A-t-on le droit de tuer une femme parce qu’elle nous a quittés ?

Je réponds tout de suite, NON ! Parce que personne n’a le droit d’ôter la vie ni de la reprendre, et personnellement je considère que l’assassinat est certainement le crime le plus odieux qui puisse exister au sein de l’espèce humaine...
Sauf que l’histoire se répète : un garçon sort avec une fille camerounaise, il l’érige en princesse et il lui donne presque tout, et puis la fille finit irrémédiablement par le laisser tomber... L’histoire devient de plus en plus récurrente avec ces hommes qui aiment des femmes de tout leur cœur, et qui finissent par n’avoir plus que leurs gros yeux pour pleurer.
La question est revenue sur le devant de la scène il y a quelques jours, lorsque le sieur Takam a assassiné son ex-épouse, soi-disant parce qu’elle l’aurait laissé tomber. Et ensuite il s’est lui-même donné la mort. On a ensuite appris qu’il avait tout fait pour cette femme, qu’il l’avait fait monter aux États-Unis, qu’il l’avait tirée du néant pour la rendre importante, et que finalement elle avait fini par aller « trouver mieux ailleurs », obtenant la garde des enfants devant le juge, puis le domicile conjugal, et, cerise sur le gâteau, percevant une pension alimentaire non négligeable du même bonhomme qu’elle était pourtant en train de cocufier officiellement...
Je sais, c’est cruel. Pas seulement de tuer hein, mais aussi de faire souffrir un homme de la sorte. Parce que les femmes ne se rendent même pas compte des sacrifices auxquels un homme peut consentir pour leur faire simplement plaisir. Elles ne comprennent pas que le type a dû abandonner sa propre famille pour leur faire plaisir à elles. Elles oublient volontairement ses propres privations à lui, ses frustrations, ses labeurs redoublés pour obtenir les faveurs de ces dames, et surtout elles oublient que les hommes se battent comme cela pour une seule raison : PARCE QU’ILS VOUS AIMENT !
L’argument des féministes qui rétorquent que « Est-ce qu’on l’avait forcé à donner son argent ? » est un argument fallacieux. Car si vous n’aimez pas un homme, ne lui soumettez pas vos nombreux problèmes d’argent. Si vous n’appréciez pas un dragueur, n’assistez plus à ses rendez-vous. Si vous êtes persuadée que vous n’avez aucun avenir sentimental avec un sérieux prétendant, discutez-en avec lui et surtout faites-le lui comprendre gentiment, poliment, posément. Dites-lui que vous aimez déjà quelqu’un d’autre. Et que vous admirez sa gentillesse mais que malheureusement vous ne pouvez pas accepter ses offrandes ni ses nombreux cadeaux et son argent.
Mais est-ce que les Camerounaises comprennent alors ça ? Elles ont le gros cœur ! Elles veulent le beurre et l’argent du beurre. Elles veulent profiter de la charité d’un homme sans véritablement l’aimer. Elles pratiquent la politique américaine de « pétrole contre nourriture » (sauf qu’ici c’est sexe contre argent). Elles sont des prostituées qui s’ignorent. Elles se vendent au plus offrant, et pour elles c’est même normal d’exploiter la générosité d’un individu qu’elles appellent mougou, sous prétexte qu’il serait tombé sous le charme de sa morphologie.
Elles essaient de rééquilibrer en disant que « Et les hommes qui perdent le temps aux femmes-là en leur faisant des enfants sans pères, on fait comment d’eux ? » Je sais ? Est-ce que c’est la même chose ? Il n’est pas question ici de dire qui a tort ou bien qui a raison. On n’est pas là pour juger ni justifier les relations amoureuses. Mais on dit simplement que si tu n’aimes pas un homme, eh bien il ne faut plus accepter de manger son argent !
Parce que les gens comme Christophe Takam qui a assassiné sa femme de sang-froid, certes, il n’avait pas raison mais le mal a déjà été fait. Irréparable ! Puisque personne n’a le droit d’ôter la vie ni de la reprendre, et personnellement je considère qu’un homicide est certainement le crime le plus odieux qui puisse exister au sein de l’espèce humaine.
Mais je supplierai mes sœurs camerounaises de bien se comporter à l’avenir avec les hommes, parce que tout le monde n’est pas fair-play comme moi. Et surtout qu’il y a des hommes ici dehors qui sont beaucoup plus impitoyables qu’ils n'en ont l’air...
Ecclésiaste Deudjui
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