Littérature > Romance

SOUS LE CHARME DE MON BEAU-FRÈRE

6 mars 2025 - 12 Minutes

CHAPITRE 13

Tanya et Brandon hein 

  1. Tayson jaloux ?

À Los Angeles, la nuit est tombée, et dans sa chambre d’hôpital, Stella est entourée de sa sœur Leslie et de leur voisin Gabriel. Ce dernier lui donne à manger, puisqu’elle ne peut toujours pas utiliser sa main droite, tandis que Leslie raconte une scène amusante qui fait résonner des éclats de rire dans la pièce. Pendant ce temps, après une longue journée de travail, Tayson décide de passer voir Stella comme promis. À son arrivée, il est attiré par les rires venant de la chambre. Il accélère le pas et, une fois devant la porte, son regard se fige sur Gabriel qui nourrit Stella. Son visage se ferme immédiatement, et il serre les poings en voyant ce dernier lui essuyer les lèvres du bout des doigts.
Tayson (dans ses pensées) : Mais qu’est-ce qu’il fout cet imbécile à la toucher ainsi ? Et mademoiselle ne dit rien en plus… Je me demande bien ce qu’il représente pour elles.
Il décide d’entrer dans la chambre. Mais ils sont tellement absorbés par leur moment qu’ils ne remarquent même pas sa présence.
Gabriel : Ma belle, tiens, une dernière bouchée et c’est fini.
Stella : Non, je n’ai plus faim. Je préfère prendre mes cachets et dormir.
Leslie : Grande sœur, s’il te plaît, finis ton assiette. Arrête de faire le bébé, maman n’est pas là !
Gabriel : Elle a raison. Allez, et demain, je te promets de t’apporter ton plat préféré fait maison. Je suis sûr que c’est parce que les plats de l’hôpital n’ont aucun goût.
Stella : Voilà, tu me comprends. T’es un amour ! Ce n’est pas comme…
Tayson (raclant bruyamment sa gorge) : Hum, hum.
Ils sursautent et se tournent vers lui. Son visage est fermé, marqué par la colère.
Stella (hésitante) : Euh… Tayson ? Toi ici ?
Tayson : Oui, moi. Tu t’attendais à qui d’autre ?
Il garde les mains dans ses poches, son regard perçant.
Stella : Personne… Tu fais quoi ici ?
Tayson (nerveux) : Je vois que Mademoiselle a complètement oublié que je devais passer ce soir. J’imagine que c’est parce qu’elle est entre de bonnes mains, dit-il en fixant Gabriel d’un regard noir.
Stella : Dis pas ça, je pensais que tu n’allais plus venir vu l’heure, c’est tout. Ça m’a étonnée, je…
Tayson (la coupant) : C’est bon.
Il détourne le regard, visiblement agacé.
Tayson : J’étais venu voir comment tu allais, mais vu les éclats de rire que j’ai entendus tout à l’heure, je crois que tout va très bien. Je ne sais même pas ce que je suis venu chercher ici. Bonne soirée à tous.
Il s’apprête à partir, mais s’arrête en remarquant le paquet qu’il tient en main. Il se tourne vers Leslie et s’approche d’elle.
Tayson : J’oubliais… , tiens, ma petite Leslie, c’est pour toi. Je les ai achetés en venant, dit-il en lui tendant une boîte de chocolats.
Leslie (souriante) : Vraiment pour moi ? Merci beaucoup, grand frère Tayson !
Elle le serre dans ses bras avec enthousiasme.
Tayson : De rien, ma chérie. Bon, j’y vais.
Il sort sans accorder un seul regard à Stella, qui baisse la tête, le cœur serré. Les larmes lui montent aux yeux.
Gabriel : Hey, ma belle, ne pleure pas. C’est lui l’homme que tu aimes, pas vrai ?
Stella (voix tremblante) : Oui… Je l’aime beaucoup, mais lui, je…
Leslie, touchée de voir sa sœur si triste, détourne le regard.
Gabriel : Ne pleure pas. Lui aussi ressent quelque chose pour toi, il ne s’en rend juste pas encore compte.
Stella : Impossible… Je ne suis pas son genre.
Gabriel : Ce que moi, je viens de voir, c’est un homme jaloux. Je parie que c’est parce que j’étais trop proche de toi.
Leslie (ouvrant la boîte de chocolats) : Tiens, je crois que ceux-là sont plutôt à toi…
Elle observe la boîte et se rend compte que ce sont ses chocolats préférés . Son visage s’illumine.
Gabriel (malicieux) : J’ai une idée pour lui faire avouer ce qu’il ressent.
Leslie (curieuse) : Dis-nous ! Je veux que ma grande sœur soit heureuse avec son amoureux.
Un sourire en coin, Gabriel leur expose son plan : rendre Tayson jaloux en l’utilisant lui-même.
Hors de l'Hôpital , assis dans sa voiture, Tayson serre le volant, le regard sombre. Son esprit est en ébullition.
Tayson (dans ses pensées) : Toutes les femmes sont les mêmes… faciles à manipuler. Je ferais mieux de m’éloigner de Stella, elle n’est pas différente des autres.
Il inspire profondément, mais la colère ne le quitte pas.


