ÉPRISE DE MON GARDIEN
CHAPITRE 21
Aymen 🤧🤧
- Annonce de divorce
- Retour d'Aymen
- Et retrouvailles sous la couette
~ François Dupont ~
Aujourd’hui, en allant voir mes parents pour leur annoncer mon divorce, je m’attendais à une opposition de leur part, surtout de ma mère. Mais, à ma grande surprise, elle s’est contentée de dire :
Mère : Fais comme tu l’entends, mais assure-toi que mes petits-enfants n’en souffrent pas.
Voulant partir, mon père, allongé sur son lit, m’arrête en m’appelant d’une voix faible.
Père : Mon fils, je suis conscient que, toute ta vie, nous t’avons imposé des choix, pensant bien faire pour toi. (Il tousse avant de poursuivre.) J’aimerais te demander pardon si nous avons privé ton cœur de ses véritables ambitions...
Moi : Doucement, père… (Je lui tends un verre d’eau, qu’il boit lentement.)
Père : J’aimerais tant rencontrer ma petite-fille avant que Dieu ne me rappelle à Lui. Cette enfant n’avait rien demandé, et pourtant, nous l’avons rejetée. Aujourd’hui, je le regrette amèrement… (Sa main tremblante serre la mienne.)
Mère : Moi aussi. (Sa voix se brise légèrement)Elle n’était en rien responsable de ton erreur avec sa mère. Nous avons été injustes avec elle, et j’aimerais tant voir à quoi elle ressemble aujourd’hui.
Moi : Vous allez la voir, c’est une promesse. D’ailleurs, j’ai une photo d’elle ici. (Je sors une photo de mon portefeuille et la leur montre.) Ma fille m’en veut énormément pour tout le mal que j’ai fait à sa mère et surtout pour avoir été absent dans sa vie, mais je compte bien me racheter.
Père (fixant la photo) : Elle te ressemble tellement. Et en la voyant, on devine qu’elle a un caractère bien trempé… (Une larme roule sur sa joue).
Mère (observant attentivement l’image) : Elle est avocate, n’est-ce pas ?
Moi (fier) : Oui, la meilleure de toutes, je dois dire.
Père : J’ai toujours rêvé d’avoir un homme de droit dans cette famille. Et voilà que celle que nous avons rejetée est devenue une femme de justice (il ferme brièvement les yeux, puis les rouvre) , s'il te plaît, mon fils, ramène-moi ma petite-fille avant qu’il ne soit trop tard…
Moi : Je t’en fais la promesse, papa.
Je prends doucement sa main et y dépose un baiser. Je reste finalement un peu avec eux avant de m’en aller.
~ Rita Akakpo Dupont ~
~ Quelques jours plus tard ~
Enfin , mon homme rentre aujourd’hui. Il m’a tellement manqué, mon mignon gardien. Les appels vidéo ne suffisaient pas pour moi.Je ne sais pas pourquoi, mais je veux profiter de mon bonheur chaque jour que Dieu fait.En passant, mon père m’a appelée hier, mais je n’ai pas voulu lui répondre. Ma mère m’a suppliée, mais je ne veux pas. Il veut me dire quoi maintenant ? Toute ma vie, il n’a jamais été présent. Oui, j’ai eu la chance d’étudier dans les meilleures écoles grâce à son argent, mais l’amour alors ?Mes frères et sœurs ont pu recevoir l’amour paternel dont j’avais besoin, mais pas moi. Mes grands-parents n’ont jamais voulu entendre parler de mon existence, d’ailleurs, c’est eux qui ont obligé mon lâche de père à faire un choix. Combien de fois j’ai voulu avoir un père pour me consoler lors de mes échecs à l’école ou quand j’étais malade, mais jamais il n’avait été là, sauf quelques rares fois.
Aussi, j’ai rencontré Aïda Sidibé aujourd’hui au centre commercial en faisant les courses. J’ai voulu l’éviter, mais elle m’a interpellée. Cette femme, je l’ai toujours évitée pour ne plus penser au fait que j’ai été l’une des femmes à cause desquelles elle souffrait dans son mariage. Elle m’a dit qu’elle ne m’en voulait pas pour ce qui s’était passé, et tant mieux, car j’étais aussi une victime après tout. J’espère qu’elle pourra trouver son bonheur avec John, même si Madame Aya s’y oppose.
