L'HÉRITIÈRE MILLIADAIRE
Après le beau temps vient la pluie
Chapitre 31
Lune de miel qui va faire chanter les gens quand tu vois tu sais
- Le départ de nos deux tourtereaux Pour Dubaï
- Une mauvaise nouvelle pour Soraya
Je me demande bien qui est cette personne qui m'appelle juste au moment où j'étais sur le point de monter dans la chambre ensemble avec ma femme ...
*** Soraya Matondo Ngakosso***
Pendant que mon bébé Alex vient de recevoir un appel je me dirige vers l'ascenseur avec les employés. En réalité c'est moi qui suis derrière cet appel. J'ai demandé expressément à son meilleur ami Micho de l'appeler juste le temps que je lui prépare une surprise.
Mon homme m'a tellement manqué et j'ai juste envie que cette lune de miel commence maintenant. Je veux que ce moment soit inoubliable. On a fait plusieurs semaines dans une guerre froide à nous faire du mal pour rien. Ce soir c'est notre lune de miel dont on a été privé il y a longtemps.
Vous n'imaginez pas à quel point c'était douloureux de vivre le calvaire que j'ai vécu le jour de mon mariage à cause de mes frères et sœurs.
Bref ! Je ne veux plus penser à cela car je veux me consacrer entièrement à mon mari.
Je viens d'arriver dans notre suite et je peux vous garantir que tout est magnifiquement bien décoré pour l'occasion. Il y'a des photos de nous deux le jour de notre mariage. Ma mère est vraiment incroyable. Elle a fait tout cela juste pour me rendre heureuse.
Avec une telle mère, tu n'as pas besoin que vous ayez les liens de sang.
__ Mme nous espérons que cette décoration vous plai...
__ J'adore ! Vous avez fait du bon travail shukran (Merci)
__ Tout le plaisir est pour nous !
Nous avons également déjà fait couler votre bain.
Passez une très bonne soirée !
Juste après leur départ je me suis précipitée dans la salle de bain afin de prendre un bain aromatisé.
Plusieurs minutes après je sors de la salle de bain et enfile une nuisette sexy, courte et transparent qui fera sûrement perdre la tête à mon mari. J'ai été les lumières juste pour rendre ce moment encore plus magique.
Quelques secondes après c'est lui qui entre dans notre chambre et constate que les lumières sont éteintes.
__ Mon amour tu es là ?
Je fais exprès de ne pas répondre et il rallume les lumières d'un coup. Et resta bouche bée en me voyant allongée sur le lit d'une manière provocante.
__ Mama mía bébé tu es vraiment à couper le souffle ! dit-il en me regardant avec un regard rempli de désirs intenses.
__ Mange-moi mon amour ! lui intimité-je d'une voix imposante mais sexy.
__ Oh que oui mon amour je compte bien te manger ce soir ! dit-il en se débarrassant de ses vêtements pour ne rester qu'en boxer révélant son soldat déjà bien sûr et débout prêt à passer à l'attaque.
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Il s'allonge près de moi et commence déposer des baisers sensuels et humide sur mon cou, mon dos, mes fesses ce qui me fait lâcher des petits gémissements.
Je me retourne lentement pour lui offrir mes lèvres en cadeau et ce dernier les manges correctement telle un enfant devant sa sucette.
__ Tes lèvres sont douces mon amour, soufle t-il au creux de mon oreille gauche, prêt à déguster à nouveau mes lèvres.
Sans attendre ma permission, il passe une main entre mes jambes et les caresse doucement.
__ Bébé je...
Il passe très légèrement son doigt sur mon ma peau, mon corps est réceptif à ses caresses. Il continue son en effleurant la peau de mon ventre, mon dos, avant de s'en prendre à mes tétons déjà tendu face à ses caresses.
Ses lèvres sucrées se présentent à nouveau sur les miennes pendant qu'il continue ses caresses infini sur ma peau chaude. Il dépose le bout de ses lèvres sur les miennes, juste ce qu'il faut pour caresser mes lèvres pulpeuses. Il les suce délicieusement.