Le lendemain matin, à San Francisco, dans la propriété des Hartley, toute la famille est réunie autour du petit-déjeuner, à l’exception de Brandon, que personne n’a vu depuis leur réveil. Ils commencent à peine à manger lorsque ce dernier fait son entrée, accompagné de Catalina. Tous deux se dirigent vers la salle à manger.
Miranda : Oh, mon fils, où étais-tu passé ?
Brandon : Bonjour, maman, bonjour, papa. Je vous présente ma petite amie, Catalina.
Catalina : Bonjour, madame et monsieur Hartley !
Elle leur adresse un sourire éclatant.
Juan et Miranda : Bonjour, ma fille. Sois la bienvenue.
Miranda : Alors, comment vas-tu, ma belle ?
Catalina : Ça va, merci, madame.
Miranda : Appelle-moi maman, comme le fait Tanya. Elle est toute belle, mon chéri. Depuis quand vous vous connaissez ?
Catalina (hésitante) : Euh…
Brandon : Maman, on aura tout le temps pour discuter de ça. Je suis justement venu te la présenter comme tu le voulais hier.
Miranda : D’accord, mon fils. Et je suppose que tu étais avec elle hier soir, raison pour laquelle tu n’es pas rentré ?
Brandon (souriant) : Oui, maman, nous avons passé toute la nuit ensemble.
Son regard se pose sur Tanya, qui n’a toujours pas prononcé un mot. À ces paroles, celle-ci, déjà énervée de le voir avec Catalina, avale de travers et se met à tousser violemment.
Lucas (inquiet) : Bébé, ça va ?
Il lui tapote légèrement le dos.
Tanya : Oui.
Juan : Tiens, ma fille, bois un peu d’eau.
Elle attrape le verre et boit quelques gorgées avant de relever les yeux vers lui.
Tanya : Merci, papa.
Lucas : Mangeons maintenant.
Après le repas, toute la famille se retrouve au salon. C’est dimanche, les garçons ne travaillent pas aujourd’hui.
Miliana : Puisqu’on est tous là, je propose qu’on aille jouer au basket ou au tennis, puis qu’on sorte manger au restaurant. Ça nous permettra de mieux nous connaître, et moi, j’ai bien envie de découvrir mes belles-sœurs.
Miranda : Ça, c’est ma fille ! Qu’en pensez-vous, les enfants ? Et toi, mon amour ?
Elle se tourne vers son mari.
Juan : Je trouve que c’est une bonne idée. Alors, préparez-vous, on part dans trente minutes.
Tout le monde se lève. Lucas et son frère montent se changer, Tanya également. Les beaux-parents et Catalina suivent Miliana pour trouver une tenue adéquate, vu qu’elle est venue en robe et n’a pas prévu de vêtements pour jouer.
Une heure plus tard, ils se retrouvent sur le terrain de basket de la propriété. En réalité, la demeure des Hartley possède aussi un terrain de football et plusieurs salles de jeux. La famille est très riche, et leur propriété est immense.
Miliana : Moi, je ne vais pas jouer vu que je suis seule. Bon, papa et maman forment une équipe, Brandon et Catalina une autre, et Lucas et Tanya la dernière. On n’a pas assez de joueurs pour un vrai match, mais on va s’adapter. On ne va quand même pas inviter des gens.
Elle rit avant de poursuivre :
Miliana : Les premiers à s’affronter seront nos jeunes couples, histoire que les vieux s’échauffent. Le couple qui marque le plus de paniers jouera ensuite contre les parents.
Miranda (fronçant les sourcils) : Juan, c’est moi que ta fille traite de vieille ?
Juan : Tu n’as pas vu qu’elle m’a traité de vieux aussi au passage ?
Miliana : Calmez-vous, mes parents chéris, vous êtes encore très jeunes.
Tout le monde éclate de rire. Quelques minutes plus tard, le match commence. L’équipe de Lucas et Tanya prend rapidement l’avantage, ce qui les remplit de satisfaction.
Catalina (agacée) : À cette allure, ils vont finir par gagner et nous allons devoir céder notre place aux parents !
Lucas (moqueur) : Bien deviné, belle-sœur. Brandon, il se passe quoi ? T’es plus en forme, frérot ?
Brandon : Ne sois pas si sûr de ta victoire. Je t’ai toujours battu à ces jeux-là, et ce n’est pas aujourd’hui que tu gagneras juste parce que ta meuf joue bien, au passage.
Il se tourne vers Catalina.
Brandon : Fais-moi confiance et suis mes instructions. Lucas et Tanya, êtes-vous prêts à prendre la raclée de votre vie ? J’me suis assez amusé, il est temps de passer aux choses sérieuses.
Miranda : Allez, les garçons !
Le match reprend avec plus d’intensité. Les couples s’affrontent comme des professionnels et offrent un beau spectacle. Mais Brandon, lui, est ailleurs. Plutôt que de se concentrer sur le jeu, il ne cesse de mater Tanya, qui, dans sa tenue de joueuse, est tout simplement irrésistible. Son regard glisse sur ses formes, et à chaque mouvement d’elle, son imagination s’emballe.
Résultat : à la pause, le score affiche 90-70 en faveur de Lucas et Tanya, un écart creusé par la distraction évidente de Brandon.
Catalina (hors d’elle, après avoir bu une gorgée d’eau) : Putain, Brandon, qu’est-ce que t’as ? Regarde l’écart ! Comment on va rattraper ça ?
Miranda (souriant) : Ma puce, calme-toi. Ce n’est qu’un jeu, peu importe qui gagne.
Brandon : Maman a raison. En plus, ce n’est pas encore fini, si je ne me trompe pas. Donc, on va gagner.