Actuellement, je suis dans la cuisine d’Aymen en train de préparer le dîner, vu qu’il ne va pas tarder à arriver. Il n’a pas de domestique, juste le gardien qui m’a ouvert quand je suis arrivée aujourd’hui. Il est 20 h, et ils ne sont toujours pas là, ce qui m’inquiète beaucoup. Je parle d’Aymen et de son chauffeur, qui est allé le chercher à l’aéroport. J’aurais voulu y aller aussi, à bien y réfléchir, mais j’ai préféré l’accueillir avec un bon plat que maman m’avait appris.
Alors que je m'affaire toujours, une demi-heure plus tard, j’entends le bruit d’une voiture qui vient d’entrer dans la cour.J’éteins la cuisinière , puis sors en courant de la cuisine comme une p’tite fille. Lorsque j’arrive dans la cour, il sortait à peine de la voiture, toujours aussi beau. Il est trop chou en costume. Je cours me jeter dans ses bras pour le serrer très fort. Que son odeur m’avait manqué.
Aymen (riant) : Ah chérie, tu risques de m’étouffer ainsi, huh, on dirait que je t’ai beaucoup manqué, huh, vu l’accueil,(en resserrant mon étreinte).
Moi : Tu n’as pas idée d’à quel point tu m’as manqué !
Aymen : Je le sais, mon amour, et toi aussi. Alors, laisse-moi t’embrasser comme il se doit .
Il capture mes lèvres. Nous nous dévorons les lèvres comme des obsédés. Que ses douces lèvres m’avaient manqué. On s’embrasse jusqu’à en perdre haleine avant de se séparer, essoufflés.
Aymen (en me caressant la joue alors que je suis toujours dans ses bras): Je t’aime tellement . Moi (en lui souriant): Je t’aime aussi, monsieur Koné.
Il marche vers l’intérieur, me tenant toujours dans ses bras virils que je ne voulais pas quitter. Une fois à l’intérieur, il s’assoit sur le canapé avec moi sur ses cuisses.
Aymen ( souriant ): Alors, ma p’tite femme, qu’est-ce que tu prépares et qui sent aussi bon ?
Moi (en lui mordillant le bout du nez) : Rien d’extraordinaire, juste ce qu’il faut pour te rendre encore plus fou de moi .
Aymen (d’une voix grave): Mais je suis déjà complètement fou de toi, ma très chère Maître Dupont .
Moi (en l’embrassant à nouveau) : Ça, je le sais, bébé .
Aymen (les touchant) : Tu es très belle avec tes tresses .
Moi : Je les ai faites rien que pour te rendre dingue, dis-je en souriant.
Aymen : Ça, je le sais, même si j’aimais bien ta coupe aussi , (avant d'enfouir sa tête dans mon cou et de le mordiller).
Moi (d’un ton sérieux ): Alors, c’était bien ce voyage ?
Aymen : Oui, bien mieux que prévu, mais là, actuellement, j’ai juste envie de manger ce que ma patronne a cuisiné, puis de passer la soirée dans ses bras. On parlera boulot demain.
Moi (en quittant ses bras) : Tu as raison, j’ai déjà préparé ton bain. En attendant que tu prennes une bonne douche, je vais dresser la table puis servir .
Aymen (de façon coquine) : D’accord, mais tu n’aimerais pas prendre cette douche-là avec moi ?
Moi : Non merci, chéri. Allez, vas-y, dis-je sur le point de partir vers la cuisine avant qu’il ne me donne une tape là où vous savez... les fesses.
Lorsqu’il monte en haut, je m’en vais tout mettre en place, puis disposer les couverts. J’avais même oublié sa valise, qui est sûrement dans la voiture. Je sors dans la cour pour la récupérer et monte dans sa chambre pour y ranger ses vêtements propres dans son dressing et les sales dans le panier à linge sale . Quelques minutes plus tard, alors que je le faisais, monsieur rentre dans le dressing tout frais, avec de l’eau dégoulinant sur son torse et une serviette au niveau des hanches. Sa manière d’attacher la serviette négligemment me fait trop rire. Je ne peux m’empêcher de le regarder, tellement le spectacle est beau à voir.
Aymen : Au lieu de regarder seulement et de fantasmer, tu peux me manger tout cru aussi, hein .
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Moi (en détournant mon regard, amusée) : Tchrumm, en plus il est fier, va là-bas .
Aymen (souriant ): Je vais commencer par taper cette délicieuse bouche désormais lorsque tu diras ce mot-là .
Je le tchipp encore puis il me tape sur la bouche. Plus tard, nous descendons en bas, où je lui sers le dîner. Je peux voir qu’il a déjà l’eau à la bouche.