Il bifurque mon cou pour attraper ma peau entre ses dents et me laisse une marque.
__ Mon amour... balbutie-je pendant qu'il de nouveau sa langue au fond de ma gorge pour étouffer mes mots. Nos langues surfent l'un sur l'autre témoignant notre désirs ainsi que notre amour.
Sa main baladeuse descend puis saisi le tissu fin de ma lingerie sexy puis enfonce délicatement sa main dans mon intimité déjà mouillée sous l'effet de ses caresses.
Mon cœur entame une course rapide et bat à une vitesse incroyable. Cet homme va me rendre complètement maboule je le jure.
Je passe furtivement ma main afin de carresser sa queue déjà en érection ce qui lui fait lâcher un crie.
__ Touche-la autant que tu veux mon ange, elle t'appartient, soufle t-il.
Il enlève ma nuisette en une fraction de seconde et mon corps déjà en ébullition se retrouve toute nue et à sa merci.
Nous nous embrassons comme si c'était la première fois.
À mesure que ces baisers s’intensifient, Alex se fait le messager de mon cœur. Il murmure à mon oreille des mots qui vibrent de passion et de romantisme.
__ Tu es mon tout, la lumière qui guide chacun de mes pas. Mon amour pour toi grandit à chaque souffle, chaque battement de cœur.
Les caresses d’Alex semblaient raconter l’histoire de notre vie, faite de hauts et de bas, mais toujours marquée par une passion indéfectible. Sa bouche parcoure mon corps avec une délicatesse infinie, effleurant ma peau comme pour y graver l’empreinte de son amour. Chaque baiser, chaque soupir est une promesse, une preuve vivante que malgré les erreurs et les éloignements, notre amour renait avec force et intensité.
__ Fais-moi l'amour bébé, lui intimité-je d'une voix sensuelle.
Il ne lui faut qu'un petit geste technique pour se retrouver en moi. Il saisit fébrilement mon derrière et l'empoigne fermement. Il se fraye un chemin dans mon intimité pour mon plus grand bonheur.
Mon homme me soulève hors du lit et me plaque brusquement contre le mur. Il me soulève avec ses deux mains afin de me permettre d'être à son niveau.
J'enroule systématiquement mes jambes autour de sa taille.
Sans me laisser une minute, il prend mes lèvres en captivité, il m'embrasse fougueusement. Il attrape mes seins qu'il mange délicieusement à tour de rôle. Je gémis profondément soumettant à ses oreilles une douce mélodie qui le rend encore plus fou pendant qu'il continue d'explorer ma chatte avec sa queue.
__ Anh bébé je anh c'est tellement bon... Anh encore mon amour tue-moi bébé !
__ Raya mon amour putain tu es tellement délicieuse! me dit-il sous l'excitation du plaisir.
Mon mari me dépose délicatement puis je m'agenouille devant lui. Je me retrouve face à sa queue bien debout tel un soldat. Je la malaxe vigoureusement avant de le prendre dans ma bouche. Il ferme les yeux pour mieux savourer la caresse de ma bouche. Je fais des vas et viens lui arrachant des râles intenses.
__ Oui c'est ça bébé torture-moi comme tu veux !
Putain! Mon ange je vais perdre la tête, me dit-il.
C'est ça le but. Je veux qu'il perde la tête à cause de moi car moi je suis déjà folle de lui depuis des lustres.
Il me porte cette fois-ci dans la salle bain.
Il me tourne frénétiquement et empoigne fermement mes fesses d'un seul mouvement il led ramène vers son bassin pour une meilleure pénétration.
__ Lex mon amour... gémis-je
__ Oui bébé, répond-il serein pendant qu'il malaxe mon intérieur vigoureusement.
__ Encore bébé... Anh... Anh... Vas-y plus fort bébé anh, dis-je en gémissant.
Il me porte encore une fois princesse pendant que je m'accroche à lui, jusqu'à arriver dans le jacuzzi. Mon homme me pénètre lentement et active des mouvements doux et brutaux en même temps.
