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LES CAPRICES DU DESTIN - - CHAPITRE 2

2 mars 2025 - 5 Minutes

#les_chroniques_de_la_plume_noir

#chapitre:2️⃣

  • #titre: les caprices du destin ♥️

Mais je ne savais pas ce qui m'attendait à la maison. Après avoir marché pendant des heures, je suis enfin rentré chez moi et j'ai juste trouvé Amaka, qui me dit :

– Où sors-tu, salle boniche ? Cela fait longtemps que je te cherche dans cette maison.

– Tu réalises souvent que je suis ton amie, donc tu dois me parler avec respect.

– Ferme-la, idiot ! Je suis en train de te poser une question, donc réponds-moi rapidement.

À ces mots, je ne dis rien et j'entre dans la maison.

Mais grande fut ma surprise d'entendre Amaka pleurer derrière moi. Je cours voir et je vois celle qui dit à sa mère sorcière qu'elle s'est fait battre, pas par moi, juste parce qu'elle m'a demandé où j'allais.

— Maman, je te dis la vérité, Idioma m'a battue et elle a dit que je suis la sœur d'un bandit, la fille d'une incapable. Maman, voilà tout ce qu'elle a dit pendant ton absence. Je te le dis, c'est toute la vérité.

En attendant cela, maman Chinedou fut prise de colère. Elle va retrouver Idioma et commence à la battre comme si elle était un jouet.

— S'il te plaît, maman, je n'ai rien fait de tout ça, je viens juste de rentrer à la maison.

Mais celle-ci ne l'écoute pas et commence à lui donner de violents coups de pied et de poing, et sa fille fait aussi pareil. Après lui avoir donné plusieurs bleus, on lui donne un seau pour se rendre à la rivière et puiser de l'eau pour la maison.

En larmes, elle se dirige vers la rivière pour puiser de l'eau. Après avoir rempli son récipient, elle rentre chez elle. Une fois arrivée, sa mère, Chinedou, lui demande d'aller récupérer un paquet chez leur voisine.

Chinedou : « Va chez Maman Adaobie, prends mon paquet et ramène-le-moi immédiatement. »

Idioma : « Oui, Maman, c'est compris. »

Elle s'engage alors sur le chemin en courant vers Maman Adaobie pour récupérer le paquet. Cependant, sur le chemin du retour, elle est interrompue par Dike, un des garçons du quartier.

Dike : Je ne comprends pas pourquoi tu souffres alors que je suis là. Je peux tout te donner. Il te suffit juste de coucher avec moi chaque fois que je te le demande et je vais prendre soin de toi, comme je le fais avec ta sœur Amaka. Regarde toi-même toute cette beauté que tu possèdes. Tu penses que je ne veux pas aussi en profiter ? Et de plus, tu es tellement belle et bien formée.

Idioma : Tu es un idiot ! Je te le dis vraiment, je n'ai pas besoin de ton argent car je fais avec ce que je trouve.

La prochaine fois que je vais te voir, arrête-moi en route pour des bêtises pareilles. Tu dois me croire, je vais crier 'au secours !' J'espère que tu m'as bien comprise.

Dike : petite villageoise, je fais tout ça pour t'aider. Donc, si tu veux, ne cède pas, mais crois-moi, tu es trop belle pour que je puisse résister. Un jour, je vais obtenir ce que je veux venant de toi, tu peux me croire.

Idioma : Je me demande même pour quelle raison je suis ici à perdre mon temps à t'écouter, donc je vais devoir partir.

Après le départ d'Idiom, elle ne savait pas que, pendant qu'elle était en train d'échanger avec Dike, sa sœur Amaka l'avait vue. Elle avait donc couru pour rentrer à la maison et tout raconter à leur mère.

___ Maman, je suis venue te dire qu'Idiom sort et couche avec tous les hommes du quartier. Je viens de la rencontrer en route et elle parlait avec Dike, le délinquant du quartier.

Ma Chinedou : Quoi ? Comme ça ? Je viens de l'envoyer chez maman Amaka.

__ Maman, je te dis vrai, je l'ai vue, crois-moi !

Quelques minutes après son arrivée avec le paquet, elle déposa celui-ci et était prête à partir quand elle fut arrêtée par Obima, qui la poussa au sol et commença à la frapper. Après avoir fini, ils la poussèrent dehors, dans le froid, où elle était censée passer la nuit.

Le lendemain matin, elle sortit de la maison pour se rendre au marché du village, où elle devait acheter plusieurs choses pour le commerce de maman Chinedou. Mais une fois au marché, elle rencontra un homme qui lui devait de l'argent.

Elle tombe sur lui au milieu du marché sans même se gêner de la présence des autres. Elle arrête ses habits.

__ Donne-moi mon argent maintenant. Je ne veux même pas le dire deux fois. Tu penses jouer avec moi, c'est ça ?

__ Mais cette fille, je ne te dois plus rien. Tu avais pris des boucles d'oreilles la dernière fois sur le compte de cet argent.

__ Ces choses qui étaient fausses, je ne les ai même pas portées, et elle, elle s'est fait donner mon argent. Si tu ne veux pas que je te colle une bonne raclée.

Si vous avez besoin de plus d'aide, n'hésitez pas à demander !

Il lui remet son argent et elle porte son sac pour retourner à la maison. Mais, sur le chemin du retour, tout près de la maison, plusieurs voitures se garent juste près d'elle.

Chauffeur : Bonsoir, madame, nous avons besoin d'un renseignement, s'il vous plaît.

__Oui, je vous écoute.

__Nous voulons connaître où se trouve la maison du chef Eboube Okarfo.

__Oh, c'est très loin d'ici, je ne sais pas vraiment comment vous indiquer cela.

Il était en train de parler quand le propriétaire des voitures a décidé de parler.

Je ne veux pas que la nuit me retrouve dans ce trou à rats que vous appelez village. Demandez à cette fille de monter dans cette voiture et de me montrer rapidement où se trouve cette maison.

Mais monsieur, vous pensez que vous pouvez me parler n'importe comment. De toute façon, c'est vous qui avez besoin d'un renseignement, moi je m'en vais.

À ces mots, elle se tourne pour partir quand le propriétaire, furieux, sort de la voiture car on ne l'avait jamais parlé avec tant d'insolence.

« Jeune fille, je vous ordonne de vous arrêter.

Je me suis tourné pour répondre, mais j'ai eu le souffle coupé par la beauté de l'homme qui était juste devant moi. Je n'en croyais pas mes yeux, il était juste parfait. Je pouvais dire que je suis tombé directement sous son charme, car sa beauté était éblouissante. J'étais perdu dans mon monde quand j'ai été réveillé par la voix de cet homme devant moi.

Ça fait plus de 5 minutes que je vous parle, jeune fille, vous êtes pas normale. »

__vous voulez un renseignement et vous me traité de villageoise ok sans problème je m'en vais.........

À suivre