Aymen (en prenant la fourchette) : C’est quoi le menu, madame Koné ?
Moi : Eh bien, c’est de la sauce d’arachide avec du poulet et du riz, mon mignon gardien.
Aymen (en souriant): À chaque fois que tu dis cela, mon cœur s’emballe .
Moi : Espèce de flatteur, dis-je en me servant aussi.
Aymen (après la première bouchée) : C’est délicieux, bébé .
Moi : Merci, mon cœur .
Aymen (en riant): Et moi qui pensais que tu ne savais pas cuisiner .
Moi : Et puis quoi encore ! Ma mère m’a appris à cuisiner depuis que je suis petite, car c’est le meilleur moyen d’atteindre le cœur d’un homme, selon elle .
Aymen (en me caressant la main) : Elle n’a pas tort, même si toi, tu as déjà conquis mon cœur sans avoir eu besoin de cuisiner pour moi .
Moi : Je le sais
Après avoir dîné dans la bonne humeur et échangé des petits gestes d’affection, il m’aide à débarrasser la table et fait la vaisselle avant que nous ne montions nous mettre dans son grand lit. Il est 22 h 30 lorsque nous nous sommes installés dans son lit , pour regarder "La Diplomate" sur Netflix.
Quelques minutes plus tard , alors que nous regardons la série, les doigts d'Aymen parcourent lentement mon corps, envoyant des frissons le long de ma peau. Je me penche pour l’embrasser, et il répond immédiatement à mon baiser. J’ai envie de lui. En douceur, j’insère mes mains sous son débardeur et caresse ses abdos fermes qui témoignent de sa virilité. Il frissonne sous mes doigts.
Aymen (murmurant contre mes lèvres) : Bébé… s’il te plaît, arrête.
Moi (intensifiant mes caresses) : Pourquoi, mon amour ?
Aymen (me fixant, les yeux emplis de désir) : Parce que je pourrais perdre le contrôle et te prendre ici même, même si je ne veux pas te brusquer.
Moi (mordillant son cou) : Je veux t’appartenir entièrement, corps et âme.
Aymen (me plaçant à califourchon sur ses cuisses, sa voix plus grave) : Alors, laisse-moi prendre soin de ce corps.
Nos lèvres se retrouvent dans un baiser lent, empreint de sensualité. Il descend dans mon cou, le couvrant de baisers brûlants. Son souffle chaud me fait frémir. Doucement, il me renverse pour se retrouver entre mes cuisses, sans jamais rompre notre baiser. Du bout des doigts, je caresse son dos musclé, savourant chaque sensation, chaque frisson qui nous parcourt.
Aymen : J'ai tellement imaginé ce moment, je n'arrive pas à croire que cela se passe.
Moi : Moi non plus…
Je l’embrasse avec passion, mes doigts glissant sur sa nuque pour l’attirer encore plus contre moi. Il dépose une pluie de baisers le long de mon cou, sa langue effleurant ma peau brûlante, avant de descendre lentement vers ma poitrine. Son souffle chaud me fait frissonner alors qu'il s'attarde sur ma nuisette. Ses doigts effleurent mes seins à travers le tissu avant qu'il ne libère l’un d’eux , refermant aussitôt ses lèvres dessus. Je bascule la tête en arrière sous l'effet du plaisir, un gémissement m’échappant alors qu’il le suce, le mordille doucement. Son autre main vient malaxer mon second sein, ses doigts taquinant mon téton durci. Mon corps tout entier réagit à ses caresses. Aymen descend davantage, effleurant mon ventre, puis glisse une main entre mes cuisses. Mon souffle se coupe quand ses doigts trouvent mon intimité trempée.
Aymen (dans un murmure rauque) : Putain… t'es déjà toute mouillée pour moi.
Sans prévenir, il arrache mon string d’un geste sec, me faisant sursauter.
Moi (haletante) : Aymen…
Mais il ne me laisse pas protester. Son doigt s’insinue en moi, d’abord lentement, puis un deuxième vient le rejoindre, déclenchant un cri incontrôlable de ma part.
Moi : Haaaan… mon Dieu… Ay… men… !
Ses mouvements s’intensifient, jouant avec mon corps jusqu’à me rendre folle. Je me cambre sous lui, le souffle court, alors qu’il me caresse sans relâche, me poussant au bord de la jouissance. Il remonte , embrassant mon ventre avant d'installer sa tête entre mes cuisses, ses lèvres frôlant mon intimité déjà brûlante. Quand il passe sa langue sur mon clitoris, une onde de plaisir violente me traverse.