Après plusieurs heures à baiser et à faire l'amour comme deux obsédé, nous juissons à l'unisson.
*** Éclipse de plusieurs mois***
**********
Nos séjours à Dubaï de notre lune de miel ont été doux, presque irréels, depuis notre lune de miel.
Tout semble parfait : mon amour pour lui grandit chaque jour, et j'ai espéré que ce bonheur marquerait un nouveau départ, un moment d’apaisement après tant de mois de lutte et guerre froide pour être acceptée par sa famille.
Je suis seule dans la grande chambre de la villa qu'Alex et moi partageons désormais. Le soleil passe par les grandes fenêtres, mais l'air est lourd, comme un présage. Je suis déjà arrivé à un stade avancé de la grossesse. Le Docteur m'avait strictement interdit de travailler. Je n'y vais plus car c'est mon mari gère tout. Il a encore été élu président de l'entreprise par intérim en attendant mon accouchement. Quant à Marcus et Victoria ils risquent beaucoup d'années de prison. Djamila passera également plusieurs mois en prison pour complicité.
J'avais engagé un avocat pour défendre ma petite sœur Kendall. Même si elle m'avait fait du mal, elle m'avait néanmoins sauver d'une manière ou d'une autre.
Ma mère m'a appelé ce matin disant qu'elle partait à l'hôpital pour un contrôle médical. Je remercie le ciel d'avoir permis à ma mère de survivre malgré cette maladie qu'elle a. Je prie Dieu qu'il puisse la garder jusqu'à mon accouchement. J'aimerais que ma mère puisse voir le visage de mon fils.
__ Bonjour Mme Soraya déjeuner a déjà été servi.
__ D'accord merci beaucoup j'en ai pas pour longtemps ! dis-je d'un ton rassurant.
__ D'accord Mme je vais devoir prendre congé de vous ! dit-elle respectueusement.
Je suis assise dans le bureau de mon homme, en train de parcourir quelques documents lorsque mon téléphone sonne. Je le prends distraitement, sans se douter qu’à l’autre bout du fil, la nouvelle allait tout bouleverser.
__ Madame Matondo ? La voix de la secrétaire de l'hôpital tremble à peine.
__ Oui, c'est moi, que se passe-t-il ? répond-je, un frisson d'inquiétude me traverse l'esprit sans raison apparente.
__ Je suis le Dr Nguema de l’hôpital de Louandjili . il s'agit de votre mère. Nous avons de mauvaises nouvelles. Vous devriez être très forte en ce moment et sachez que tout ce qui arrive dépend de la volonté de Dieu. Nous… nous avons fait tout ce que nous pouvions.
Votre mère, Madame Marie Ngakosso… elle vient de nous quitter, tranche t-elle.
Les mots tombent comme un marteau sur moi.
Les mots tombent comme un marteau sur moi.
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Je reste figée, le téléphone collé contre mon oreille, les yeux dans le vide. Ma mère vient de mourir. La femme qui m’avait élevée, avec son amour parfois distant, parfois implacable, mais toujours là, cette femme n'est plus. La douleur est profonde.
__ Mais… comment ? demandé-je, la voix brisée.
__ Elle est décédée des suites d’une complication soudaine. Nous avons tout fait pour la stabiliser, mais elle n’a pas survécu. Nous sommes sincèrement désolés Mme Soraya.
Je serre le téléphone avec une force que je ne savait pas avoir, ma respiration devenue plus courte. La voix du médecin se perd alors dans un brouillard d’émotions, mais je parvient tout de même à me reprendre. Nous avons également déjà informé votre mari qui est en route pour remplir les formalités administratives de la défunte.
__ Je… je viens tout de suite, dis-je, raccrochant précipitamment, avant que mes larmes ne m’étouffent.
Les heures suivantes se déroulent comme un mauvais rêve. Après avoir pris le temps de me rendre à l'hôpital, de voir ma mère une dernière fois et d’organiser les premiers rites, je retrouve dans la maison familiale où habitait ma mère en compagnie de mon mari. La douleur de cette perte soudaine la submerge, mais je dois essayer de garder mon calme pour le bien être de mon bébé qui est encore dans mon ventre. Cependant, à peine nous entrons dans la grande salle, j'entends des voix, hautes, en colère. Des éclats de voix, des mots durs qui brisent le silence pesant.