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Tanya et Lucas : Essayez toujours. Nous sommes imbattables !
Quelques minutes plus tard…
Miliana : Bon, c’est bon, reprenons là où nous en étions.
Le match continue et après que Tanya a marqué un nouveau panier, elle saute dans les bras de Lucas qui l’embrasse, ce qui énerve encore plus Brandon, déjà que le score l’agaçait. Cette scène aggrave la situation.
Tanya : Youpiiiii, nous avons gagné, bébé. Impossible qu’ils nous rattrapent maintenant en dix minutes.
Brandon : Le match n’est pas encore fini, donc ne crie pas victoire. Tout peut encore se passer. Surtout, arrête de l’appeler bébé, tu veux ? dit-il, énervé.
Tanya : Pourquoi devrais-je ne pas l’appeler ainsi ? C’est mon bébé…
Il la coupe.
Brandon (taquinant ): Parce qu’il n’est pas un bébé ! Il a tout d’un vieux et est plus vieux que notre grand-père .
Ce qui énerve Lucas.
Lucas : BRANDON NE ME PROVOQUE PAS. ARRÊTE D’ÊTRE MAUVAIS PERDANT !
Brandon : Sinon tu feras quoi ? Si j’arrête pas, dit-il d’un ton amusé.
Miranda : VOUS DEUX LÀ ,FERMEZ VOTRE BOUCHE . ET QUE LE JEU RECOMMENCE.
Lucas : C’est lui qui commence toujours !
Brandon : C’est bon, le fils parfait de la famille, on peut continuer le jeu maintenant ? Je voulais juste vous taquiner. Ne le prends pas ainsi !
Juan : Oui, mon fils, maintenant commençons et sans palabre, s’il te plaît.
Miliana siffle le coup d’envoi. Ils continuent le jeu, où les choses sont inversées, et Brandon n’arrête pas de marquer des paniers avec l’aide de Catalina. Pour finir , c’est Brandon et sa copine qui ont gagné 100–95 et devront affronter maintenant les parents après quelques minutes de pause. Catalina, en voyant le score, saute dans les bras de Brandon et commence à l’embrasser. Il se laisse faire jusqu’à ce qu’il commence à presser les fesses de celle-ci, déjà emporté par le plaisir. Tanya, qui les regardait faire, énervée, fait exprès d’avoir mal à l’estomac pour pouvoir attirer l’attention sur elle : AYIII, mon ventre !
Lucas : Ma puce, tu as quoi ?
Tanya : J’ai mal à l’estomac, ça fait mal.
Brandon s’approche d’elle et pose sa main sur son ventre. Aussitôt, elle frissonne. Ce qu’il ressent et les deux se regardent dans les yeux.
Lucas (nerveux ): Enlève ta main sur elle maintenant.
Brandon : Imbécile, tu crois quoi ? Tu ne vois pas qu’elle a mal ? Ta fiancée a mal, toi, tu es arrêté là devant elle, à la regarder et à lui demander ce qui ne va pas au lieu d’appeler un docteur.
Lucas : Je…
Tanya : ARRÊTEZ MAINTENANT, aïe !
Brandon : Catalina, appelle le docteur, s’il te plaît.
Catalina : J’ai pas mon téléphone ici.
Miranda : Brandon, envoie-la dans la chambre, s’il te plaît, et toi Lucas, appelle le docteur, c’est ton devoir.
