Littérature > Romance

ÉPRISE DE MON GARDIEN

11 mars 2025 - 8 Minutes

CHAPITRE 22

Hummmm 

  1. Réconciliation

 ~ Wilfried Aymen Saïdi Koné ~
Je me réveille sous les doux baisers de ma petite femme. J'ouvre les yeux et elle me sourit chaleureusement.
Moi : Bien dormi, mon ange ? 
Je parcours son joli visage de mes doigts.
Rita (souriant): Oui, chéri, même si tu as failli me tuer hier, Koné. 
Je souris à mon tour. J'aime bien quand elle m'appelle par mon nom de famille.
Moi : Te tuer de plaisir, tu veux dire. D’ailleurs, viens là, j’ai encore envie de toi.
Je l’attire et la mets à califourchon sur moi.
Rita (m’embrassant tendrement) : Tu es trop mignon au réveil , bébé.  
Moi : Toi aussi, ma chérie. 
Je la soulève lentement pour me retrouver au fond d’elle vu que nous sommes nus . Elle est tellement serrée et chaude que j’ai envie de lui faire crier à chaque instant. Je ferme les yeux lorsqu’elle s’empale lentement sur moi, son corps frémissant sous mes caresses.
Rita (gémissant) : Oh… putain… Will, c'est doux … ohhh…, t'es le meilleur 
Je souris en suçotant ses seins pointus, excité par ses gémissements.
Moi : Toi aussi, ma belle.
Je poursuis mes mouvements avant de la retourner en levrette. Elle se cambre, m’offrant ses jolies fesses rebondies. Je tire légèrement sur ses tresses tout en approfondissant mes mouvements. Nous continuons ainsi pendant une demi-heure avant d’aller prendre une douche ensemble. Une fois dans la cuisine, je vérifie mes e-mails assis devant mon ordinateur pendant qu’elle prépare le petit déjeuner, vêtue d’une de mes chemises qui couvre à peine ses fesses. Je me bats pour ne pas me jeter sur elle et la dévorer toute crue.
Moi : Bébé…
Rita se retourne vers moi.
Rita : Oui, chéri, qu’y a-t-il ?
Moi (soupirant ): Rien… mais je voulais te parler d’un événement survenu pendant mon voyage.  
Rita éteint la cuisinière et vient s’asseoir sur mes genoux.
Rita : Vas-y, je t’écoute.
Moi: En fait, il s’agit de mon ex-femme.
Son expression change immédiatement.
Rita (d’un ton neutre) : Qu’est-il arrivé ?
Moi : Un soir, en rentrant à l’hôtel après le boulot, je l’ai trouvée nue dans mon lit… Avant ça, je l’avais croisée par hasard à la réception. Elle a essayé de me séduire, mais je lui ai bien fait comprendre qu’elle ne signifiait plus rien pour moi. Je ne savais pas comment elle avait pu entrer dans ma chambre, jusqu’à…
Rita (se levant brusquement tout en me coupant) : Tu veux me dire qu’elle est entrée là-dedans par magie ?
Moi : Non, elle a été aidée par quelqu’un du service de chambre. C’est ce qu’on m’a dit quand je me suis plaint à la réception. Écoute, mon amour, je n’ai pas envie qu’il y ait des secrets entre nous, c’est pourquoi je te raconte tout cela . 
Des minutes passent et elle ne dit rien , me fixant avec un regard neutre .
Moi : Dis quelque chose, bébé… 
Je tends la main vers elle, mais elle recule.
Rita : Tu veux que je dise quoi maintenant ? C'est votre problème .
Elle se retourne vers la cuisinière.
Moi (froidement) : Rien , ça va .
Je tourne le dos et prends mon ordinateur avant de me lever prêt à quitter la cuisine. Je lui en parle pour éviter des malentendus à l’avenir car je connais Aïcha , mais madame le prend autrement.
Rita (revenant vers moi et se collant doucement) : Je suis désolée, bébé… J’ai juste peur qu’elle ait pu te faire de l’effet malgré tout.
Moi : Viens là , mon cœur . Depuis que je t’ai aperçue, la seule et unique femme qui me fait de l’effet, c’est toi. Tu peux le constater par toi-même. 
Je me colle à elle pour lui montrer mon érection naissante. Elle m’embrasse tendrement.
Rita (murmurant contre mes lèvres) : Merci de me l’avoir confié. Je t’aime, mon mignon gardien.
Moi : Moi aussi, ma sauvageonne de patronne. 
Je lui empoigne une fesse.
Rita : Hum…je te vois venir. Laisse-moi finir le petit déjeuner. 
Elle se détache doucement de moi. Je la laisse préparer des œufs brouillés et du thé. Nous prenons notre repas ensemble et passons toute la journée ensemble, même si, à un moment donné, chacun se concentre sur son travail : moi dans mon bureau, elle dans la chambre, allongée sur le lit. Pour rien au monde, je ne renoncerais à ces moments.
**