Moi (dans un soupir tremblant) : Oh… bébé…
J’essaie instinctivement de refermer mes jambes, mais il les maintient fermement écartées, s’emparant de moi avec avidité. Sa langue tourbillonne, suce, taquine, m’arrachant des gémissements de plus en plus incontrôlables. Ma main agrippe les draps alors que je me contorsionne sous l’intensité du plaisir. Son doigt continue de me pénétrer tandis que sa bouche ne me laisse aucun répit.
Aymen (grognant entre deux coups de langue) : T'es tellement délicieuse… j’ai envie de te goûter encore et encore.
Il accélère, jouant sur mon point sensible jusqu’à ce que l’orgasme me submerge, m’arrachant un cri de pur abandon. Mon corps tout entier tremble alors que je perds pied sous l’intensité de ce qu’il me fait vivre.Je lutte pour retrouver mon souffle alors qu’il dévore ma peau du regard.
Moi (suppliante) : Je… je te veux en moi… s’il te plaît , vas-y pénètre moi .
Il sourit en se redressant, ses doigts effleurant mes lèvres gonflées par nos baisers avant de descendre son short et son boxer. Quand son sexe se dévoile, fièrement dressé, mes yeux s’écarquillent. Putain , j'avais raison. Il a un pénis imposant !
Moi (à bout de souffle) : Merde !
Aymen (avec un sourire en coin) : T’inquiète pas, bébé… je vais juste te faire du bien avec lui .
Il se repositionne entre mes cuisses, m’embrassant tendrement, avant de me pénétrer lentement. Mon corps se tend sous la sensation, une légère douleur s’ajoutant au plaisir à cause de sa taille et du fait que cela faisait longtemps que j'ai été intime avec un homme.
Moi (dans un gémissement) : Aïe…
Je serre les dents, mes mains s’accrochant à ses épaules tandis qu’il s’enfonce complètement en moi. Je lui mords la lèvre inférieure, mélange de douleur et d’envie pure.
Aymen (grognant) : Désolé, chérie !
Il reste immobile un instant, me laissant m’habituer à lui, puis commence de lents va-et-vient, m’arrachant des soupirs fiévreux. Chaque mouvement me fait vibrer, le plaisir prenant le pas sur tout le reste.
Moi : Oh oui, bébé...han !
Ma voix tremble alors qu’il change de cadence, me donnant de puissants coups de reins, son corps plaqué contre le mien, me dominant entièrement.
Aymen (haletant) : Putain, t’imagines même pas à quel point j’ai envie de te baiser sauvagement !
Aussitôt dit , il accentue ses mouvements, plongeant en moi plus profondément encore.
Moi (dans un cri) : Oh oui… han han… Koné !
Ses va-et-vient deviennent plus sauvages, son souffle saccadé contre ma peau brûlante. Sa bouche s’empare de mes seins, les mordillant, les suçotant avec avidité, tandis que ses mains s’agrippent à mes hanches pour me pilonner plus fort.
Aymen (grognant) : T’es tellement chaude, et si bonne madame Koné !
Sa voix rauque me fait frissonner alors qu’il continue de me prendre avec une intensité brutale. Quelques minutes plus tard, je me retrouve à quatre pattes, offerte à lui, mon corps frémissant sous ses assauts.
Moi: Hannnn !
Aymen (d’un ton provocant, claquant ses hanches contre moi) : Tu te souviens de ce jour où t’as foutu du piment dans mon repas ?
Moi (haletante, à bout de souffle) : Haaaan… oui… mon cœur… je suis désolée !
Sa main s’abat brutalement sur ma fesse gauche , un claquement net résonne dans la chambre, m’arrachant un gémissement aigu.
Aymen (grognant, serrant mes hanches) : Désolée ? T’es désolée , Rita?
Sans attendre ma réponse, il donne un coup de rein si puissant que mon cri se brise dans ma gorge. Mon visage s’enfonce dans le matelas alors qu’il me martèle sans relâche, son souffle chaud caressant ma nuque tandis qu’il me prend avec une intensité presque cruelle.
Moi (criant) : Aymen… oh putain… c’est trop… haaa…
Mes bras lâchent sous le choc des vagues de plaisir qui s’écrasent sur moi. Je m’effondre presque, mais il me maintient en place d’une poigne ferme sur mes hanches, me forçant à tout sentir, à tout subir, à tout recevoir.
Aymen (voix rauque, haletante) : Non, bébé… ce soir, tu prends tout.