Brandon la soulève puis va avec elle dans la chambre et la pose dans le lit.
Tanya : Mon ventre…
Brandon : Arrête ton cinéma maintenant. Arrête de jouer, je sais parfaitement que tu n’as pas mal.
Tanya : Ah bon ? Comment tu peux en être sûr si tu n’es pas médecin ?
Brandon : Pour ton information, j’ai fait trois ans de médecine avant d’arrêter pour me lancer dans les affaires. Et d’ailleurs, quelqu’un qui a vraiment mal ne peut se comporter ainsi. Tu mens très mal, ma toute belle, dit-il en la regardant. Pourquoi cette scène ? Oh, je sais, parce que tu supportes pas me voir embrasser Catalina !
Tanya : Même pas. Tu peux même coucher avec elle, je m’en moque, dit-elle, le cœur battant.
Brandon : Ok, merci pour le conseil. D’ailleurs, on vient de gagner le match, je pense qu’il faut fêter cela avec un coup, dit-il en voulant sortir de la chambre.
Tanya sort du lit et l’arrête par le bras avant de se mettre devant lui. Les deux se fixent du regard, on pouvait y lire du désir pour l’un et l’autre. Tout d’un coup, elle capture ses lèvres, il ne se fait pas prier pour répondre au baiser en lui caressant le corps. Les deux s’embrassent comme des fous quand ils entendent le bruit du poignet de la porte. Tanya fait exprès de s’évanouir dans les bras de Brandon, et en même temps, Lucas entre accompagné du docteur.
Celui-ci la dépose sur le lit.
Lucas : Mon amour. Docteur, s’il vous plaît, examinez-la.
Brandon, dans ses pensées : C’est vraiment une comédienne cette femme. Je sais bien que c’est mauvais, mais j’aime ce jeu.
Docteur : Sortez s’il vous plaît, je vais examiner la patiente.
Ils sortent de la chambre et quelques minutes plus tard, le docteur sort.
Lucas : Elle a quoi ? dit-il en se précipitant vers le docteur.
Brandon a les bras croisés.
Docteur : Rien de grave. Sûrement qu’elle a mal digéré son repas du matin. N’empêche que je lui ai prescrit des antibiotiques !
Lucas raccompagne le docteur et le remercie.Les autres ont décidé de jouer à autre chose mais dans le salon. Pendant que Tanya est dans sa chambre, se caressant les lèvres.
Tanya, dans ses pensées : Il embrasse tellement bien. Et ses lèvres sont tellement douces. Mon Dieu, j’arrive plus à contrôler ce qu’il me fait ressentir !
Conscience : Tu n’as pas honte de toi ? Pense au pauvre Lucas qui ne se doute de rien. Comment pourra-t-il supporter une telle trahison de ta part !
Tanya : Je pense que je dois m’éloigner de Brandon le plus possible. Je suis censée être sa belle-sœur et rien d’autre. Mais c’est tellement difficile de ne pas craquer. Il réveille des choses indescriptibles en moi à chaque fois qu’il m’approche.
Conscience : C’est mieux, sinon tu risques de diviser une famille, déjà que les deux frères ne s’entendent pas trop !

