l'aide à Dieu car lui seul peut lui venir en aide


En soirée ma famille avait demandé après moi à Laurie qui leur avait dit exactement ce que madame YBAS et elles avaient convenu, personne n’était venu me voir à l’hôpital où ne souhaitait me voir, mon père lui avait juste demandé de s'exprimer si un besoin d'argent se fait sentir, et elle avait accepté.


Dans la nuit le prêtre avait été parlé par Dieu qui lui avait montré la bague que Roger m'avait donné c’était la bague de l’alliance avec lui.


Le lendemain il avait expliqué à Madame YBAS son rêve.
Prêtre : vous voyez la bague sur son doigt ? Nous aurions dû l’enlever depuis, c’est la bague qui a scellé son alliance avec Roger et son maitre, et la première des choses à faire est de la détruire
Elle s’était précipitée pour me l’enlever du doigt.


Prêtre : ça ne peut plus sortir, le seul moyen de l’enlever maintenant c’est spirituellement et de ce fait un de nous doit réussir à s’introduire au temple pour lui enlever ca spirituellement des que ça sera fait nous pourrions aussi lui enlever ca ici
Après avoir découvert que Roger m’avait piégé, j’avais au préalable retiré la bague, mais une fois que j’avais accepté de moi-même de le rejoindre je l’avais remis et dès lors je ne m’en séparais plus, et au moment de renoncer à tout j’avais oublié ce détail, qui risquait ainsi me condamner.


Madame YBAS : et comment allons-nous réussi à pénétrer dans ce temple, et même si nous y parvenons, comment allons-nous lui enlever cette bague sans être aperçu par les membres de sa communauté, ça c’est carrément une mission suicide…


À SUIVRE...

L'amour fait vivre 

  1. Amour, famille, trahison, sorcellerie