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~ Aïda Sidibé ~
Cela fait quelque temps que ma boutique a été incendiée, mais nous n’avons toujours pas de nouvelles sur l’auteur, même si je sais déjà de qui il s’agit. John m’a aidée à trouver un nouveau local pour recommencer à zéro. Les travaux sont en cours et, en attendant, j’ai décidé de suivre des cours du soir pour finir ma troisième année en gestion financière et obtenir ma licence professionnelle afin de travailler aussi dans une entreprise. Je me suis réconciliée avec mes parents et tout va pour le mieux. Cette fois-ci, j’ai décidé de bien faire les choses.
Aujourd’hui, John et moi avons décidé d'aller chez mes parents pour qu’ils puissent faire sa connaissance et donner leurs bénédictions. Actuellement, nous sommes assis au salon, et mes parents posent des questions à John.
Mon père : Alors, mon fils, tu fais quoi dans la vie ?
John : Je suis avocat, papa.
Mon père : Ça alors, c’est bien ça. 
Ma mère (à mon oreille) : Tu vois ça, c’est un homme bon. En plus, il est bien beau. Tu as la chance qu’il t’accepte après que tu aies gâché ta vie avec ce dégénéré qui t’avait embobiné. J’espère que t’as retenu la leçon, mon enfant.
Moi (murmurant) : Oui, maman…
Mon père (prenant un ton sérieux): Bien, mes enfants, à quoi est due votre visite aujourd’hui ?  
Moi (hésitante) : En fait, papa… John est… je veux dire que…
John : En fait, papa, si je suis ici, c’est pour vous demander la permission de sortir avec votre fille… même si j’ai déjà commencé sans votre permission.
Mon père : Je vois, mon fils. La seule chose que je vais te demander, c’est de ne pas faire souffrir mon enfant. Tu as l’air d’être quelqu’un de bien, et j’espère que tu la rendras heureuse, car elle le mérite… malgré qu’elle soit bornée. Donc, vous avez ma permission.
Moi : Merci, papa. 
Je vais le prendre dans mes bras.
Mon père : De rien, ma fille.
Ma mère (boudant) : Donc, mon avis ne compte pas ici ? Non, tchipp…
John (riant) : Bien sûr que si, maman.
Nous passons encore un moment à discuter de tout et de rien avant de prendre congé.En arrivant à l’appartement de John, je prends le temps d’observer les lieux. Il est très simple et me plaît bien.
John : Bébé…
Moi : Oui, mon sauveur, il y a un problème ?
John (souriant) : Non, juste que ce soir, j’aimerais que tu n’ailles pas en cours…
Moi ( le coupant immédiatement) : Ah non, ça ne va pas être possible ! Je ne veux pas avoir une mauvaise conduite à peine commencée. 
John( me serrant contre lui) : Bien sûr… sauf que ce soir, je t’invite à dîner avec moi, et je n’accepterai pas de non, ma dulcinée. 
Moi : Huh… Je vais y réfléchir.
John (riant) : C’est ça, j’ai déjà considéré que c’était un oui. 
Il m’embrasse.
Moi : Tu sais que je ne peux rien te refuser… Mais, et les enfants ?
John : Ne t’inquiète pas, j’ai déjà demandé à ta sœur de venir les garder durant notre soirée.
Plus tard dans la soirée, nous allons dîner dans un grand restaurant de la Côte d’Ivoire. En y allant, je suis loin de me douter que j’allais avoir la surprise de ma vie. John voulais faire sa demande, et je comprends enfin pourquoi il était aussi stressé tout l’après-midi. Pour faire court, nous passons une agréable soirée à dîner, et je n’arrête pas de regarder ma bague en diamant sur tout le chemin du retour vers chez lui .
John (sortabnt de la salle de bain) : Arrête de la regarder autant, elle ne va pas disparaître. 
Moi : Je sais… Juste que je ne m’attendais pas à une aussi belle surprise ce soir, encore moins à cette jolie bague. Merci, mon amour. 
Je l’embrasse.
John : Mais de rien. Ce soir, je veux te promettre que jamais je ne te laisserai, même si ma mère refuse notre union. Je serai toujours là pour toi, à condition que tu ne me quittes pas et que tu fasses tout pour te faire accepter par elle. 
Il parle sérieusement.
Moi : Jamais je ne te quitterai, chéri. 
Je scelle nos lèvres pour un long baiser, qui nous mène à faire l’amour comme jamais.