      ~ Trois jours plus TardRetour à Los Angeles, où Stella doit sortir de l’hôpital aujourd’hui. Elle est censée rentrer avec Gabriel, mais celui-ci a eu un empêchement. Du coup, Leslie a appelé Tayson pour l’aider à ramener sa sœur chez eux. Depuis la dernière fois dans sa chambre, après ce qu’il a vu, Tayson n’est pas revenu à l’hôpital, mais il prend toujours des nouvelles. Il ne veut juste pas voir Stella avec l’autre idiot, comme il aime appeler Gabriel.
Tayson (entrant dans la chambre) : Alors, tu es prête à y aller ?
Stella : Oui, et ma sœur ?
Tayson : Déjà dans la voiture !
Stella : On y va. (Elle se lève du lit mais manque de tomber, perdant l’équilibre.)
Tayson la rattrape de justesse.
Tayson : Quelle idée de rentrer chez toi si tu ne tiens même pas debout ! Tu es vraiment têtue, toi.
Stella : Ça se voit que ce n’est pas toi qui supporte l’odeur de l’hôpital tous les jours. Et je m’ennuie ici, personne ne vient me rendre visite alors qu’ils ont promis. Je préfère rentrer et guérir chez moi, entourée de tout le monde. Et puis, ce sera plus facile pour Gabriel de me voir avec son boulot qui lui prend du temps maintenant.
Tayson (nerveux) : Ah, je vois. Tu as sûrement hâte d’aller te jeter dans les bras de cet idiot, c’est pour ça que tu ne veux pas rester ici et bien récupérer. Ce n’est pas mon problème de toute façon. Mais tu ferais mieux de t’éloigner de lui, on ne sait jamais. Les apparences sont trompeuses.
Stella : Effectivement, ce n’est pas ton problème, alors mêle-toi de tes affaires. Moi, je ne te demande pas de rester loin de tes putes…
Tayson l’embrasse soudainement pour la faire taire. Le baiser s’intensifie, comme si leurs vies en dépendaient, avant qu’il ne se détache d’elle.
Tayson : Tu es bien plus mignonne quand tu te tais.
Stella rougit et sourit. Il la soulève puis ouvre la porte… mais ils tombent sur Gabriel, qui vient d’arriver avec des fleurs. Tayson le dévisage méchamment.
Gabriel : Désolé du retard, ma puce. (Il jette un regard à Tayson.) Comme ton ami est là, je préfère te voir à la maison. Tiens. (Il lui tend un bouquet de fleurs roses sous le regard noir et jaloux de Tayson.)
Gabriel s’éloigne après avoir embrassé Stella sur la joue.
Tayson : On peut y aller maintenant, ou tu préfères qu’il t’amène chez lui et vous offre une chambre ?
Stella : Fais comme tu veux. Si tu me laisses ici, lui, il viendra m’amener chez lui !
Sans un mot, Tayson marche vers la sortie, le visage en colère . Dans ses bras, Stella sourit en voyant sa réaction...!