Mes frères et sœurs sont tous réunis dans le salon. Marcus, mon frère aîné, un homme impitoyable, regarde les papiers étalés devant lui avec une attention nerveuse. Kendall, ma sœur cadette, ne cesse de pleurer notre mère. Victoria me lance des regards meurtriers. J'aperçois également la présence de leurs avocats. Je suis sûr qu'ils sont là juste grâce à une liberté conditionnelle dû à la mort de maman.
J' entre dans la pièce, le regard sombre.
Dès que je passe la porte avec mon mari Alex, les discussions cessent brutalement. Le silence pesant qui s’installe fait brisé par la voix de Marc.
__ Tu es enfin là, dit-il d’un ton presque méprisant. Il était temps. Nous avons des choses à régler.
__ Soraya ma grande sœur... Tu es là... Maman vient de mourir... Je n'ai pas été là pour lui dire au-revoir.
Étant donné que la date du procès n'est pas encore connue, le juge d'instruction nous a libéré sous condition pour enterrer maman, me dit-elle en pleurant pendant que je la prends dans mes bras.
Mais Victoria et Marcus sont en train de se battre pour L'héritage alors que maman vient à peine de mourir tu t'en rends compte ?
__ On vient tous de perdre notre mère vous vous rendez compte, Marc et Victoria ? dis-je la voix tremblante mais ferme. Je n'ai pas l’intention de me disputer avec vous maintenant.
__ Tu as raison, Soraya, répond Marc, se levant brusquement, le regard dur. Mais il n’est plus question de discuter. Nous devons parler de l’héritage. Notre mère était claire, tout serait réparti équitablement. Et toi, tu sais ce que tu as. Ce n’est pas juste, nous ne ne méritons pas tout ça.
Les mots me frappent comme un coup de poing. Je sais ce que Marc insinue, et ce qu’il veut dire par "tout ça". L’héritage de notre mère, l’entreprise familiale, la fortune, tout ce qu'elle avait accumulé au fil des années avec notre père.
__ Je ne sais pas ce que tu veux dire, dis-je d’une voix glaciale.
Qu’est-ce que tu veux, Marc ?
__ Je veux ce qui me revient de droit, et ce qui m’appartient. Maman a laissé les choses dans un état flou, et tu le sais bien. Tu n’es pas même une Ngakosso. Tu n’as pas droit à tout cet héritage. Tu n’es qu’une… fille adoptive, me crache t-il froidement.
__ Oui je suis une fille adoptive et alors ? Je ne pense pas que ce soit le moment de parler de tout ceci alors que maman vient à peine rendre l'âme. C'est vraiment cruel ce que vous faites. De toute façon vous savez pertinemment que je suis là seule héritière principale.
__ Tu ne peux pas être sérieuse, murmure Victoria, secouant la tête. Tu n’es qu’une étrangère dans cette famille, Soraya. Tu n’as aucune légitimité pour revendiquer une part de l’héritage petite sorcière insolente, garce ! grogne t-elle férocement.
Je me sent vaciller, mais je me reprends immédiatement. La douleur de la trahison, de l’humiliation, de la vérité trop longtemps cachée se lit sur mon visage.
__ Je suis la fille de ma mère, que cela vous plaise ou non, répond-je d'une voix glaciale. Elle m’a élevée, elle m’a aimée, et c’est à elle que j’ai tout appris. Je ne suis pas là pour me battre pour un héritage. Mais je ne permettrai pas à qui que ce soit de me faire passer pour une étrangère dans ma propre maison bandes d'imbéciles, dis-je d'un ton irrité.
Marcus ricane, un sourire cynique se dessine sur ses lèvres.
__ C’est ce que nous allons voir.
À suivre...