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    ~ Voix de l'auteure ~
~ Chez Vanessa ~
Joyce est en train de manger lorsque, soudain, un jeune homme entre dans le salon avec des fleurs en main.
Henry (souriant): Bonjour, mon amour. Comment vas-tu ? Et notre bébé ? 
Joyce (posant.sa cuillère ): Non mais Henry, tu vas me foutre la paix, oui ? Quelle partie de "je ne veux plus de toi" tu ne comprends pas, hein ?  
Henry( se mettant à genoux) : Écoute, chérie, je suis désolé pour tout ce qui s'est passé et pour mes mauvaises décisions qui ont failli nous séparer. S'il te plaît, reviens-moi… Tu me manques beaucoup. 
Joyce : Non mais tu vas te lever, oui, idiot ? Tchrr. Après, l'enfant là-bas va penser que j'ai maltraité son père. T'as de la chance qu'aujourd'hui je sois de bonne humeur, sinon…
Henry (la coupant) : Merci, bébé. 
Il se lève et la prend dans ses bras avant de l'embrasser.



Joyce ( parlant alors qu'il pose sa main sur son ventre): C'est un garçon. 
Henry : Oh, merci ma belle de me donner un héritier, même si je n'ai pas encore construit mon empire… Accepterais-tu de me prendre pour époux, mon amour ? 
Il sort un écrin.
Joyce : C'est une façon bien bancale de demander quelqu'un en mariage, même, hein Henry ?
Henry : Oh, désolé, j'avais oublié… 
Il se remet à genoux avant de reprendre.
Henry : Ma tigresse, je sais que je ne suis pas le meilleur des hommes, mais je sais que toi, tu m'apprends à l'être chaque jour que Dieu fait. C'est toi ma raison de vivre… Alors, acceptes-tu d'épouser l'idiot qui t'aime comme un malade malgré tout ?
Joyce : Oui, mon chéri, bien sûr que oui. 
Elle l'embrasse après qu'il lui ait passé la bague.Aussitôt, des applaudissements se font entendre. Vanessa et Rita sortent de leur cachette.
Vanessa : Félicitations à vous, surtout toi, ma folle de cousine. 
Elle la prend dans ses bras.
Rita : Sois heureuse avec ton homme, chérie. 
Elle la serre également dans ses bras.
Joyce : Merci beaucoup, mes amours. 
Elle reste blottie contre son homme.
Henry ( s’adressant à Vanessa et Rita) : Merci beaucoup de m'avoir aidé. 
Vanessa et Rita (en chœur) : Mais de rien, après tout, c'est le bonheur de notre sœur....!