Il me baise comme un homme possédé, ses coups de reins brutaux, précis, me poussant aux limites du supportable. Je sens la sueur couler le long de mon dos, mes jambes tremblent, mon corps entier se tend sous l’intensité.
Moi (pleurant de plaisir, totalement soumise) : Je… j’en peux plus… haaa… je vais… oh mon Dieu… je vais…
Aymen (grogne, resserrant son emprise) : Ouais, bébé, jouis pour moi !
Son bassin frappe le mien avec une telle force que mon orgasme explose en moi comme une déflagration. Je hurle son nom, les larmes coulant sur mes joues tant c’est violent. Mes jambes me lâchent, mon corps s’effondre sur le matelas, secoué par les dernières secousses du plaisir. Mes membres sont lourds, mon souffle erratique, je suis totalement anéantie par ce qu’il vient de me faire vivre. Mais lui n’a pas fini , apparemment.Avant même que je ne puisse récupérer, il glisse ses bras sous mes cuisses et me soulève d’un geste fluide, me forçant à m’accrocher à lui.
Moi (surprise, encore tremblante) : "Oh… bébé… mais qu’est-ce que tu fais ?"
Un sourire carnassier étire ses lèvres tandis qu’il marche toujours profondément en moi. Il avance jusqu’au balcon et, d’un geste sec, me retourne pour me mettre face à la ville endormie. Mes doigts s’agrippent fermement à la rambarde alors qu’un frisson parcourt mon dos nu.
Aymen (murmure contre mon oreille, sa voix rauque) : Je vais te baiser sous les étoiles, bébé.
Il ne me laisse pas le temps de répondre , et replonge en moi lentement, savourant chaque seconde, chaque frisson qui secoue mon corps suspendu au plaisir. Ses va-et-vient sont lents, profonds, calculés pour me rendre folle. Puis, d’un coup, Aymen change de rythme. Il m’attrape fermement par les hanches et m’oblige à me cambrer davantage. Mes mains s’agrippent encore plus à la rambarde alors que mon corps ploie sous ses coups de reins puissants. Chaque mouvement me fait trembler, et je me mords la lèvre pour ne pas hurler trop fort, mais j'y arrive pas vraiment.
Moi (haletante, les mains agrippées au métal) : Oh putain… Aymen… haaaan…
Aymen (grognant, frappant mes fesses d’une claque sonore) : T'aimes la manière dont je te prends , mon cœur ?
Je ne peux que hocher frénétiquement la tête, incapable d’articuler un mot alors qu’il continue de me posséder avec une force incontrôlable.
Moi (entre deux gémissements) : Hann oui , j’espère que ton gardien dort ohhhh!
Aymen (le rire dans la voix): J'espère que non ! Laisse-le entendre , qu'il sache à quel point je te fais mienne !
Moi (gémissant en roulant des hanches contre lui) : Oh oui, mais qui es-tu Aymennnn?
Aymen (d’une voix rauque) : Je suis l’homme de ta vie… et putain, ce que t’es délicieuse !
Ses coups de reins deviennent encore plus brutaux, plus profonds, m’arrachant des tremblements incontrôlables alors que mes mains agrippent désespérément la rambarde pour ne pas m’effondrer. Le plaisir est si violent que j’en perds toute notion du temps.
Moi (haletante) : Tu vas me tuer comme ça , mon ange !
Aymen (grognant contre ma nuque) : Jamais… bébé… je suis envoyé par Dieu lui-même pour te rendre heureuse alors comment te tuer.
Ses mots à peine soufflés, il me donne un dernier coup sec et profond, et je le sens me heurter si profondément que je lâche un cri étranglé, mon corps se figeant sous la vague de plaisir qui me consume entièrement. Cet orgasme me secoue si violemment que j’ai l’impression de flotter. Aymen grogne, puissant, enfonçant ses dents dans mon épaule alors qu’il jouit en moi, nos corps collés l’un contre l’autre sous le ciel nocturne.
Je suis épuisée, tremblante, anéantie. Et pourtant, je le sens encore dur en moi.
Aymen (souffle contre mon oreille) : On n’a pas encore fini, bébé… direction la douche.
Je me laisse amener sous la douche, où il me prend encore plus durement, ses mains me plaquant contre la paroi froide tandis que l'eau ruisselle sur nos corps brûlants. Mon sexe est en feu, totalement à sa merci. C'était une punition divine. Une fois au lit, encore tremblante, je sombre dans un sommeil profond, blottie contre lui, bercée par son souffle apaisé...!